Devoir de Philosophie

feuille.

Publié le 27/10/2013

Extrait du document

feuille. n.f. BOTANIQUE : organe végétatif aplati, porté latéralement par la tige des végétaux vasculaires. Certaines feuilles sont caduques, d'autres persistantes. Leur chute est due à la formation d'une couche de liège, zone d'abscission isolant la tige de la feuille. Avant de tomber, les feuilles rougissent, puis jaunissent par accumulation d'anthocyanes (alcaloïdes) dans leurs vacuoles. Morphologie. Une feuille est constituée d'un limbe aplati, de forme variable, rattaché à la tige par une partie fine, le pétiole. Si le pétiole est absent, la feuille est sessile. Au point d'insertion sur la tige, le pétiole s'élargit et forme une gaine avec deux stipules, petites lames foliacées. Les stipules peuvent se détacher avant la chute des feuilles. La forme du limbe est liée à sa nervation (pennée, digitée, parallèle...). Le limbe d'une feuille de dicotylédone peut être lobé, denté, découpé... Une feuille de monocotylédone, en revanche, est caractérisée par une nervation parallèle, un limbe entier et une gaine très développée qui embrasse la tige. La feuille des gymnospermes a le plus souvent la forme d'une aiguille, sauf chez le ginkgo, où le limbe est étalé, et chez les cycas. La phyllotaxie est l'étude de la disposition des feuilles sur la tige. Les feuilles sont verticillées lorsque plusieurs feuilles sont insérées au même point. Le laurier-rose a des feuilles verticillées. Si elles sont par paires, on parle de feuilles opposées. L'érable, le marronnier ont des feuilles opposées. Elles sont alternes quand il n'y a qu'une seule feuille par noeud. Les feuilles alternes sont disposées le long d'une ou de plusieurs spirales. C'est le cas du bouleau. Complétez votre recherche en consultant : Les livres feuille, page 1891, volume 4 Anatomie du limbe de la feuille. Le limbe est constitué d'un épiderme, d'un mésophylle et d'un réseau de nervures. Les cellules de l'épiderme sont en général dépourvues de chloroplastes. On distingue l'épiderme ventral (dessus de la feuille), recouvert d'une cuticule protectrice, et l'épiderme dorsal, pourvu d'ouvertures, les stomates aérifères. Deux tissus chlorophylliens forment le mésophylle : un parenchyme palissadique aux cellules allongées et jointives, et un parenchyme lacuneux aux cellules irrégulières, séparées par des lacunes aérifères s'ouvrant par les stomates. L'ensemble des nervures du limbe de la feuille est le système vasculaire. Chaque nervure correspond à un faisceau cribrovasculaire. Fonctions de la feuille. Certaines feuilles sont des organes de protection (feuilles modifiées ou écailles des bourgeons). D'autres, comme les feuilles hypertrophiées du bulbe, ont un rôle de stockage des réserves. Mais c'est dans la nutrition de toute la plante que la feuille joue le rôle le plus important. Véritable « usine verte «, elle est le lieu de la photosynthèse. La forme aplatie du limbe de la feuille lui permet d'avoir une surface maximale pour la réception de l'énergie lumineuse et les échanges gazeux. Par le mécanisme de la photosynthèse, le gaz carbonique (dioxyde de carbone) et l'eau sont transformés en matière organique grâce à l'énergie solaire. Cette transformation a lieu dans les chloroplastes des cellules du mésophylle, où l'énergie lumineuse est transformée en énergie chimique et fournit un pouvoir réducteur, utilisé pour la réduction du dioxyde de carbone. Les nitrates absorbés par les racines sont réduits au niveau des feuilles et servent à l'élaboration des acides aminés. Les molécules organiques, produits de la photosynthèse, sont distribuées par les multiples ramifications des nervures aux autres organes sous forme de sève élaborée. Pendant le jour, la feuille absorbe du dioxyde de carbone et rejette de l'oxygène et de l'eau. La respiration, masquée le jour par la photosynthèse, produit un échange gazeux inverse (absorption d'oxygène et rejet de dioxyde de carbone). Voir aussi le transvisuel feuille. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats bourgeon fleurs - Physiologie de la floraison photosynthèse plantes - L'anatomie de la plante - Anatomie des feuilles plantes - Les plantes carnivores - Capture et digestion des proies tige végétal (règne) - Les grands groupes végétaux - Les cormophytes Les livres feuille, volume 4

« bourgeons).

D'autres, comme les feuilles hypertrophiées du bulbe, ont un rôle de stockage des réserves.

Mais c'est dans la nutrition de toute la plante que la feuille joue le rôle le plus important.

Véritable « usine verte », elle est le lieu de la photosynthèse.

La forme aplatie du limbe de la feuille lui permet d'avoir une surface maximale pour la réception de l'énergie lumineuse et les échanges gazeux.

Par le mécanisme de la photosynthèse, le gaz carbonique (dioxyde de carbone) et l'eau sont transformés en matière organique grâce à l'énergie solaire.

Cette transformation a lieu dans les chloroplastes des cellules du mésophylle, où l'énergie lumineuse est transformée en énergie chimique et fournit un pouvoir réducteur, utilisé pour la réduction du dioxyde de carbone.

Les nitrates absorbés par les racines sont réduits au niveau des feuilles et servent à l'élaboration des acides aminés.

Les molécules organiques, produits de la photosynthèse, sont distribuées par les multiples ramifications des nervures aux autres organes sous forme de sève élaborée. Pendant le jour, la feuille absorbe du dioxyde de carbone et rejette de l'oxygène et de l'eau.

La respiration, masquée le jour par la photosynthèse, produit un échange gazeux inverse (absorption d'oxygène et rejet de dioxyde de carbone).

Voir aussi le transvisuel feuille . Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats bourgeon fleurs - Physiologie de la floraison photosynthèse plantes - L'anatomie de la plante - Anatomie des feuilles plantes - Les plantes carnivores - Capture et digestion des proies tige végétal (règne) - Les grands groupes végétaux - Les cormophytes Les livres feuille, volume 4. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles