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Le Père Goriot D'Honoré de Balzac

Publié le 31/07/2010

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Le roman Titre de l’œuvre : Le Père Goriot Auteur : Honoré de Balzac Date de publication : 1835 Type de roman : roman d’apprentissage Mouvement littéraire : romanesque et réaliste Mode de découpage : divisé en 4 grandes parties L’auteur Honoré de Balzac né le 20 mai 1799 à Tours, d’une famille de petite bourgeoisie fit ses études à tours puis continua à Paris, car sa famille et lui ont été contraint de déménager pour le travail Bernard-François Balssa, son père. Il suivra donc des études de droit Sorbonne, suite à celles-ci il devint clair de notaire puis d’avoué. Mais pour assouvir ses envies de richesse et de célébrité il se mit, en 1819, à la littérature. Il écrivit des romans d’aventures puis après quelques tentatives malheureuses dans l’imprimerie et l’édition. Il publia des œuvres comme Le Dernier Chouan (1829) ou La peau de chagrin (1831) où il connu enfin du succès. Entre 1829 et 1852 paru 137 romans et nouvelles de ce grand auteur français. La quasi-totalité de ses romans et nouvelles formairent un ensemble qu’il appela La Comédie humaine. Durant sa vie, Balzac, entra dans une spirale infernale de dettes d’où il n’en sorti jamais. Il décéda le 18 aout 1850 à Paris quelques semaines après s’être marié avec la comtesse polonaise Hanska. Quelques œuvres :

