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Georg Simmel et les pauvres

Publié le 14/08/2012

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Cet ouvrage propose une vision théorique du lien entre l'assistanat et la société. La pauvreté est définie par le besoin d'assistance. G. Simmel analyse l'attitude collective que la société adopte à l'égard du pauvre. L'interdépendance qui lie le pauvre à la société est traduite comme une sorte d'exclusion, car cette catégorie n'est pas utile à la société. La difficulté qu'est l'interdisciplinarité m'a considérablement mise en difficulté pour faire cette fiche de lecture. En effet, les notions et concepts utilisés par G. Simmel sont à l'intersection de plusieurs champs: sociologie et philosophie. Or, je ne maîtrise que peu tous ces concepts. Il en a résulté une lecture compliquée. De plus, les nombreuses notes de bas de pages renvoient à des titres d'auteurs allemands, ce qui ne m'a pas permis de creuser le sujet.  Cette approche permet de traiter les représentations sociales, les phénomènes culturels ainsi que les processus d'exclusion pour traiter la relation d'assistance qui caractérise, selon G. Simmel, le concept de la pauvreté.

 La philosophie de l'argent est un ouvrage signé par le philosophe et sociologue allemand Georg Simmel (1858-1918). L'auteur y traite une série de problèmes. D'abord celui de la valeur, mais en se distinguant des deux courants qui s'affrontent (partisans de la théorie de la valeur-utilité contre les partisans de la théorie de la valeur-travail). Ensuite, il montre à son lecteur comment l'argent a réussi à faire émerger « l'individu ». Il poursuit en montrant que l'argent est devenu une institution. Puis, il s'intéresse à l'impact de l'argent sur l'évolution sociale et sur le style de vie des sociétés. Enfin, l'auteur montre comment l'argent a réussi à transformer la culture dans le sens positif comme dans le sens négatif (« la tragédie de la culture »).

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« Ils souffraient de cette situation et se tournaient donc vers cette association pour obtenir de l'aide.

Ce soutien prenait la forme d'une écoute, d'un accompagnementdans les démarches administratives ainsi de création de nouveaux repères.

L'association les orientaient vers des centres de soin.

Le plus souvent, ces personnesn'avaient plus de revenu, il étaient donc accueillis par ces centres sans avoir besoin de financer leur séjour.

L'État leur portait assistance.L'article 11 de la Constitution de la République française va dans ce sens, en effet, « elle garantit à tous, la protection de la santé, la sécurité matérielle,le repos et lesloisirs.

Tout être humain qui, en raison de son âge,de son état physique ou mental, de la situation économique, se trouve dans l'incapacité de travailler a le droitd'obtenir de la collectivité des moyens convenables d'existence.

»[1] La relation d'assistance, peut être due à divers facteurs qui peuvent toucher et affaiblir les individus.

Ces facteurs peuvent être le chômage, une rupture familiale, unemaladie qui entraîne perte de lien social.

Cette dernière amène l'individu à s'isoler, la perte de repères entraine souvent l'entrée dans la précarité.

Cette situationl'amène alors au phénomène d'exclusion.

Ces changements peuvent entrainer une disqualification social. Simmel part du concept que la pauvreté est relative car elle peut toucher tous les individus quelle que soit sa classe sociale.

Mon premier exemple le démontre biencar l'association prenait en charge toutes les catégories sociales.

Cependant, il me paraît important de préciser que sur la totalité des accompagnements, les personnesayant le plus de mal à sortir de cette assistance était les personnes à faible revenus ou à revenus modestes. « Est pauvre celui dont les moyens ne suffisent pas à atteindre ses fins » page 91Ce phénomène économique, l'emmène dans un processus qui le fait devenir pauvre, il devient inutile pour la société et peut perdre son statut.Une personne considérée comme pauvre ne le serait peut être pas dans une classe inférieure. Conclusion Cet ouvrage propose une vision théorique du lien entre l'assistanat et la société.

La pauvreté est définie par le besoin d'assistance.

G.

Simmel analyse l'attitudecollective que la société adopte à l'égard du pauvre.

L'interdépendance qui lie le pauvre à la société est traduite comme une sorte d'exclusion, car cette catégorie n'estpas utile à la société.

La difficulté qu'est l'interdisciplinarité m'a considérablement mise en difficulté pour faire cette fiche de lecture.

En effet, les notions et conceptsutilisés par G.

Simmel sont à l'intersection de plusieurs champs: sociologie et philosophie.

Or, je ne maîtrise que peu tous ces concepts.

Il en a résulté une lecturecompliquée.

De plus, les nombreuses notes de bas de pages renvoient à des titres d'auteurs allemands, ce qui ne m'a pas permis de creuser le sujet.Cette approche permet de traiter les représentations sociales, les phénomènes culturels ainsi que les processus d'exclusion pour traiter la relation d'assistance quicaractérise, selon G.

Simmel, le concept de la pauvreté. Apports et limites de l'ouvrage. Bibliographie Ouvrages consultés Dictionnaire Pratique du Travail Social, Stephane Rullac et Laurent Ott, Dunod, Paris, 2010, p 368 Constitution de la République française, Ferdinan Mélin-Soucramanien, Dalloz, 2011; p 8 et 9 Sources web http://www.universalis.fr/encyclopedie/georg-simmel/ ---------------------------------[ 1 ].

Constitution de la République française, Ferdinan Mélin-Soucramanien, Dalloz, 2011; p 8 et 9. »

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