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soupape.

Publié le 09/12/2013

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soupape. n.f., organe mécaniquement commandé qui permet d'établir, de couper ou de régler l'écoulement d'un fluide à travers un orifice circulaire. Une soupape se déplace par translation rectiligne dans la direction de son axe géométrique ; en position fermée, elle s'appuie sur un siège fixe situé à la périphérie de l'orifice qu'elle contrôle ; ce siège peut être directement usiné dans le bloc de métal comportant l'orifice ou être usiné dans une pièce circulaire fixe, rapportée sur le bloc par vissage, emmanchement ou soudage. Une telle soupape se distingue d'un clapet, organe d'obturation non commandé, dont l'élément actif se soulève, dans un sens, sous l'effet de la pression différentielle du fluide s'exerçant entre ses deux faces (fluide dont il permet alors le libre écoulement sans pouvoir le régler) et s'appuie sur son siège, dans l'autre sens, lorsque la pression différentielle s'inverse, interdisant alors le retour du fluide écoulé. Chaque cylindre de pompe ou de compresseur alternatif à pistons est ainsi généralement muni d'un clapet d'aspiration et d'un clapet de refoulement. La tubulure de refoulement d'une pompe ou d'un compresseur est, de plus, généralement munie d'un clapet qui se referme en cas d'arrêt de la machine et l'isole globalement de la capacité sous pression qu'elle alimentait. Un tel clapet s'avère particulièrement indispensable au refoulement des pompes et des compresseurs à effet dynamique, qui ne comportent pas de clapets intermédiaires comme les appareils alternatifs, pour éviter qu'ils n'offrent, en s'arrêtant, un libre passage en sens inverse au fluide sous pression préalablement pompé ou comprimé. Les soupapes de moteurs. Les cylindres de moteurs alternatifs à combustion interne sont généralement équipés de soupapes d'admission et d'échappement (les exceptions sont peu nombreuses et concernent essentiellement la plupart des petits moteurs à deux temps dans lesquels admission et échappement sont contrôlés par des lumières découvertes ou fermées par le piston). De telles soupapes comportent une tige axiale constituant un ensemble monolithique avec le disque circulaire d'obturation, tige soulevée dans un sens par une came (agissant directement ou par l'intermédiaire d'un culbuteur) et fermée dans l'autre sens par un ressort. Lorsque les soupapes d'échappement s'ouvrent, il règne dans le cylindre une pression résiduelle importante des gaz brûlés détendus ; la commande mécanique de soulèvement est donc indispensable. En revanche, une soupape d'admission pourrait, théoriquement, être remplacée par un simple clapet se soulevant sous l'effet d'aspiration créé par le piston pendant la phase d'admission ; mais on n'utilise cependant que des soupapes d'admission, de façon à contrôler leurs points exacts d'ouverture et de fermeture et à n'imposer au mélange entrant qu'une perte de charge minimale, lorsque l'organe d'admission est ouvert. Complétez votre recherche en consultant : Les médias moteur - cycle à quatre temps Les soupapes de robinets. Les soupapes constituent les organes d'interception de certains robinets. Elles sont alors commandées par un système de volant (ou de poignée), de tige et d'écrou ou par un servomoteur, le plus souvent constitué par une membrane, recevant d'un côté une pression modulée d'air comprimé et, de l'autre, la pression d'un ressort antagoniste. Lorsqu'une soupape plane décolle de son siège, la perte de charge infinie qu'elle imposait en position fermée diminue très rapidement jusqu'à une valeur minimale faible, pratiquement atteinte lorsque la soupape s'est soulevée d'une hauteur égale à la moitié de son rayon. Des soupapes de forme spéciale permettent de modifier les caractéristiques de la courbe exprimant la perte de charge en fonction de la hauteur de soulèvement. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats automobile - Description technique - Le moteur came compresseur cylindrée moteur - Les moteurs à combustion interne - Les deux types de cycles pompe servomoteur Les livres came, page 826, volume 2 soupape, page 4856, volume 9

« Les médias moteur - cycle à quatre temps Les soupapes de robinets. Les soupapes constituent les organes d'interception de certains robinets.

Elles sont alors commandées par un système de volant (ou de poignée), de tige et d'écrou ou par un servomoteur, le plus souvent constitué par une membrane, recevant d'un côté une pression modulée d'air comprimé et, de l'autre, la pression d'un ressort antagoniste. Lorsqu'une soupape plane décolle de son siège, la perte de charge infinie qu'elle imposait en position fermée diminue très rapidement jusqu'à une valeur minimale faible, pratiquement atteinte lorsque la soupape s'est soulevée d'une hauteur égale à la moitié de son rayon.

Des soupapes de forme spéciale permettent de modifier les caractéristiques de la courbe exprimant la perte de charge en fonction de la hauteur de soulèvement. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats automobile - Description technique - Le moteur came compresseur cylindrée moteur - Les moteurs à combustion interne - Les deux types de cycles pompe servomoteur Les livres came, page 826, volume 2 soupape, page 4856, volume 9. »

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