1831 La Peau de chagrin 1833 Eugénie Grandet 1835 Le Père Goriot 1837-1843 César Birotteau, Illusions perdues 1838-1847 Splendeurs et misères des courtisanes 1842 La Rabouilleuse 1844 Les Paysans 1846 La Cousine Bette 1847 Le Cousin Pons Les personnages Le père Goriot : Jean-Joachim Goriot, ancien négociant, ouvrier vermicellier, a fait fortune sous la Révolution. Profitant de la disette qui sévissait pendant cette période, il a pu vendre ses farines en décuplant leur prix. Resté veuf avec deux filles qu’il idolâtre, il dote chacune d’elles de la moitié de sa fortune. L’une deviendra comtesse de Restaud et l’autre baronne de Nucingen, mais comme aucun de ses nobles gendres n’accepte de l’accueillir, il se retire à la pension Vauquer. Il finit par y mourir de chagrin, en apprenant la situation financière de ses filles. Eugène de Rastignac : fils du baron de Rastignac, venu de Charente pour étudier le droit à Paris. Il est tout d'abord seul, il piétine, mais il se trouve des alliés : Mme de Beauséant et Mme de Nucingen. À la maison Vauquer, il rencontre Jacques Collin, alias Vautrin, qui excite ses mauvais penchants. Toutefois Rastignac, ambitieux mais humain, ne suit pas jusqu’au bout les conseils criminels de Jacques Collin.il trouve dans cette pension un ami d’Horace Bianchon (médecin). Dans le récit Rastignac tombe amoureux de Delphine de Nucingen, fille du père Goriot. Vautrin : ancien forçat très épris de revanche sociale. Il a l’art du transformisme et sait plier les faibles à sa volonté. Il est dénoncé et envoyé en prison. Victorine Taillefer : une fille que son père a déshéritée après la mort de sa mère, au profit de son frère. Elle vit pauvrement avec une parente, Mme Couture, mais elle récupérera son héritage après la mort de son frère, causée par Vautrin. Mlle Michonneau et Mr Poiret : personnage peut présent dans le récit, ils se feront chasser de la pension après avoir dénoncé Vautrin Bianchon : C''est un étudiant en médecine. Il fréquente la Pension Vauquer, mais seulement en tant que demi-pensionnaire. Il est l’ami d’Eugène, il veillera au coté de son ami sur le père Goriot avant que celui-ci ne décède. Delphine et Anastasie : fille du Père Goriot, elles ne viennent le voir uniquement pour lui demander de l’argent elles n’ont aucune considération pour leur père. Madame de Beauséant : bienfaitrice d’Eugène de Rastignac Résumé du roman L’action du roman débute en 1819 dans une pension bourgeoise de Paris, appelée Maison-Vauqueur. Cette pension est tenue depuis 40 ans par Mme Vauqueur, s’y côtoient des pensionnaires et des habitués du quartier qui ne viennent y prendre que le dîner. Mais ce roman nous narre, principalement l’histoire d’Eugène de Rastignac venue à Paris pour faire son droit ainsi que pour connaitre la fortune. Mais malheureusement ce jeune homme, d’une famille noble désargentée, n’a aucune connaissance de la société parisienne. A l’exception de sa cousine Madame de Beauséant, qui le prendra sous son aile afin de l’aider à appréhender cette société. Grace à elle, Rastignac apprendra les bonnes mœurs de la société parisienne. Ce jeune homme qui est installé a la Maison-Vauqueur va se prendre d’affection pour son voisin de palier : Le Père Goriot qui consacre tout son argent au bonheur de ses deux filles, Anastasie, l'aînée et Delphine, la cadette sans recevoir aucune considération de leur part . Il leur a offert une belle éducation, et leur a constitué une dot, il a marié Anastasie au Comte de Restaud et Delphine au banquier Nucingen. Ce personnage, pourtant complètement désintéressé de la société mondaine parisienne va permettre à Rastignac de rencontrer une de ses filles (Delphine de Nucingen). Celui-ci, de plus sera fortement encouragé par sa cousine à tenter de charmer la fille cadette du Père Goriot. Mais dans un même temps Vautrin, autre résidant de la pension, tentera de passer un marché fort douteux avec Eugène, mais sans réussite, il se fera, plus tard, arrêter par la police, car ce personnage n’était autre qu’un prisonnier évadé (Jacques Collin). Enfin Rastignac réussi-t-a se faire un place dans la société parisienne. Il passa de nombreuses soirées avec Delphine de Nucingen, seulement, un matin de retour à la pension Vauqueur, Rastignac trouva le père Goriot très affaibli. Il allait mourir, mais avant de décéder le Père Goriot voulait voir ses filles celles-ci restèrent absente. Puis il décéda et Eugène de Rastignac se chargea de l’enterrement du Père Goriot ou seul lui, le personnel des filles du défunt et son ami Bianchon furent présent à la cérémonie. Un passage du texte Partie IV p367 : « Rastignac, resté seul, fit quelque pas vers le haut du cimetière et […] a nous deux maintenant ! ’’ « Résumé du passage : Cette scène se situe toute à la fin du récit. Ce moment se déroule à la suite de l’enterrement du Père Goriot, Eugène de Rastignac avance vers le haut du cimetière du Père Lachaise et se retrouve en face de Paris. Il s’immobilise et observe la ville et ses lieux ou se retrouve la haute société parisienne. Alors à ce moment Rastignac prononça ces mots : « A nous deux maintenant «. L’intérêt de ce passage : Je trouve que cette scène montre bien le contraste qu’il existe entre la réalité et ce qu’on pense. Effectivement dans ce passage Eugène de Rastignac se rend compte de la cruauté du monde noble et bourgeois de Paris dans lequel il s’est fait une place. Il s’en rend compte a travers le mépris qu’ont les filles du Père Goriot à son égard, car même le jour de son enterrement Delphine et Anastasie ne sont pas présente, alors que leur père lui a été présent tout au long de sa vie. Conclusion Balzac, dans cette œuvre, critique la société bourgeoise du XIXème siècle. En effet il nous montre une partie de la société parisienne qui est très superficielle et qui semble quasiment inaccessible. Mais cette critique traverse le temps et pourrait s’appliquer de nos jours. Car aujourd’hui cette société noble s’est raréfiée et est encore moins accessible qu’à l’époque du roman. Balzac ici condamne en quelque sorte un monde ou le paraitre est roi, où la pauvreté n’est pas acceptée et où la réputation joue un rôle central. Mais dans ce roman on trouve aussi une part de romantisme, que ce soit a travers l’amour que porte le Père Goriot à ses filles ou même par les sentiments d’Eugène de Rastignac a l’égard de Delphine. L’auteur, ici, va même jusqu'à montrer que si ces sentiments ne sont pas partagés ou très peu explicités, ils peuvent tuer un homme. Il illustre cela par la mort du Père Goriot a la fin du roman.

 

Le roman commence en novembre 1819. Dans la pension Vauquer, au Quartier latin, minutieusement présentée, le jeune étudiant en droit Eugène de Rastignac est intrigué par le pitoyable père Goriot, qui aide financièrement la comtesse de Restaud, et par les allées et venues du mystérieux Vautrin. Chez Mmes de Restaud et de Beauséant, Rastignac apprend la véritable personnalité du père Goriot, ancien vermicellier qui se ruine pour ses filles, Anastasie (Mme de Restaud) et Delphine (épouse du banquier baron de Nucingen), lesquelles le méprisent. Refusant le conseil cynique de Vautrin l’invitant à courtiser Victorine Taillefer, jeune pensionnaire susceptible d’hériter la fortune de son père si on précipite les événements par un crime, Eugène, encouragé par Goriot, entreprend la conquête de Delphine. Attirés par une forte prime, deux locataires, Mlle Michonneau et Poiret, aident le policier Gondureau à arrêter Vautrin, forçat évadé surnommé Trompe-la-Mort, qui a réussi à faire tuer le frère de Victorine. Pendant ce temps, Eugène est devenu l’amant de Delphine. Accablé par les difficultés d’argent, rejeté par l’égoïsme de ses filles, Goriot tombe malade, et Eugène aide son ami, le jeune étudiant en médecine Bianchon, à soigner le malheureux vieillard. Eugène assiste à la dernière soirée donnée par Mme de Beauséant, abandonnée par son amant Ajuda-Pinto. Son état empirant, comprenant que ses filles ne viendront pas, le père Goriot les maudit et meurt au milieu de l’indifférence des pensionnaires et devant Delphine, enfin accourue, mais que les soucis d’argent préoccupent davantage. Rastignac accompagne le convoi funèbre jusqu’au cimetière du Père-Lachaise, d’où il lance un défi à la capitale: «À nous deux maintenant!«, avant d’aller dîner chez Mme de Nucingen.

