MAGAZINE LITTÉRAIRE
Publié le 23/01/2019
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MAGAZINE LITTÉRAIRE, revue littéraire française fondée à Paris, en 1966, et dirigée par Jean-Claude Fasquelle, avec pour rédacteur en chef Jean-Jacques Brochier. Le titre de chaque numéro est donné par un dossier, se présentant sous la forme d'une monographie consacrée à un auteur (René Char, Proust, Malraux, Joyce, Faulkner, etc.) ou d'une synthèse d'un aspect de la littérature, réservant une large place aux littératures étrangères. L'attention qu elle manifeste aux idées nouvelles lui fait dépasser le seul domaine de la littérature au profit d'une sensibilisation à la problématique des autres disciplines (« l'Histoire aujourd'hui ») et aux débats d'idées qui agitent l'espace social (« Théories du terrorisme — de Hébert à Baader »), définissant une revue littéraire comme un point de convergence des différents discours d'une époque.
Liens utiles
- ► En fonction de l’idée que vous vous faites d’un bon début de roman, écrivez à votre tour la première page d’un roman que vous souhaitez faire publier. Vous envoyez ce début à un directeur de magazine littéraire, accompagné d’une lettre dans laquelle vous essayez de le convaincre de la qualité de ce début pour qu’il le publie.
- Les quatre textes du corpus font partie d’une anthologie consacrée à la représentation du monde ouvrier dans la littérature. Un magazine littéraire publie, à l’occasion de la parution de cette anthologie, deux critiques opposées. Dans l'une, le journaliste considère ce projet sans intérêt ; dans l’autre, son confrère s’enthousiasme pour ce recueil. Vous rédigerez ces deux critiques.
- « Publier un livre c’est procéder à un lâcher de vampires. Les livres sont des oiseaux secs, exsangues, affamés, qui errent dans la foule en cherchant éperdument un être de chair et de sang sur qui se poser, pour se gonfler de sa chaleur et de sa vie : c'est le lecteur », dit Michel Tournier dans Le magazine littéraire en 1981. A l'aide des cinq textes proposés et des romans que vous avez lus, vous vous demanderez si la part que Tournier fait au lecteur n'est pas excessive.
- « Publier un livre c'est procéder à un lâcher de vampires. Les livres sont des oiseaux secs, exsangues, affamés, qui errent dans la foule en cherchant éperdument un être de chair et de sang sur qui se poser, pour se gonfler de sa chaleur et de sa vie : c'est le lecteur », dit Michel Tournier dans Le magazine littéraire en 1981. A l'aide des cinq textes proposés et des romans que vous avez lus, vous vous demanderez si la part que Tournier fait au lecteur n'est pas excessive.
- « L'encre, c'est de la bile noire. La mélancolie, à travers les âges, guide et inspire l'écrivain. Qu'on la considère comme une maladie — une folie même —, un péché ou une volupté, elle accompagne toujours le réflexe d'écrire. » Source : le texte cité a été publié, sans signature, dans le Magazine littéraire (juillet-août 1987). Votre expérience de la littérature vous incite-t-elle à souscrire à cette opinion ? Sans vous limiter à une période donnée, vous exposerez votre point de vue