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dopage.

Publié le 26/10/2013

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dopage. n.m. 1. SPORT : de l'anglais doping, dérivé de l'américain dope, « narcotique, stupéfiant «, lui-même tiré du flamand doop, « mélange, mixture «. Utilisation de certaines substances ou techniques pour améliorer artificiellement une performance sportive. Trois critères peuvent être retenus pour mettre en évidence le dopage : une action stimulante ou calmante visant à l'amélioration de la performance, l'utilisation de produits dangereux physiquement ou psychiquement, et enfin, en corollaire, une pratique contraire à l'éthique sportive, laquelle définit la compétition sportive comme une confrontation saine entre individus luttant avec leurs capacités naturelles. Ce dernier point introduit une notion de tricherie, de fraude, s'ajoutant au risque physiologique, inhérent au dopage. L'histoire du dopage se confond avec celle du sport et, d'une manière plus générale, avec toutes les situations - chasse, guerre, maintien de l'état de veille - dans lesquelles l'homme a cherché à faire reculer ses limites. De la décoction de prêle des anciens Grecs à l'ablation de la rate tentée au XVIe siècle, dans les deux cas pour lutter contre les « points de côté «, les pratiques attestent cette volonté de surpassement, de même que, dans certaines sociétés, l'utilisation de substances stimulantes contenues dans les feuilles de khat ou de coca. C'est l'émergence du sport moderne, à partir du XIXe siècle, qui a entraîné la montée du dopage, pratiqué alors de manière tout aussi empirique par des charlatans vite devenus des « soigneurs «. Et c'est naturellement dans les disciplines les plus dures, en particulier celles qui font appel à l'endurance, qu'il a trouvé un terrain d'élection : course à pied, cyclisme, etc. Les progrès de la chimie et de la recherche pharmaceutique ont ensuite pris le relais, sans pour autant faire disparaître les potions prétendues magiques. Les amphétamines, d'abord utilisées par les troupes de la Seconde Guerre mondiale, puis les médicaments détournés de leur vocation première, ont été utilisés ensuite dans le sport, provoquant sinon les premiers drames, du moins les premières prises de conscience. La lutte contre le dopage s'est alors organisée, souvent contre les sportifs, mal informés ou contestant les méthodes de contrôle quand ce n'était pas le principe luimême. Partie essentiellement du cyclisme, et bénéficiant du puissant relais du mouvement olympique, la lutte antidopage est devenue systématique dans les grandes manifestations sportives, mais, pour des raisons de coût notamment, elle ne pénètre guère la grande masse du sport amateur. Cette lutte, qui répertorie une « liste de produits interdits « et s'appuie sur des systèmes de détection sophistiqués, se heurte à la mise au point de produits dopants ou masquants, eux-mêmes de plus en plus sophistiqués. Les événements les plus marquants de la lutte moderne contre le dopage ont été les révélations des sportifs de l'Est, notamment dans l'ex-RDA lors de la réunification allemande, et la disqualification de l'athlète canadien Ben Johnson, vainqueur du 100 m aux jeux Olympiques de Séoul en 1988. Le dopage est sanctionné par une peine d'emprisonnement de six mois à deux ans et par une amende de 5 000 à 100 000 francs. Les peines sont plus lourdes encore pour les personnes ayant facilité l'utilisation de ces stimulants. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats amphétamine anabolisme excitant Olympiques (jeux) - Le cérémonial sport Les médias dopage 2. ÉLECTRONIQUE : substitution contrôlée d'une faible quantité d'atomes étrangers à certains atomes d'origine, dans les structures réticulaires d'un monocristal. La couche électronique externe de certains atomes (silicium, germanium) est relativement stable : les monocristaux correspondants sont isolants. Si l'on introduit quelques atomes dont la couche périphérique est instable (donneurs d'électrons), on appelle des atomes extérieurs pour se stabiliser (accepteurs d'électrons), et le cristal devient semi-conducteur (respectivement du type N et du type P). Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats électronique - Les différents composants - Le transistor électronique - Les différents composants - Les semi-conducteurs semi-conducteur transistor Les livres dopage, page 1505, volume 3

« plus lourdes encore pour les personnes ayant facilité l'utilisation de ces stimulants. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats amphétamine anabolisme excitant Olympiques (jeux) - Le cérémonial sport Les médias dopage 2.

ÉLECTRONIQUE : substitution contrôlée d'une faible quantité d'atomes étrangers à certains atomes d'origine, dans les structures réticulaires d'un monocristal.

La couche électronique externe de certains atomes (silicium, germanium) est relativement stable : les monocristaux correspondants sont isolants.

Si l'on introduit quelques atomes dont la couche périphérique est instable (donneurs d'électrons), on appelle des atomes extérieurs pour se stabiliser (accepteurs d'électrons), et le cristal devient semi-conducteur (respectivement du type N et du type P). Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats électronique - Les différents composants - Le transistor électronique - Les différents composants - Les semi-conducteurs semi-conducteur transistor Les livres dopage, page 1505, volume 3. »

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