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« Résumé du roman L'action du roman débute en 1819 dans une pension bourgeoise de Paris, appelée Maison-Vauqueur.

Cette pensionest tenue depuis 40 ans par Mme Vauqueur, s'y côtoient des pensionnaires et des habitués du quartier qui neviennent y prendre que le dîner.

Mais ce roman nous narre, principalement l'histoire d'Eugène de Rastignac venue àParis pour faire son droit ainsi que pour connaitre la fortune.

Mais malheureusement ce jeune homme, d'une famillenoble désargentée, n'a aucune connaissance de la société parisienne.

A l'exception de sa cousine Madame deBeauséant, qui le prendra sous son aile afin de l'aider à appréhender cette société.

Grace à elle, Rastignacapprendra les bonnes mœurs de la société parisienne.

Ce jeune homme qui est installé a la Maison-Vauqueur va seprendre d'affection pour son voisin de palier : Le Père Goriot qui consacre tout son argent au bonheur de ses deuxfilles, Anastasie, l'aînée et Delphine, la cadette sans recevoir aucune considération de leur part .

Il leur a offert unebelle éducation, et leur a constitué une dot, il a marié Anastasie au Comte de Restaud et Delphine au banquierNucingen.

Ce personnage, pourtant complètement désintéressé de la société mondaine parisienne va permettre àRastignac de rencontrer une de ses filles (Delphine de Nucingen).

Celui-ci, de plus sera fortement encouragé par sacousine à tenter de charmer la fille cadette du Père Goriot.

Mais dans un même temps Vautrin, autre résidant de lapension, tentera de passer un marché fort douteux avec Eugène, mais sans réussite, il se fera, plus tard, arrêter parla police, car ce personnage n'était autre qu'un prisonnier évadé (Jacques Collin).

Enfin Rastignac réussi-t-a se faireun place dans la société parisienne.

Il passa de nombreuses soirées avec Delphine de Nucingen, seulement, un matinde retour à la pension Vauqueur, Rastignac trouva le père Goriot très affaibli.

Il allait mourir, mais avant de décéderle Père Goriot voulait voir ses filles celles-ci restèrent absente.

Puis il décéda et Eugène de Rastignac se chargea del'enterrement du Père Goriot ou seul lui, le personnel des filles du défunt et son ami Bianchon furent présent à lacérémonie. Un passage du texte Partie IV p367 : « Rastignac, resté seul, fit quelque pas vers le haut du cimetière et […] a nous deux maintenant ! '’»Résumé du passage :Cette scène se situe toute à la fin du récit.

Ce moment se déroule à la suite de l'enterrement du Père Goriot,Eugène de Rastignac avance vers le haut du cimetière du Père Lachaise et se retrouve en face de Paris.

Ils'immobilise et observe la ville et ses lieux ou se retrouve la haute société parisienne.

Alors à ce moment Rastignacprononça ces mots : « A nous deux maintenant ». L'intérêt de ce passage :Je trouve que cette scène montre bien le contraste qu'il existe entre la réalité et ce qu'on pense.

Effectivementdans ce passage Eugène de Rastignac se rend compte de la cruauté du monde noble et bourgeois de Paris danslequel il s'est fait une place.

Il s'en rend compte a travers le mépris qu'ont les filles du Père Goriot à son égard, carmême le jour de son enterrement Delphine et Anastasie ne sont pas présente, alors que leur père lui a été présenttout au long de sa vie. Conclusion Balzac, dans cette œuvre, critique la société bourgeoise du XIXème siècle.

En effet il nous montre une partie de lasociété parisienne qui est très superficielle et qui semble quasiment inaccessible.

Mais cette critique traverse letemps et pourrait s'appliquer de nos jours.

Car aujourd'hui cette société noble s'est raréfiée et est encore moinsaccessible qu'à l'époque du roman.

Balzac ici condamne en quelque sorte un monde ou le paraitre est roi, où lapauvreté n'est pas acceptée et où la réputation joue un rôle central.

Mais dans ce roman on trouve aussi une partde romantisme, que ce soit a travers l'amour que porte le Père Goriot à ses filles ou même par les sentimentsd'Eugène de Rastignac a l'égard de Delphine.

L'auteur, ici, va même jusqu'à montrer que si ces sentiments ne sontpas partagés ou très peu explicités, ils peuvent tuer un homme.

Il illustre cela par la mort du Père Goriot a la fin duroman.. »

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