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sauvetage.

Publié le 08/12/2013

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sauvetage. n.m., action de tirer quelqu'un d'une situation dangereuse. Le sauvetage en mer. Tout navire est équipé de bouées, ceintures ou gilets de sauvetage individuels, appareils gonflés d'air ou munis de flotteurs de liège permettant à un naufragé de se maintenir sur l'eau. En outre, les navires de fort tonnage disposent d'embarcations spéciales destinées à recueillir équipage et passagers en cas de sinistre. Enfin, des bateaux de sauvetage sont attachés à de nombreux ports, toujours prêts à appareiller en cas d'appel au secours : ce sont des embarcations à moteur, rendues insubmersibles par un grand nombre de compartiments étanches, situés à l'avant et à l'arrière, assez puissantes et construites de façon à supporter le gros temps. Les avions disposent, en cas de chute à la mer, de canots pneumatiques spéciaux qui se gonflent automatiquement au contact de l'eau, d'une couleur jaune tranchant sur celle de la mer et munis notamment de fusées éclairantes, d'un appareil à distiller l'eau de mer et d'un appareil de radio. La Société centrale de sauvetage des naufragés et la Société nationale des sauvetages en mer se chargent d'organiser les opérations de secours sur le littoral français. Le sauvetage en montagne. Le nombre croissant des amateurs d'alpinisme et de ski a multiplié celui des accidents, au point que les pouvoirs publics ont dû apporter leur aide aux guides et aux sauveteurs bénévoles qui, pendant longtemps, assurèrent seuls, à leurs risques et périls, le secours en montagne. Aujourd'hui, les guides sont aidés par plusieurs organismes qui groupent notamment, en France, la gendarmerie de montagne, certaines compagnies spécialisées de CRS, la Sécurité civile, ainsi que les diverses sections des clubs de montagne, réunis sous le nom de Société du secours en montagne. On distingue plusieurs sortes d'opérations de secours en montagne, selon qu'il s'agit d'un accident de ski ou d'un accident arrivé lors d'une escalade en moyenne ou en haute montagne : le matériel et la technique employés diffèrent alors. Mais toute opération doit obéir à trois impératifs : rapidité, sécurité, confort du blessé. Toutes les demandes d'intervention sont centralisées en un lieu où peut être parfaitement coordonnée l'action des divers organismes participants : bureau des guides de Chamonix, par exemple, ou Centre national d'entraînement à l'alpinisme et au ski des CRS. Sitôt l'alerte donnée, une première caravane légère est envoyée, accompagnée si possible d'un médecin, pour approcher la victime le plus vite possible et lui apporter les premiers soins ; elle emporte un matériel de première urgence. Une caravane plus importante la suit, chargée du matériel lourd et plus complexe que le sauvetage peut exiger : cordes, treuils, câbles et poulies pour descendre ou remonter une paroi, opérer une traversée, cacolet ou perche Barnaud pour le port du blessé, postes émetteurs et récepteurs portatifs pour suivre et diriger l'opération de la base de départ ou d'arrivée ou en route, matériel de bivouac, etc. En cas de difficulté importante rencontrée au cours de la descente, car le plus souvent, en haute montagne, les accidents se produisent hors des voies normalement empruntées et exigent de la part des sauveteurs de véritables prouesses sportives, c'est la première caravane, moins éprouvée, qui se charge du transport du blessé dans les passages délicats. Elle doit s'efforcer d'atteindre, vite et en assurant le plus de confort possible à la victime, un lieu d'où un hélicoptère ou un Choucas, petit avion qui peut être monté sur skis, conduira le blessé à l'hôpital le plus proche. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats alpinisme - Introduction Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats alpinisme - Introduction aviation - L'aviation civile - L'aviation de service public hélicoptère marine - La marine nationale française navigation (zones de) Orsec (plan) saint-bernard Sécurité civile

« lourd et plus complexe que le sauvetage peut exiger : cordes, treuils, câbles et poulies pour descendre ou remonter une paroi, opérer une traversée, cacolet ou perche Barnaud pour le port du blessé, postes émetteurs et récepteurs portatifs pour suivre et diriger l'opération de la base de départ ou d'arrivée ou en route, matériel de bivouac, etc.

En cas de difficulté importante rencontrée au cours de la descente, car le plus souvent, en haute montagne, les accidents se produisent hors des voies normalement empruntées et exigent de la part des sauveteurs de véritables prouesses sportives, c'est la première caravane, moins éprouvée, qui se charge du transport du blessé dans les passages délicats.

Elle doit s'efforcer d'atteindre, vite et en assurant le plus de confort possible à la victime, un lieu d'où un hélicoptère ou un Choucas, petit avion qui peut être monté sur skis, conduira le blessé à l'hôpital le plus proche. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats alpinisme - Introduction Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats alpinisme - Introduction aviation - L'aviation civile - L'aviation de service public hélicoptère marine - La marine nationale française navigation (zones de) Orsec (plan) saint-bernard Sécurité civile. »

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