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Joué en simple ou en double, sur des terrains ou des revêtements divers, le tennis est un sport qui conserve des traditions aristocratiques, même s'il n'a cessé de gagner des couches nouvelles de populations.

Publié le 10/12/2013

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Joué en simple ou en double, sur des terrains ou des revêtements divers, le tennis est un sport qui conserve des traditions aristocratiques, même s'il n'a cessé de gagner des couches nouvelles de populations. Pratiqué en haute compétition, il donne lieu à des tournois célèbres, et en particulier à ceux dits du Grand Chelem, qui correspondent aux Internationaux de France, de Grande-Bretagne, des États-Unis et d'Australie, et qui consacrent la renommée - et la fortune - de joueurs et de joueuses professionnels dont un classement précis atteste la position dans la hiérarchie mondiale. Le tennis est un sport qui consiste à se renvoyer une balle avec une raquette par-dessus un filet, dans les limites d'un court constitué de deux camps d'égale superficie, jusqu'à ce que l'adversaire manque cette balle ou la renvoie hors des lignes blanches marquant sur le terrain les limites du jeu. Histoire d'un sport Le tennis dérive de l'ancien jeu français de la longue paume qui, connu dès le Moyen Âge, fut particulièrement en vogue en France aux XVIe et XVIIe siècles. François Ier , Henri II, Charles IX, Henri IV le pratiquaient régulièrement ; la corporation des maîtres paumiers obtint au XVIe siècle le monopole de fabrication des balles, puis des raquettes, commerce extrêmement fructueux. Le terme « tennis » est attesté dès le XIIIe siècle : employé par le serveur lorsqu'il lançait la balle (tenetz, tennys), il fut utilisé en Angleterre pour désigner le jeu de paume lui-même. Le tennis proprement dit, de même que le squash et le badminton, est né dans l'Angleterre victorienne. Le 23 février 1874, le major anglais Walter Clopton Wingfield déposa à la chambre des métiers de Londres les règles d'un jeu qu'il appelait sphairistikè (mot grec signifiant « jeu de balle »), mais qui était déjà pratiqué - sur des terrains plus longs et plus larges, avec une balle pleine - sous le nom de lawn-tennis depuis 1858. Luimême commercialisa, avec le label de lawn-tennis, une boîte comprenant du matériel léger de jeu de paume : quatre raquettes, des balles, un filet et des bandes pour tracer le terrain en plein air. En 1875, les règles de la « sphéristique » furent reprises et précisées par le prestigieux club de Marylebone Cricket. Après quelques derniers aménagements pratiques (adoption d'un terrain rectangulaire et non plus en forme de sablier, précision des conditions du service...), le premier championnat de lawn-tennis eut lieu à Wimbledon en 1877. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats badminton paume squash Wimbledon Les règles du tennis Le tennis se joue en plein air ou en salle, en simple ou en double (pour le double, on utilise deux couloirs latéraux de 1,37 m chacun, portant la largeur totale du court à 10,97 m). Le terrain de jeu, ou court, peut être en gazon, en terre battue, en matériau synthétique, en ciment ou en bois. Il mesure 23,77 m de long sur 8,23 m de large. La hauteur du filet est de 91,5 cm en son milieu et de 1,06 m sur les côtés. Recouverte de feutre blanc - ou jaune, depuis le développement des rencontres jouées à la lumière artificielle -, la balle est en caoutchouc et gonflée à l'air comprimé. D'un diamètre de 6,35 à 6,67 cm, elle pèse de 56,7 à 58,5 g. Cordées en boyau ou en matière synthétique, les raquettes peuvent être de longueur, de largeur et de matériaux différents. Au début du jeu, le serveur, qui s'est placé à l'extérieur de la ligne de fond de court à droite de la marque centrale, envoie la balle en diagonale dans le carré de service droit de l'adversaire. Il a droit à deux balles de service. Une balle « net », ou « let », c'est-à-dire touchant le filet, est à remettre. Le relanceur doit attendre que la balle de service ait touché terre pour la renvoyer dans le terrain de son adversaire. Un joueur marque un point lorsque son adversaire manque la balle ou la laisse rebondir deux fois avant de la renvoyer, ou encore lorsque la balle qui lui est renvoyée est arrêtée par le filet ou tombe hors des limites du court. Les points se comptent de la manière suivante : 15, 30, 40, jeu. Quand il y a 40 partout, il faut qu'un des joueurs marque successivement deux points, dont le premier s'appelle « avantage », pour gagner le jeu. Une manche (ou set) est gagnée par le joueur qui totalise six jeux, à condition qu'il ait deux jeux d'avance ; sinon, le match continue jusqu'à l'obtention de cet écart. Toutefois, pour éviter des manches interminables, on a recours dans la plupart des compétitions au tie-break (jeu décisif) quand les deux joueurs sont à égalité à six jeux partout dans un set. Inventé dans les années soixante par l'Américain James Van Alen, le tie-break a été appliqué à Wimbledon à partir de 1971 et officialisé par la Fédération internationale de tennis en 1978. Le vainqueur de la manche est celui qui, le premier, marque sept points. À six points partout, le jeu se poursuit jusqu'à ce que l'un des deux joueurs gagne deux points consécutivement. Un match se joue en trois ou cinq manches. Les règles sont les mêmes pour le double que pour le simple. Complétez votre recherche en consultant : Les médias tennis - un appareil dérisoire... des vertus essentielles Les livres tennis - le court de tennis, page 5125, volume 9 tennis - revers de l'Américaine d'origine tchécoslovaque Martina Navratilova, page 5125, volume 9 tennis - l'Allemand Boris Becker, lors d'un smash, page 5127, volume 9 tennis - réception de balle de l'Allemande Steffi Graf, page 5127, volume 9 L'organisation du tennis dans le monde Régi par la Fédération internationale de tennis (FIT), fondée à Paris le 26 octobre 1913 sous le nom de Fédération internationale de lawn-tennis, et qui regroupe l'ensemble des fédérations nationales, le tennis, pratiqué par une élite, connut rapidement un rayonnement international. Il subit les premiers assauts sérieux du professionnalisme dans les années cinquante et soixante. La lutte avec les partisans de l'amateurisme prit un tournant décisif en 1967, avec la création de la World Championship Tennis (WCT), organisme fondé par trois hommes d'affaires américains, qui prit sous contrat huit des meilleurs joueurs de l'époque auxquels il fit disputer un circuit professionnel. La FIT composa avec les promoteurs du WCT et, en 1968, le premier tournoi open (« ouvert »), réunissant amateurs et professionnels, eut lieu à Bournemouth. Deux ans plus tard, un circuit appelé Grand Prix et regroupant vingt et un tournois vit le jour. En 1989, la vingtième et dernière édition du Grand Prix comportait soixante-quinze tournois. Le WCT avait organisé un circuit parallèle, dont l'importance décrût progressivement jusqu'à son absorption totale par le Grand Prix en 1985. Depuis la fondation, en 1972, de l'ATP (Association des joueurs de tennis professionnels) et celle, en 1974, du Conseil professionnel (MIPTC, puis MTC), organisme paritaire composé de représentants des joueurs, de la FIT et des organisateurs de tournois, une lutte pour le pouvoir a opposé ces deux organismes. Il entre dans les attributions de l'ATP de défendre les intérêts des joueurs, ainsi que de publier chaque semaine le classement mondial des joueurs (depuis le 1 er