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Introduction a la géographie, R. Marconis. Fiche de lecture

Publié le 05/09/2012

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lecture

→Paul Vidal de la Blache : av VB géo historique : descriptions linéaires pr introduire his politique, géo « inventaire «. Invocation du déterminisme (fatalité naturelle) pr expliquer le comportement humain Avec VB évolution en observation de terrains et réelle recherche d’explications, émergence du possibilisme, voca scientifiq et précis. →Idée du « tout terrestre « : existence de connexion entre ≠ faits observés que ce soit milieu physique, organisation de l’espace, actions passées et présentes des Hommes. Désir d’extraction de l’étude d1 grd nombres de cas particuliers de lois, des modèles. Chap 5 : Deux géographies générales : →Assez rapidement 2 branches, conscience qu’elles ne peuvent déboucher sur les mêmes généralisations. →Géo physiq= géomorphologie, étude du relief géologie et topographie), domaine jusqu’alors inexploré «Avoir enfin un domaine bien à (eux), un projet propre, que conteste à peine et superficiellement quelques rares géologues « (A.Meynier).

lecture

« →Ap la 2eme guerre mondiale rupture avec la géographie classique.

Origine interne ou renouveau imposé par des facteurs externes ?→Grd géographie ayant conduit la modernisation: P.

George, J.Dresh Chap 7 : La géographie, science social. →Géo active : « Un trouble ne doit pas dérober le fond des chose » VB les géographes ne doivent pas attendre la stabilisation d’un phénomène (exode, flux, …)pour l’étudier.

Géo active souligne les évolutions et les tendances à court terme, évalue les progressions et régressions.→Géographes marxistes : collectivités humaines s’organisent en fonction de « lois » de logiques économiques et sociales, moyen de surmonter les obstacles à sondeveloppement.«Toute étude géographique qui se bornerait à un examen des genres de vie se résoudrait en une énumération d’échantillons « … » Pareille enquête ne saurait menerbien loin» P.

George, Introduction à l’étude géographique de la population.Géographes marxistes privilégiaient l’étude de « l’Homme-producteur » Chap 8 : Années 1960 nouveaux thèmes, nouvelles problématiques. →Accent sur l’espace terrestre aménagé par les sct, poursuite des études régionales (géo classique) + élargissement et explication (structures sociale, villes, leurhiérarchisations, leurs relations, …)→Etudes des rapports campagnes-villes.

G.Chabot étudie ces interactions à travers les mouvements de pop, les médecins généralistes et spécialisés,…→Banalisation de l’étude des réseaux urbains : étudiés par d’autres que les géo marxistes.

Cela n’implique pas l’adhésion aux théories marxiste car lecture etl’interprétation étaient différentes.→Aménagement du territoire français : J.F Gravier étudie les moyen pr reconstruire et développer l’éco du pays (Paris et le désert français, Le Portulan).Projet de réorganisation du territoire français, géo mise au service de l’action.

Important moyens débloqués pour aménager les grandes capitales de province.→Le thème du tiers monde : Yves Lacoste, géographie du sous-développement (1965).

Démarche en apparence classique, il confronte plusieurs études régionalespour en obtenir une géographie générale.Y.

Lacoste inaugure aussi la démarche inverse : «Unité et diversité du tiers monde » (Hérodote), rappels théoriques suivis de critique de différentes « représentations» du Tiers Monde (Cuba, Algérie, Asie, Afrique).→Accentuation de la séparation géo physiq et hum dans les années 50.

Profitant de la spécialisation de la géo hum vers les sciences sociales, la géo physiq devientautonome et très spécialisée. Chap 9 : Inquiétudes épistémologiques. →géo marginalisée : progrès des sciences ds les années 60.

