JE ME TROUVAIS, JEUNES FILLES, UN BEAU MATIN d’Ange Politien
Publié le 27/08/2015
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JE ME TROUVAIS, JEUNES FILLES, UN BEAU MATIN. Cette ballade fait partie des poésies mineures d’Ange Politien (1454*1494). Par poésies mineures, entendez pièces de circonstances, le plus souvent improvisées et plus brèves que les autres morceaux de l’auteur. Cette ballade très célèbre est un hymne à la joie, le plus harmonieux sans doute de l’œuvre de Politien. « Au milieu de mai. dans un vert jardin «, le poète cueille « des fleurs nouvelles «, tout heureux de s’abandonner à sa fantaisie. Soudain, il aperçoit des roses : il songe aux différents aspects de leur courte vie. Devant leur beauté fugitive, il mesure alors la précarité de la jouissance humaine. En dire plus long serait abîmer ce poème infiniment tendre et riche d’effluves printanières.
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