janvier 1990, ce classement est fonction de la moyenne des points gagnés par le joueur au cours de ses quatorze meilleurs tournois joués lors des précédentes cinquante-deux semaines). C'est la Women's International Tennis Association (WITA), créée au début des années soixante-dix, qui publie le classement mondial féminin ; elle organise également des tournois exclusivement féminins. En 1988, les joueurs firent une révolution lors des Internationaux des États-Unis : ils décidèrent de prendre eux-mêmes en main la gestion du Circuit en 1990, et l'ATP Tour, géré par les joueurs, remplaça le Grand Prix. Seuls leur échappaient les quatre tournois du Grand Chelem (Internationaux d'Australie, de Wimbledon, de Roland-Garros et de Flushing Meadow) et la Coupe Davis, qui restaient du ressort de la FIT. Cette dernière contre- attaqua en instaurant, à la fin de 1990, la Coupe du Grand Chelem, réunissant les joueurs ayant obtenu les meilleurs résultats lors des quatre tournois majeurs. Dotée de 6 millions de dollars, dont 2 attribués au vainqueur, cette épreuve devint la plus richement dotée de l'histoire du tennis. Après avoir figuré au programme des jeux Olympiques de 1896 à 1924, le tennis en fut absent jusqu'en 1984. Il y est revenu à Los Angeles comme sport de démonstration avant son retour effectif, à Séoul, en 1988. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats circuit Davis (Coupe) fédération - 2.SPORT Flushing Meadow Park Garros Roland Olympiques (jeux) - Les programmes olympiques open Wimbledon Les compétitions les plus prestigieuses Les principaux événements du calendrier international sont les Internationaux de France à Roland-Garros, les Internationaux de Grande-Bretagne à Wimbledon, les Internationaux des États-Unis, ou US Open, à Flushing Meadow Park (Forest Hills jusqu'en 1977) et les Internationaux d'Australie, ou Australian Open, à Flinders Park. Seuls deux joueurs et quatre joueuses ont réussi le Grand Chelem, en remportant les quatre tournois majeurs la même année : l'Américain James Donald Budge (1938) et l'Australien Rod Laver (1962 et 1969) chez les messieurs, l'Américaine Maureen Connolly Brinker (1953), l'Australienne Margaret Smith-Court (1970), l'Américaine Martina Navratilova (1984) et l'Allemande Steffi Graf (1988) chez les dames. Les huit joueurs arrivés en tête au classement des grands prix de l'année sont appelés à disputer le tournoi des Masters (championnat de l'ATP Tour), dont le programme se compose d'un simple et d'un double messieurs, d'un simple et d'un double dames. La plus célèbre épreuve par équipes est la Coupe Davis, compétition annuelle créée en 1900 par un Américain de Saint Louis, Dwight Filley Davis. L'Australie, les États-Unis et, selon les époques, le Royaume-Uni et la Suède ont dominé le palmarès, remportant à plusieurs reprises le saladier d'argent, trophée de l'épreuve. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Budge J. Donald coupe - 3.SPORT Davis (Coupe) Flushing Meadow Park Forest Hills Graf (Stephanie, dite Steffi) Laver Rod Navratilova Martina Roland-Garros (stade) Wimbledon Les médias tennis - le palmarès de la Coupe Davis tennis - quelques résultats Les livres tennis - le court central de Roland-Garros, page 5127, volume 9 Quelques grands noms L'histoire du tennis est jalonnée de noms dont les palmarès ont assuré la légende : dans les années vingt, l'Américain Bill Tilden, les « quatre mousquetaires » français (René Lacoste, Jean Borotra, Jacques Brugnon et Henri Cochet) ; dans les années cinquante et soixante, les Australiens Lewis Hoad, Ken Rosewall, Roy Emerson, Rod Laver. Puis, après le Suédois Björn Borg à partir des années soixante-dix, des joueurs tels que le Suédois Mats Wilander, l'Américain John McEnroe, le Tchécoslovaque naturalisé américain Ivan Lendl, l'Allemand Boris Becker, les Américains Andre Agassi et Pete Sempras ont dominé le tennis mondial. Parmi les grandes figures du tennis féminin, on peut citer la Française Suzanne Lenglen, étoile des années vingt, les Américaines Helen Wills Moody Roark, puis Chris Evert à partir des années soixante-dix, la Tchécoslovaque naturalisée américaine Martina Navratilova, l'Allemande Steffi Graf... Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Becker Boris Borg Björn Borotra Jean Brugnon Jacques Budge J. Donald Cochet Henri Connors (James Scott, dit Jimmy) Court Margaret Emerson Roy Evert (Christine Marie, dite Chris) Gonzales Richard Graf (Stephanie, dite Steffi) Hoad Lewis King Billie Jean Lacoste Jean René Laver Rod Lendl Ivan Lenglen Suzanne McEnroe John Navratilova Martina Noah Yannick Rosewall Kenneth Tilden William Tatem Les livres tennis - l'Américain John McEnroe, page 5124, volume 9 tennis - les célèbres « Mousquetaires », page 5124, volume 9 tennis - le Suédois Björn Borg au service, page 5125, volume 9 tennis - l'Américain Jimmy Connors, page 5126, volume 9 tennis - l'Américaine Chris Evert, page 5126, volume 9 tennis - Michael Stich et John McEnroe, page 5129, volume 9 tennis - les Américains Pete Sempras et Andre Agassi lors de l'US Open de 1995, page 5129, volume 9 tennis - la Suissesse Martina Hingis, page 5127, volume 9 Un sport de loisir Le tennis n'est pas un sport réservé seulement aux joueurs professionnels. Il est aussi une pratique de loisirs, et ce depuis la fin du XIXe siècle : en effet, le lawn-tennis était déjà l'objet d'un engouement certain de la part de l'aristocratie, qui le pratiquait l'été sur les bords de mer. Cependant, le réel essor du tennis comme pratique sportive de loisir ne s'est opéré que récemment : après un accroissement régulier du nombre de joueurs depuis le début du siècle, c'est entre 1975 et 1985 que ce nombre a considérablement augmenté, grâce notamment aux retransmissions télévisées ; en 1950, la Fédération française de tennis comptait 282 491 licenciés et, en 1985, plus de 1,3 million, chiffre qui a relativement peu évolué depuis cette date. Le nombre de courts en France a lui aussi connu une énorme croissance : de 3 899 en 1966, il est passé à 24 000 en 1986. En outre, une enquête de l'INSEE effectuée en 1986 a montré que, parmi les joueurs de tennis amateurs, les cadres supérieurs, les patrons et les industriels étaient les plus nombreux, tandis que les ouvriers, artisans et agriculteurs étaient peu représentés. On a pu constater aussi que le tennis était surtout pratiqué dans les départements les plus urbanisés. Les compétitions internationales de tennis retransmises par la télévision sont suivies par des millions de personnes, ce qui contribue à façonner l'image très positive dont bénéficie ce sport : celle d'une activité élégante, valorisante, à la fois belle et intelligente. La pratique du tennis, si elle a pour but d'améliorer ou d'entretenir sa condition physique, peut aussi être le symbole d'une certaine appartenance sociale, même si ce sport a connu une relative démocratisation depuis quelques années, et subit la concurrence du golf. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Connors (James Scott, dit Jimmy) Court Margaret Davis (Coupe) Flushing Meadow Park Graf (Stephanie, dite Steffi) King Billie Jean Navratilova Martina Noah Yannick open Roland-Garros (stade) Rosewall Kenneth sport Wimbledon Les indications bibliographiques E. Alessandrini et Cl. Garez, Comprendre le tennis : stratégie, fondamentaux, pédagogie, Amphora, Paris, 1987. G. Delamarre, les Grandes Heures de Roland-Garros, Pac, Paris, 1981. Ch. Quidet, la Fabuleuse Histoire du tennis, Nathan, Paris, 1984.

« deux fois avant de la renvoyer, ou encore lorsque la balle qui lui est renvoyée est arrêtée par le filet ou tombe hors des limites du court.

Les points se comptent de la manière suivante : 15, 30, 40, jeu.

Quand il y a 40 partout, il faut qu'un des joueurs marque successivement deux points, dont le premier s'appelle « avantage », pour gagner le jeu. Une manche (ou set ) est gagnée par le joueur qui totalise six jeux, à condition qu'il ait deux jeux d'avance ; sinon, le match continue jusqu'à l'obtention de cet écart.

Toutefois, pour éviter des manches interminables, on a recours dans la plupart des compétitions au tie-break (jeu décisif) quand les deux joueurs sont à égalité à six jeux partout dans un set. Inventé dans les années soixante par l'Américain James Van Alen, le tie-break a été appliqué à Wimbledon à partir de 1971 et officialisé par la Fédération internationale de tennis en 1978.

Le vainqueur de la manche est celui qui, le premier, marque sept points.

À six points partout, le jeu se poursuit jusqu'à ce que l'un des deux joueurs gagne deux points consécutivement. Un match se joue en trois ou cinq manches.

Les règles sont les mêmes pour le double que pour le simple. Complétez votre recherche en consultant : Les médias tennis - un appareil dérisoire...

des vertus essentielles Les livres tennis - le court de tennis, page 5125, volume 9 tennis - revers de l'Américaine d'origine tchécoslovaque Martina Navratilova, page 5125, volume 9 tennis - l'Allemand Boris Becker, lors d'un smash, page 5127, volume 9 tennis - réception de balle de l'Allemande Steffi Graf, page 5127, volume 9 L'organisation du tennis dans le monde Régi par la Fédération internationale de tennis (FIT), fondée à Paris le 26 octobre 1913 sous le nom de Fédération internationale de lawn-tennis, et qui regroupe l'ensemble des fédérations nationales, le tennis, pratiqué par une élite, connut rapidement un rayonnement international.

Il subit les premiers assauts sérieux du professionnalisme dans les années cinquante et soixante.

La lutte avec les partisans de l'amateurisme prit un tournant décisif en 1967, avec la création de la World Championship Tennis (WCT), organisme fondé par trois hommes d'affaires américains, qui prit sous contrat huit des meilleurs joueurs de l'époque auxquels il fit disputer un circuit professionnel.

La FIT composa avec les promoteurs du WCT et, en 1968, le premier tournoi open (« ouvert »), réunissant amateurs et professionnels, eut lieu à Bournemouth. Deux ans plus tard, un circuit appelé Grand Prix et regroupant vingt et un tournois vit le jour.

En 1989, la vingtième et dernière édition du Grand Prix comportait soixante-quinze tournois.

Le WCT avait organisé un circuit parallèle, dont l'importance décrût progressivement jusqu'à son absorption totale par le Grand Prix en 1985. Depuis la fondation, en 1972, de l'ATP (Association des joueurs de tennis professionnels) et celle, en 1974, du Conseil professionnel (MIPTC, puis MTC), organisme paritaire composé de représentants des joueurs, de la FIT et des organisateurs de tournois, une lutte pour le pouvoir a opposé ces deux organismes.

Il entre dans les attributions de l'ATP de défendre les intérêts des joueurs, ainsi que de publier chaque semaine le classement mondial des joueurs (depuis le 1 er janvier 1990, ce classement est fonction de la moyenne des points gagnés par le joueur au cours de ses quatorze meilleurs tournois joués lors des précédentes cinquante-deux semaines).

C'est la Women's International Tennis Association (WITA), créée au début des années soixante-dix, qui publie le classement mondial féminin ; elle organise également des tournois exclusivement féminins. En 1988, les joueurs firent une révolution lors des Internationaux des États-Unis : ils décidèrent de prendre eux-mêmes en main la gestion du Circuit en 1990, et l'ATP Tour, géré par les joueurs, remplaça le Grand Prix.

Seuls leur échappaient les quatre tournois du Grand Chelem (Internationaux d'Australie, de Wimbledon, de Roland-Garros et de Flushing Meadow) et la Coupe Davis, qui restaient du ressort de la FIT.

Cette dernière contre-. »

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