Notoriété en baisse face aux autres sciences (socio, éco, démo,…), analyses de terrains qui leurs avaientapporté grd audience devient handicap (empêche généralisation).→Yves Lacoste, La géographie, ça sert, d’abord, à faire la guerre (Maspero, 1976) : le débat sur l’écartement de la politique pour des raisons de« neutralité ».Pamphlet ou il dénonce l’ambiguïté, la frilosité théorique des géographes.→Nouvelles ques de sct : écologie logiquement associé à la géographie, mais morcellement de la géo physique (géomorphologie, climato, hydrologie,…).→ Nouvelles technologies : photos aériennes, statistiques, nouveau regard des géographes.Landsat 1972, premier satellite apporte obs précieuses de la surface de la terre.Informatiq : stockage et organisation des données, mise en évidences de corrélation «cachée ».→Institutions assurant le «contrôle» déstabilisées à la fin des années 60, unanimité jamais récupérée.Querelles ancien- jeunes générations.

Non-respect de la bienséance universitaire de jeunes géographes qui portent des regards critiquent, sévères sur des œuvres, deschercheurs reconnus.

A.Meynier fait un bilan critiq à l’encontre des jeunes générations dans Histoire de la pensée géographique en France.→Doutes épistémologiques (critique des sciences, des formations et des conditions de la connaissance scientifique).

Diversité des spécialités inquiète, tentatives derecentrage accentuent les divergences.Conséquence : naissance de 3 grande revues geographiq :Espace –Temps : J.Levy, bénéficie de grande publicité dans le journal Le MondeHérodote : renom construit sur ses travaux consacrés aux pays sous-développés.

Y.

Lacoste, P.George, Brunet,….L’Espace géographique : créée autour de R.Brunet.

Travail très scientifique, s’intéressent aux problèmes de méthodes, aux nouvelles technologies (télédétection).Objectif : construction d’une véritable science de l’espace géo. Chap 10 : Une géo « recentrée » mais plurielle. →Aujourd’hui 3 voies différentes : la géo physiq, la géo science de l’espace, géo dont la priorité est l’étude des sct et de leurs rapports avec l’espace.→Géo physiq : stimulée par les préoccupations environnementales, forte demande sociale (mode de production, consommation génératrice de pollution et denuisance,..).«Lorsqu’une novation scientifique est rapidement adoptée par une culture la raison n’en est pas dans la clarté ou la simplicité […] ; elle est que cette théorie résout,un problème de société » A.Jacquard.→Travaux théorique sur la localisation des activités (situation optimale d’une usine par ex), conception de modèles géo.

Ex : théorie sur repartissions des villesselon la taille, la nature de ses équipements, par l’allemand W.Christaller ou l’américain B.Berry.→Chromere : Modélisation des espaces étudiés, cad « une représentation formalisée et épurée du réel […] qui passe par la simplification, l’abstraction ».R.Brunet,Les mots de la géographie Médiatisation de la représentation chromatique car grande vertu pédagogique.

Mais une seul lecture exprimée, réduction par l’auteur à cequi lui semble le plus important.→La géographie science des sct ds l’espace : grande influence du marxisme, selon eux le rapport espace géo-homme ne peut se comprendre qu’en fonction deslogiques éco.Beaucoup de théorisation. CONCLUSION →Aujourd’hui crise des modèles éco et idéologique, politique de recherche de solution « locales » (décentralisation) qui sollicite les géographes, bon connaisseur duterrain.→Résultats des recherches consignées dans des thèses, articles, … mais faible vulgarisation (faute de moyen).→Les 25 dernières années grandes polémique : opposition de la géo classique (priorité aux études de terrains) et géo moderne (désirs de modélisation,d’abstraction).Recherche d’articulation entre ces 2 idéologies.

Grands espoirs, Géographie universelle, R.Brunet se veut bilan théoriq et méthodiq des changements intervenusdepuis 1980.→Divergence géo physique et géo humaine : Interactions permises car aptitude des géo à saisir la complexité naturelle et social d’un espace particulier répond auxbesoins qui se manifeste lors des projets d’aménagements (ex : étude de l’impact du projet,…). Remarque méthodique :. »

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