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Philémon caronculé

Publié le 22/02/2012

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Très agressif à proximité de son nid. Cette espèce diffère de son proche parent (P. novaeguineae) par la plus grande surface de peau nue qui recouvre la tête et par la présence d'une protubérance sur la mandibule supérieure. Le mâle et la femelle ont une coloration identique. Qualifié de «bruyant» par les Australiens, le philé mon caronculé lance des cris puissants, rauques, traduits par des onomanopées telles que « tchok tchok» ou «four o'clock». C'est surtout au printemps qu'il se fait entendre, car avant ses déplacements en automne, il est silencieux.

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