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giselle

Publié le 22/02/2013

Extrait du document

Pendant plusieurs jours de suite, un bataillon de soldats  en déroute avait traversé la ville. Des allemands allaient rentrer a  Paris, nous sommes en France 1870, malgré leurs bravoure et leur courage, les soldats français dans leurs uniformes et leurs armes ne faisaient guère le poids contre les meurtriers de sang allemand. Puis un calme profond, une attente silencieuse planait sur la cité ou habitait Giselle. C’était une jeune femme, petite de taille   , ronde de partout, très grasse à la peau luisante. Elle était naïve mais très forte. Cette jeune femme avait  l’allure pale malgré ses rondeurs avait un grand souci qui la tourmenté, son amant qu’elle aimé tant était soldat engagé pour la guerre contre l’Allemagne. La peur, la terreur et la souffrance faisaient place dans le quotidien  de Giselle quand elle voyait les soldats quitter la France pour délivrer leur pays de l’emprise de l’Allemagne. Elle entendait  parler les femmes du peu de lettres qu’elles recevaient de leurs maris, il était question de massacre. Paris ne ressemblait plus à la belle capitale française, elle  subissait la famine, la pauvreté et la misère de ses habitants. Les marchands , les magasins et  que  les industries ont disparu et firent places au soldats allemands ainsi qu’a un champs de bataille et de terreur . Les choses allaient de mal en pire, et la population ne pouvant plus supporté la faim décida de quitter le pays, mais bien entendu seul les plus riches et les plus chanceux surtout y p...

« faire discret >, ils hochèrent la tête en faisant un signe d'accord.

Ils avaient tous le même objectif qui était de pouvoir atteindre la zone libre, dans la diligence se trouvé un couple de bourgeois gelés par le froid demeuraient immobiles et raidis,  a coté d'eux étaient assises deux religieuses de l'église notre dame de Paris, elles avaient un regard rude et méprisant envers Giselle qui était toute potelé  et vaincue par le sommeil assise devant elles, et enfin se trouvé deux commerçants prés de la porte de la diligence.

L'homme en voyant tout ses voyageurs immobile il ferma  La porte subitement.

Tout bruit cessa, les bourgeois s'étaient tus, les religieuses commencèrent a  lire quelque pages de la Bible, Giselle s'endormit, et les marchants raidis restèrent éveillé.

La diligence  avançait lentement, a tout petit pas.

Les roues s'enfonçaient, le fouet du cocher claquait  sans repos, mais le jour prenait place peu a peu, la lueur du soleil réveilla  Giselle qui était parti dans un sommeil profond ou elle rêvait de retrouver sans amant sain et sauf, les bourgeois sommeillés toujours ainsi que les religieuses mais les marchants quand a eux n'avaient pas fermé l'oeil de la nuit.

Ces sept personnes formaient le fond de la diligence,  comme par hasard ces femmes si différentes  au niveau social se trouvaient assises sur le même banc.

Il était bientôt midi et les gens coururent aux provisions tous avaient prévus un panier de bonnes choses sauf Giselle qui ne pouvait se permettre un tel luxe.

Ils se mirent a manger, l'odeur du poulet envahit les narines de Giselle frustrée par l'égoïsme des bourgeois, des marchants, mais le plus grand des étonnements fut vers les religieuses qui mangeaient tranquillement tandis qu'une race semblable a la leur mourait de faim. Soudainement  la diligence s'arrêta, tous s'arrêtèrent de manger et devinrent immobile n'osant pas sortir comme si  l'on aller se faire massacré a la sortie.

A coter du cocher se trouvait un soldat allemand grand mince et blanc, il ordonna aux voyageurs de sortir de la diligence en disant d'un ton ferme : < Que tout le monde sorte de la voiture ! > . A ces mots les deux bonnes soeurs descendirent les premières habituées a toutes les soumissions, suivis du couple de bourgeois, ensuite les marchants et enfin fut le tour de Giselle qui descendit hautaine devant l'ennemi.

 Le général allemand qui fut interpellé par le soldat les observa pendant un moment puis chuchota quelque mots a  l'oreille du soldat et s'en alla.

Les voyageurs commencèrent a échanger des regards d'inquiétude  , puis le soldat s'avança vers Giselle et lui dit de la suivre et de faire ce que le général lui dira de faire si ils veulent revenir en France sains et sauf , car il était hors de question e finir le voyage pour atteindre la. »

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