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J'ai 14 ans et je suis détestable: résumé par chapitre

Publié le 05/09/2018

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Chapitre7: Le grenier.
On m'appelle pour manger, je fait la sourde oreille. Mangé ? C'est bien le dernier de mes soucis. Je me demande comment survivre ici, dans cette pièce qui ne me ressemble pas. Des pas lourd dans les escaliers, c'est papa qui vient me parler en disant que maman a eu raison c'est définitivement un ennemi. Il me prend par la bras et m'amène a table mêmesi l'odeur est appétissante je ne touche pas a mon assiette, quand d'un coup une idée me vient en tête vus que je ne peux pas changer ma chambre, je n'ai cas la changer et aller dans le grenier ! Notre maison dates du 19ème siècle et est bâtie en hauteur. Le grenier remise un tas de vieilleries dont mes parents ont oublié leur existence. Si je squatte là-haut , ils ne viendront pas y fourrer leur nez ! Quand j'étais petite, il me fascinait et j'en avais peur aussi mais il m'attirait irrésistiblement, mon jeu préféré était de monter jusqu'au dessus. Quelque fois, l'attrait de l'aventure l'emportait et je montais nargué Whoo, le fantôme du grenier !

« On est vendredi soir, je vais avoir le week -end pour souffler.

Car Boudet ma fichu les boules quand elle a rendu les rédacs.

«Hors -sujet !» m'a-t -elle craché en plus de ses remarques en tenant ma copie comme un torchon. Toutes la classe a éclaté de rire même Pauline.

Elle a fusiller Doc Rasta du regard.

Je déteste son ironie chez Boudet, elle essaie toujours de nous ridiculiser mais Doc lui ne se laisse pas faire pour autant.

De retour a la maison, que s'est bien la solitude ! Mes parents ne rentrent pas avant 19heure.

Je suis monter après une longue tergiversé chercher le nouveau numéro de Pauline.

Le choc quand je suis arriver dans ma chambre, toutes mes photos ont disparue.

Bien évidemment c'était maman la coupable, tout étais rangé.

Je vivais dans mon monde avec la savane et maintenant je vis dans une maison de poupée.

J'étais vraiment en colère que d'un bond j'ai réinstaller toutes mes photos, je n'ai même pas entendue ma mère arrivée et ma engueuler disant que ça abîmait le papier peint j'ai repris disant que trouvait son papier peint horrible et que c'était ma chambre que j'en fessais se que je voulais, qu'elle avait rien a dire.

Elle ma giflé et a arracher mes photos du mur, tout étais froissé, je sanglote allongée sur mon lit.

Maman redescend en disant que quand je serrais calmée je devrais aller chercher un sac poubelle et tout ramasser. Chapitre7: Le grenier. On m'appelle pour manger, je fait la sourde oreille.

Mangé ? C'est bien le dernier de mes soucis.

Je me demande comment survivre ici, dans cette pièce qui ne me ressemble pas.

Des pas lourd dans les escaliers, c'est papa qui vient me parler en disant que maman a eu raison c'est définitivement un ennemi.

Il me prend par la bras et m'amène a table même si l'odeur est appétissante je ne touche pas a mon assiette, quand d'un coup une idée me vient en tête vus que je ne peux pas changer ma chambre, je n'ai cas la changer et aller dans le grenier ! Notre maison dates du 19ème siècle et est bâtie en hauteur.

Le grenier remise un tas de vieilleries dont mes parents ont oublié leur existence.

Si je squatte là-haut , ils ne viendront pas y fourrer leur nez ! Quand j'étais petite, il me fascinait et j'en avais peur aussi mais il m'attirait irrésistiblement, mon jeu préféré était de monter jusqu'au dessus.

Quelque fois, l'attrait de l'aventure l'emportait et je montais nargué Whoo, le fantôme du grenier ! Chapitre 8: Une fenêtre sur les étoiles. Je déménage au grenier tout de suite, je monte mais au lieux de m'arrêter au premier étage je continue, ça fait au moins 5 ans que je n'y suis plus allé.

Arrivé a la porte un étrange silence règne ici, malgré moi, mes vieilles terreurs revienne comme quand j'avais 7 ou 8 ans.

Mais je me suis ressaisie et en 3 enjambées , j'ai franchis les quelques mètres qui me séparent du dernier palier, j'ouvre, il fait très sombre, un rayon de lune laisse deviner dans l'ombre tout un bric -à-brac mystérieux.

Je m'empresse d'aller allumer le lumière.

Il n'y a que des objets banals qui ne m'évoquent aucun souvenir, je n'ai donc rien a craindre d'eux.

Ce fameux fatôme n'est et n'a jamais été que le fruit de mon imagination.

Je retrousses mes manches et durant un bonne demi-heure j'ai ranger.

Quand je termine mon emménagement, il n'est pas loin de minuit.

Je suis crevée, en sueur, couverte de poussière, mais le résultat en vaut la peine.

Deux ou trois allers-retour pour ramener le strict nécessaire d'en bas, vêtement, walkman, bouquins de classe, oreiller, lampe de chevet et le tour est jouer.

J'ai trouver ma tanière, loin du monde des vivants mais près des étoiles.

Pour horizon des toits et comme voisin de chats errants et des oiseaux.

Je me suis coucher sens me doucher, pas le courage et mes parents auraient entendus la douche et m'aurais engueulé vus l'heure.

Mais au grenier en ne m'entent rien.

Les rayons de la lune donnes en plein sur mes photos, finalement maman a eu raison de m' «éjecter» de ma chambre, c'est tellement mieux ici ! Je suis sur le point de m'endormir quand je ressent un décharge électrique, je me redresse d'un bond. Non mon imagination me joue encore des tours ! Mais j'ai ressenti une présence près de moi, comme si quelqu'un m'observait dans l'obscurité. »

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