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Les Olympiques de Montherlant (résumé & analyse)

Publié le 24/11/2018

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montherlant

Les Olympiques

 

La démobilisation de 1918 permit à Montherlant de revenir sur les stades, qu’il aurait fréquentés dès 1915. De cette expérience sont nés les Olympiques — titre justifié par les jeux Olympiques de Paris —, qui parurent en deux volumes dans la collection des « Cahiers verts », chez Grasset, et valurent la notoriété à leur auteur.

 

L’édition définitive de 1938, augmentée, préfacée, réunit en un seul volume les deux « Olympiques » : « le Paradis à l’ombre des Épées », « les Onze devant la porte dorée ». L’ensemble est varié : on y trouve le récit lyrique d’exploits sportifs, des conversations avec le jeune athlète Jacques Peyrony, dans « la Gloire du stade » et « le Trouble dans le stade », la narration d’un dimanche après-midi de boxe (« Royaume de ce monde »), des poèmes en vers libres (« les Coureurs de relais », « Ves-per »...) ou en prose (« Stade dans le ciel », « Feux sur les corps »...), une petite nouvelle (« Mademoiselle de Plémeur ») et des dialogues scéniques (« la Leçon de football dans un parc », « les Onze devant la porte dorée »). L’unité est conférée par l’exaltation presque mystique du sport.

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