Devoir de Philosophie

Turin.

Publié le 13/12/2013

Extrait du document

Turin. en italien Torino. ville du nord de l'Italie, capitale du Piémont et chef-lieu de province, située au confluent du Pô et de la Doire Ripaire. 1 025 000 habitants, dans une agglomération de 1 491 000 habitants. Turin est, après Rome, Milan et Naples, la quatrième ville d'Italie. C'est un centre culturel, avec une université fondée en 1404, de nombreux et riches musées de peinture, son journal la Stampa. Mais Turin est surtout, depuis la fin du XIXe siècle, la plus grande ville industrielle du pays. Textiles, imprimeries et éditions d'art, parfumerie, confection, agroalimentaire emploient une main-d'oeuvre abondante. Plus encore, l'activité industrielle repose sur la construction automobile et aéronautique, qui offre des débouchés pour de nombreuses entreprises (pneus, plastiques, etc.). Les usines Lancia, et surtout les usines Fiat (Fabbrica Italiana Automobili Torino), fondées en 1899 par Giovanni Agnelli, fournissent près de 80 % de la production italienne de voitures, d'avions et de moteurs. Un salon de l'automobile se tient à Turin tous les deux ans. Enfin, Turin est un centre tertiaire (activités bancaires notamment) et aussi une grande ville de tourisme. Histoire. La capitale de la tribu celte des Taurini vit passer, en 219 avant J.-C., les armées d'Annibal dont un seul éléphant avait résisté à la traversée des Alpes. Au Ier siècle de l'ère chrétienne, les Romains firent de la cité une colonie militaire (Julia Augusta Taurinorum), dont est toujours conservée la porte Palatine, en brique. À partir du XIe siècle, Turin devint possession de la maison de Savoie. Faite capitale du duché de Savoie en 1415, la ville, alliée aux Français, fut occupée par ceux-ci en 1536 et remise, par le traité de Blois, en 1562, au duc Emmanuel-Philibert qui en fit la capitale de ses États. De 1720 à 1861, elle devint celle du royaume de Piémont-Sardaigne, avec une courte interruption, entre 1802 et 1814, pendant laquelle elle fut le chef-lieu du département français du Pô. Au XIXe siècle, le mouvement libéral et national italien fut particulièrement actif à Turin, ainsi que le mouvement ouvrier. En 1861, la ville fut faite première capitale du royaume de l'Italie unifiée, et le resta jusqu'en 1864, date à laquelle le siège de la monarchie fut transféré à Florence. Le plan de la ville ancienne, très régulier, est hérité du castrum romain. Parmi les principaux monuments, on peut citer le palais Madama, des XIVe et XVe siècles ; la cathédrale Saint-Jean, ou Duomo, des XV e et XVIe siècles, dans l'enceinte de laquelle se trouve la chapelle du Saint-Suaire (Santa Sindone ), réalisée au XVII e siècle par Guarino Guarini, et qui est célèbre pour sa pièce d'étoffe de 4 m sur 1,40 m, qui porte en impression une silhouette humaine, longtemps considérée comme étant celle du Christ. Mais l'Église a reconnu officiellement, en 1989, qu'il s'agissait d'un drap de lin datant du Moyen Âge... Il n'avait été apporté qu'en 1578 à Turin par Emmanuel-Philibert. Au nombre des autres monuments, il convient aussi de nommer l'ancien palais Ducal, devenu palais Royal en 1861, édifié au XVII e siècle ; le bel ensemble architectural de la piazza San Carlo, de même époque ; l'église San Lorenzo ; et tous les monuments baroques construits par Filippo Juvara et par Guarini. La basilique de Superga (XVIII e siècle), à 10 km, qui domine la ville, abrite les tombeaux des rois de Sardaigne et de Piémont. Complétez votre recherche en consultant : Les livres socialisme - piquets de grève devant une usine à Turin, en 1920, page 4815, volume 9 Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Doire - Doire Ripaire Emmanuel-Philibert, dit Tête de Fer Fiat Guarini Guarino Italie - Géographie - L'organisation de l'espace Italie - Géographie - La vie économique - L'industrie Piémont Pô Savoie Les natifs de ce lieu Aimon de Spolète Amédée de Savoie Ferdinand-Marie Aoste (Amédée, ducd') Avogadro (Amadeo di Quaregna e Ceretto, comte) Azeglio (Massimo Taparelli, marquis d') Balbo Cesare Balla Giacomo Casella Alfredo Cavour (Camillo Benso, comte de) Charles-Albert Fénéon Félix Gioberti Vincenzo Grey Denise Guignon (Giovanni Pietro Ghignone, dit en français Jean-Pierre) La Marmora (Alfonso Ferrero, marquis de) Lagrange (Joseph Louis de) Lamballe (Marie-Thérèse Louise de Savoie-Carignan, princesse de) Levi Carlo Levi Primo Pugnani Gaetano Rosso Medardo Saragat Giuseppe Soleri Paolo Sraffa Piero Tamagno Francesco Vanni-Marcoux (Jean Émile Diogène Marcoux, dit) Les médias Europe - carte physique Italie - carte politique Les livres Nervi Pier Luigi, page 3416, volume 6 Turin, page 5312, volume 10 Italie - robot chez Fiat,, page 2617, volume 5

« Guarini Guarino Italie - Géographie - L'organisation de l'espace Italie - Géographie - La vie économique - L'industrie Piémont Pô Savoie Les natifs de ce lieu Aimon de Spolète Amédée de Savoie Ferdinand-Marie Aoste (Amédée, ducd') Avogadro (Amadeo di Quaregna e Ceretto, comte) Azeglio (Massimo Taparelli, marquis d') Balbo Cesare Balla Giacomo Casella Alfredo Cavour (Camillo Benso, comte de) Charles-Albert Fénéon Félix Gioberti Vincenzo Grey Denise Guignon (Giovanni Pietro Ghignone, dit en français Jean-Pierre) La Marmora (Alfonso Ferrero, marquis de) Lagrange (Joseph Louis de) Lamballe (Marie-Thérèse Louise de Savoie-Carignan, princesse de) Levi Carlo Levi Primo Pugnani Gaetano Rosso Medardo Saragat Giuseppe Soleri Paolo Sraffa Piero Tamagno Francesco Vanni-Marcoux (Jean Émile Diogène Marcoux, dit) Les médias Europe - carte physique Italie - carte politique Les livres Nervi Pier Luigi, page 3416, volume 6 Turin, page 5312, volume 10 Italie - robot chez Fiat,, page 2617, volume 5. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles