Journal de Gide (résumé & analyse)
Publié le 13/12/2018
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Journal
Dès sa quatorzième année sans doute (après la révélation que fut pour lui la lecture d’Amiel) jusqu’à dix-huit mois avant sa mort (après le 12 juin 1949, il laissa courir sa plume dans un cahier mi-journal sans dates, mi-souvenirs en vrac : ce fut le posthume Ainsi soit-il ou Les jeux sont faits), Gide tint un journal; dès la fin de 1909, il en publia quelques fragments («Journal sans dates » dans la Nouvelle Revue française), puis le texte suivi pour les années 1889-1932 dans les quinze tomes de ses Œuvres complètes', en mai 1939 paraît l’épais volume de la « Bibliothèque de la Pléiade » : Journal 1889-1939 (1 350 p., avec index). Deux autres volumes, parus en 1944 et 1950, y ajoutent les 350 dernières pages, que complétera le Journal intime
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