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FICHE DE LECTURE : Mademoiselle de Maupin

Publié le 20/05/2012

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 Il hérita de la bibliothèque de Montesquiou en 1932.

En 1835, il publie son 1er roman, Mademoiselle de Maupin, qui fera scandale. Les amours d’une jeune femme travesti on évidemment, choqués, mais c’est sa préface qui fit polémique. Il affirme, là-dedans, le droit de l'artiste à traiter des pires déviations passionnelles et pourvu que l'art y trouvât son compte, à défaut de la morale bourgeoise dont l'auteur déclarait se peu soucier. Cette controverse permis pourtant à Gautier de débuter sa carrière de critique : Balzac, grand écrivain français Romantique, apprécie les talents de ce jeunes auteur sur cette œuvre, et lui dépêcha Julie Sandeau. C’est ainsi qu’il débuta sa carrière dans le journalisme. Il publia dans La Chronique de Paris des nouvelles comme La Morte amoureuse et La Chaîne d'or et des critiques d'art. Il travaille également pour le magazine de Charles Malo, La France littéraire. En 1837, il devient critique d’art pour La Presse, le quotidien D’Emile de Girardin, en compagnie de son grand ami Nerval. On estime à plus de deux mille le nombre des feuilletons et articles qu'il aurait rédigés pour ce journal. Cette carrière de critique d’art l’occupe toute sa vie. On dit que son style est souple et impeccable. Il publia la Comedie de la Mort en 1838. C’est un très long poème de 250 strophes, sous l'influence de Shakespeare, Goethe et Dante. Il y décrit le spectre de la mort. 

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« Le 25 février 1930 fut une date très importante pour la vie de Gautier, ainsi que pour le monde littéraire.

Ce fut la 1 er de Hermani , drame romantique, la pièce de théâtre de Victor Hugo.

Victor Hu go s’inspira de l’ancien mais célèbre dramaturge, Shakespeare.

Cette pièce consacra le genre Romantique.

Elle fut pourtant énormément controversée, et donna lieu à ce qu’on surnomma « la bataille d’Hermani ».

Beaucoup disaient de cette pièce qu’elle était contraire aux règles du classicisme. Gautier, qui avait était très enthousiaste lors de cette première, prend le parti de Hugo et prit la décision d’abandonner sa carrière de peintre pour devenir l’écrivain Romantique Théophile Gautier.

Il dit que « pour la génération de 1830, Hernani a été ce que fut Le Cid pour les contemporains de Corneille.

Tout ce qui était jeune, vaillant, amoureux, poétique, en reçut le souffle. ».

Aussi, le gilet rouge flamboyant qu’il abordait le jour du spectacle resta célèbre et fit scandale. Gautier écrit un 1 er recueil de vers, qui passent totalement inaperçu , en 18 30.

Il commença à participé, dans la même année, aux rencontre du « petit cénacle », groupe d’artistes et d’écrivains qui se réunissaient dans l’atelier du sculpteu r Jehan Duseigneur où on retrouve Gérard de Nerval, ainsi que Pétrus Borel, Auguste Maquet, Jules Vabre, Céles tin Nanteuil, Philothée O’Neddy, Joseph Bouchardy et Victor Hugo.

Gautier était un écrivain Romantique qui publia plusieurs œuvres fantastiques : ainsi, en 1831, le Cabinet de lecture publia sa nouvelle fantastique, La Cafétière .

Il hérita de la bibliothèque de Montesquiou en 1932. En 18 35, il publie son 1 er roman, Mademoiselle de Maupin , qui fera scandale.

Les amours d’une jeune femme travesti on évidemment, choqués, mais c’est sa préface qui fit polémique.

Il affirme, là -dedans, le droit de l'artiste à traiter des pires déviations passionnelles et pourvu que l'art y trouvât son compte, à défaut de la morale bourgeoise dont l'auteur déclarait se p eu soucier .

Cette controverse permis pourtant à Gautier de débuter sa carrière de critique : Balzac, grand écrivain français Romantique, apprécie les talents de ce jeunes auteur sur cette œuvre, et lui dépêcha Julie Sandeau.

C’est ainsi qu’il débuta s a car rière dans le journalisme.

Il publia dans La Chronique de Paris des nouvelles comme La Morte amoureuse et La Chaîne d'or et des critiques d'art. Il travaille également pour le magazine de Charles Malo, La France littéraire .

En 1837, i l devient critique d’a rt pour La Presse , le quotidien D’Emile de Girardin , en compagnie de son grand ami Nerval .

On e stime à plus de deux mille le nombre des feuilletons et articles qu'il aurait rédigés pour ce journal. Cette carrière de critique d’art l’occupe toute sa vie.

On dit que son style est souple et impeccable.

Il publia la Comedie de la Mort en 1838.

C’est un très long poème de 250 strophes, sous l'influence de Shakespeare, Goethe et Dante .

Il y décrit le spectre de la mort.

En 1845, Théophile Gautier voyagea : L’Espagne, L’Italie, L’Algérie, La Turquie, La Russie … Et ses nombreux voyages donneront lieu à de nouveau poèmes tel que Tra los Montes , Zigzags (1845); la Turquie (1846); Italia (1852); Constantinople (1854); les Vos ges (1860); Loin de Paris (1864); Quand on voyage (1865); Voyage en Russie (1866) , etc… On retrouve bien ici l’exotisme caractéristique aux Romantique : les voyages ayant développé cette vision.. »

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