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CHANSON DES NIBELUNGEN (La) (résumé & analyse)

Publié le 06/12/2016

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« cette migration de l'or vers l'océan iuftni, ils adorent Je symbole de l'éternel devenir, du « \Verden "· auq u el les bommes et les dieux sont assujettis.

Duisaue toute destinée: t.rouYe sOn aboutissement dans le • RagnarOk • (• cré · vuscule des dieux • - de rôA:.

• ftn.

ruine • et T"Qna, géni tif vlurtel de TtOin, • le s g ou ver­ neurs •.

le s dteuxl : atnsl sur te monde des dieux plane égaiement cet ana thèm e fatal, que seul l'anéan tissement de la vie peut suspendre.

Dans l e monde du feu et dans le monde du gel, les forces des t.r uc tr ic es, incarnées par les monstres et ·les géants, se décha tnen t varelllement.

Et tous les dieux devront succomber da.-� cette lut te.

Tel est le déc or tragique de l'épopée des Nibe lu n"e n .

C'était déjà celui des chants les plus an-cie ns .

apparus très probablement vers la fin de J'ère des Jn)grat.ions.

entre le vn• et le vm• siècle, chez le peuple franc.

Is.�lL' do trè'l anciennes traditions mytbtques, ils furent recréè'l par la.

suite.

dans l'espr it de la nouve llé à.risto· cra.tie gue rri è re par des rai)Sodes de la Cour.

les • skopos ,, Siegfried.

le Jo uv encea u ignare.

n é et élevé dans la fo rê t millénaire, est issu du giron même de la Gra n de Mèr...,.source de toute vie, comme Tui.lr et Sarll, dans le Hamdhirmal des Edàa3, pro po s qu'en partant Ils adressent à le ur mère : • Voués à la mort.

enfourchons nos coursiers...

Nous m ourr ons touq en terre étrangère ! li En cette volonté, décidée à faire face ou verte men t à sa propre destinée, l'âme dea siècles de: fer a.

laisse dans ce chant, sa plus profonde empreinte.

Au cours des siècles ()ésie épique germanique vaase en génér al, de la fo rm e eon­ cise et sans continuité du • ch ant héro lq ue • à l 'a mp leu r relative de l'é p op ée brève, pour at te in dre à la.

• lar�eur épique • du a-ra nd poème hérotque.

Ainsi, dans l'h is to ir e du cycle des Nibeltt>lOtn, distingue-t-on trois phases su ccess iv es : 1l les chants épiques aynnt trait à Sie g fr ied et llrune­ lûlde, le chant d" la.

fln des Nlbelu !ll1en, qui const.ituent en réalité deux sa&a.s indép end an tes reliées seulement Dar les noms des rois burgondes et de leur sœur Krlmhilde communs à l'un ct à l'a utre cycle.

2) L'épopée brève de la t'in des Nibe.lunoen [D.,.

Nibelunoe Not), oomoosée en tre 1160 et ll.70 par un poète au tric hie n inconnu, leQuel amJ)lifta.

le chant épiQue vré· existant dans la forme qu'il revHalt dan� la version bavaroise, bien difrérente du chant or igin al.

3).

Le Poème des Nibeltmoen [Nibe­ lunuelied, ou Chatl$On dtl Nilu>lwn,(Jeu}, œuvre d'un POète chevalier autrichien.. »

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