ESSAI SUR LE MAL, 1955. Jean Nabert
Publié le 23/09/2018
Extrait du document
L’ouvrage s’attache à l’aporie du mal, pour tenter d’aboutir à sa solution théorique. Plus la norme est rigide, plus le champ de l’irrationnel, de l’injustifiable, est large. D’où la possibilité du mal. La conscience est une causalité impure: au respect de la loi se mélangent l’intérêt, l’amour-propre et la vanité
Liens utiles
- Fille mal gardée, la [Jean Dauberval] - analyse de l'oeuvre musicale.
- Nabert Jean, 1881-1960, né à Izeaux (Isère), universitaire et philosophe français.
- Dans Jean Giraudoux (1955), V. H. Debidour affirme qu' « Électre est le soleil de la fatalité ». Comment comprenez-vous cette formule ?
- Jean de La Fontaine La Montagne qui accouche Une Montagne en mal d'enfant Jettoit une clameur si haute, Que chacun au bruit accourant Crût qu'elle accoucheroit, sans faute, D'une Cité plus grosse que Paris ; Elle accoucha d'une Souris.
- Jean de La Fontaine Les animaux malades de la peste Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre.