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roulement.

Publié le 06/12/2013

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roulement. n.m. 1. TECHNIQUE : organe actif des paliers de véhicules et de machines assurant le guidage latéral des arbres en rotation ou leur positionnement axial (butée) par l'intermédiaire de billes ou de rouleaux. Les roulements se distinguent ainsi des coussinets et des butées hydrodynamiques, qui assurent ces fonctions par l'intermédiaire de coins d'huile porteurs. Un roulement comporte une bague interne solidaire de l'arbre et une bague externe, généralement montée dans un logement circulaire creux usiné dans la partie fixe de la machine ; entre les deux bagues sont interposés des billes ou des rouleaux qui roulent sans glisser sur les deux bagues, et dont l'écartement régulier est maintenu par une cage légère, empêchant deux éléments consécutifs de venir au contact l'un de l'autre. Un tel ensemble est réalisé avec un jeu faible et assure ainsi un positionnement de l'arbre précis. L'absence de glissement entre éléments rend inutile, en effet, la constitution de coins d'huile et permet une lubrification par simple film onctueux très mince, compatible avec l'utilisation de graisse. À l'origine, les roulements à billes comportaient deux gorges de roulement usinées dans les bagues interne et externe. Ils n'offraient ni possibilité d'absorber une poussée axiale de l'arbre, ni possibilité d'adaptation à une éventuelle obliquité de l'arbre par rapport à l'axe de la bague externe. Ces contraintes sont les mêmes dans les roulements à rouleaux cylindriques, dont certains modèles, munis de rouleaux de très petits diamètres, sont appelés roulements à aiguilles. On a donc fabriqué des butées à billes en intercalant un ensemble de billes équidistantes entre deux plateaux parallèles, l'un tournant et l'autre fixe. Une telle butée n'absorbe la poussée axiale que dans un seul sens, et il faut monter deux butées adjacentes si l'on veut absorber des poussées axiales dans les deux sens. La recherche de la compacité maximale a conduit à la réalisation de roulements à la fois porteurs et de butée. C'est le cas des roulements à rouleaux coniques qui roulent entre deux cages portant des gorges à fonds également coniques, assurant chacune un contact linéaire avec les rouleaux. De tels roulements montés en sens inverse constituent un ensemble porteur et de butées à double effet. Le problème de l'obliquité éventuelle de l'arbre, quant à lui, a été résolu pour la première fois sur des roulements à billes porteurs ; leur bague interne est classique, mais leur bague externe, ne comportant pas de gorge de roulement, est usinée en forme de sphère centrée sur l'arbre. Cette disposition a été ensuite extrapolée aux roulements à rouleaux. On réalise aujourd'hui des roulements dont la cage externe est usinée en forme de sphère centrée sur l'arbre, dont la cage interne est une surface torique classique (engendrée par un cercle tournant autour d'une droite de son plan qui ne le coupe pas) et dont les rouleaux, en forme de tonnelets, sont eux-mêmes usinés dans la nappe intérieure d'une surface torique engendrée par un cercle tournant autour d'une de ses sécantes. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats butée coussinet lubrification palier roue turbine Les livres roulement, page 4477, volume 8 2. MATHÉMATIQUES : une courbe V ' roule sans glisser sur une courbe V si les deux courbes restent en contact en un point I et que, pour tout point M' de V ' (ayant d'abord coïncidé avec un point M de V ), les arcs IM sur V et IM' sur V ' ont même longueur. La tangente en M' à la courbe décrite par M' est perpendiculaire à IM'. Voir cycloïdale (courbe). Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats cycloïdale (courbe) cycloïde Les médias cycloïde

« lubrification palier roue turbine Les livres roulement, page 4477, volume 8 2.

MATHÉMATIQUES : une courbe V ’ roule sans glisser sur une courbe V si les deux courbes restent en contact en un point I et que, pour tout point M’ de V ’ (ayant d'abord coïncidé avec un point M de V ), les arcs IM sur V et IM’ sur V ’ ont même longueur.

La tangente en M’ à la courbe décrite par M’ est perpendiculaire à IM’.

Voir cycloïdale (courbe) . Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats cycloïdale (courbe) cycloïde Les médias cycloïde. »

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