Devoir de Philosophie

Fiche de lecture : John Steinbeck - Des souris et des hommes / Of mice and men

Publié le 26/08/2012

Extrait du document

lecture

La femme de Curley  Elle n’a pas de prénom. C’est une jeune femme très maquillée avec de grosses lèvres, des yeux écartés, des ongles rouges, des cheveux bouclés, une voix nasale et cassante. Elle est légère, naïve, vulgaire, irréfléchie et profiteuse. Elle passe son temps à chercher un amant. Elle est traitée de «garce«. C'est une opposante. Elle est synonyme de piège, pour Lennie surtout. Au début de l’histoire, elle apparaît comme une fille aguicheuse, évitée par tout le monde parce qu’elle est considérée comme un « nid à ennuis «, pleine de méchanceté, de regrets et de rancœur. A la fin, quand elle parle à Lennie, elle se montre rêveuse et presque gentille.    Curley  Curley est un jeune homme brun, aux yeux noirs et aux cheveux crépus, d’où son surnom « Curley «, qui signifie « frisé «. Il a la main gauche dans un gant de travail garni de Vaseline, et comme le patron, son père, il est chaussé de bottes à hauts talons. C’est un boxeur léger et habile. Il est hargneux, bagarreur, belliqueux et calculateur. Il n'aime pas les grandes personnes, ce qui causera beaucoup d'ennuis à Lennie. C'est un opposant. Dès le début de l’histoire, il repère Lennie et ne le lâche pas. Mais, après s’être attaqué à lui et avoir été blessé, il le laisse tranquille.

lecture

« un être supérieur, comme le roi du ranch.

C'est un adjuvant (allié).

Au fur et à mesure de l'histoire, il s'attire les confidences et la sympathie de Georges. CandyCe surnom, qui signifie « sucre, bonbon », désigne un vieillard voûté, barbu, gentil, soigneux, doux et curieux.

Il n'a qu'une seule main et est nostalgique de la forcede sa jeunesse.

C'est l'homme à tout faire, résigné par sa situation.

Son unique compagnon, un vieux chien, aveugle et puant, est tué.

Lui-même vieux et estropié n'aplus beaucoup d'espoir.

Au début de l'histoire, il attire la méfiance de Georges, mais, peu à peu, il va devenir son ami.

C'est un adjuvant (allié) car il veut aider Lennyà réaliser son rêve. CrooksC'est le surnom, qui signifie « tordu », du palefrenier noir qui a eu le dos complètement tordu par un coup de pied de cheval.

Les Blancs l'appellent souvent « Nègre».

Il a une tête mince et douloureuse et des yeux patients.

Il loge dans la sellerie, à l'écart de tous.

Il vit mal sa négritude et est nostalgique de son enfance où Blancs etNoirs se côtoyaient.

Marginalisé, isolé, il passe son temps à lire et à réfléchir.

Il possède un fusil et de nombreux livres, mais souffre de solitude.

Il aimerait êtreaccepté et pouvoir comme tout le monde partager une partie de carte et une discussion.

Il est tranquille et efficace.

Il observe les autres.

Il comprend vite que leparadis, dont rêvent Lennie et Georges, n'est qu'une illusion. La femme de CurleyElle n'a pas de prénom.

C'est une jeune femme très maquillée avec de grosses lèvres, des yeux écartés, des ongles rouges, des cheveux bouclés, une voix nasale etcassante.

Elle est légère, naïve, vulgaire, irréfléchie et profiteuse.

Elle passe son temps à chercher un amant.

Elle est traitée de «garce».

C'est une opposante.

Elle estsynonyme de piège, pour Lennie surtout.

Au début de l'histoire, elle apparaît comme une fille aguicheuse, évitée par tout le monde parce qu'elle est considéréecomme un « nid à ennuis », pleine de méchanceté, de regrets et de rancœur.

A la fin, quand elle parle à Lennie, elle se montre rêveuse et presque gentille. CurleyCurley est un jeune homme brun, aux yeux noirs et aux cheveux crépus, d'où son surnom « Curley », qui signifie « frisé ».

Il a la main gauche dans un gant de travailgarni de Vaseline, et comme le patron, son père, il est chaussé de bottes à hauts talons.

C'est un boxeur léger et habile.

Il est hargneux, bagarreur, belliqueux etcalculateur.

Il n'aime pas les grandes personnes, ce qui causera beaucoup d'ennuis à Lennie.

C'est un opposant.

Dès le début de l'histoire, il repère Lennie et ne lelâche pas.

Mais, après s'être attaqué à lui et avoir été blessé, il le laisse tranquille. CarlsonPersonnage commun, sans vrai signe distinctif, c'est un homme robuste et corpulent.

C'est un salarié insensible, rustre et banal. Thèmes abordésLes deux principaux thèmes abordés sont : l'amitié et le rêve. - L'amitiéGeorges et Lennie, malgré leurs fortes différences, sont amis.

Ils ont appris à s'apprécier, à s'aimer et à prendre soin l'un de l'autre.

Au ranch, on s'étonne de cetteamitié peu ordinaire entre une personne intelligente et vive et une autre enfantine et naïve.

L'un parle et l'autre ne comprend pas, mais cela n'a pas d'importance.

Leuramitié reste forte.

Elle est un remède contre la solitude dont ils souffrent car ils sont sans famille et sans maison.

Elle atteint son apogée quand George tue son ami. - Le rêveLa réalisation du rêve est ici impossible, hors de portée.Dès le début de l'histoire, Lennie et Georges rêvent de leur paradis : posséder un lopin de terre avec une ferme, rien qu'à eux.

Ils travaillent pour gagner l'argentnécessaire.

C'est le rêve américain.

Tout au long récit, ils en parlent à voix haute.

Ils décrivent cette petite ferme d'abord succinctement, puis avec de plus en plus dedétails comme pour lui donner plus de réalité.

Ils finissent par y croire, par presque l'atteindre, mais, malgré leurs efforts, ce rêve ne va pas se réaliser à cause de lamaladresse de Lennie.

Les dernières paroles de Lennie seront d'ailleurs à propos de ce paradis.

La mort de Lenny est aussi la mort du rêve.De la même façon, la femme de Curley porte le regret de son rêve de devenir comédienne.

Tous les rêves sont brisés. AppréciationsJ'ai beaucoup aimé ce livre parce que, tout d'abord j'ai, trouvé les personnages très attachants.

Il décrit la condition des «travailleurs » pendant la crise économique de1930, ce qui est assez instructif.

L'amitié étrange entre les deux héros est développée de manière intéressante.

Les différences sont évoquées de manière simple, sansen rajouter, ni en oublier.Ce roman est facile à lire, court, avec peu d'action.

Il dit juste ce qu'il faut en suivant l'ordre chronologique des événements.

Seuls sont rapportés les dialogues et lesactions.

La psychologie des personnages n'est pas décrite.

Le style est direct et permet de rentrer d'emblée dans la vie des deux hommes, auxquels on s'attache trèsvite.

C'est une histoire intemporelle construite comme une tragédie, un magnifique récit dans lequel les relations humaines sont mises en avant.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles