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Résumé de ''Postproduction'' de Nicolas Bourriaud

Publié le 19/08/2012

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L'art contemporain n'est autre qu'un banc de montages alternatif qui utilise, restructure, perturbe, introduit les formes sociales dans des scénarios d'origine. L'artiste manie la déprogrammation afin de reprogrammer à sa guise, suggérant qu'il existe de nouveaux usages possibles des techniques et outils qui sont à la disposition de tous. L'imitation d'objet à proprement parlé peut être destructeur, bien d'avantage que certain discours d'opposition frontale qui ne font qu'agiter les subversions. « L'artiste ne doit laisser à personne le soin de légender ses images car les légendes sont aussi des images à l'infinie «.  Les pratiques de postproduction procréent des œuvres qui viennent remettre en question l'usage des formes du travail.  L'art des années soixante, du Pop art à l'art minimal et conceptuel se rapporte par excellence à une période d'apogée de la communion que forme la production industrielle et la consommation de masse. L'art conceptuel est contemporain de l'avancée décisive des recherches en informatique au début des années soixante-dix.

« On trouve une volonté d'inventer de nouveaux liens entre l'activité artistique et l'ensemble des activités humaines, on construisant un espace narratif qui capture desœuvres et des structures du quotidien.

Au lieu de se limiter à regarder un ensemble d'objets qui serait proposé à leur appréciation, ils sont amenés à évoluer.

C'estdonc à travers l'usage que l'on fait la population que ce constitue le sens de l'œuvre.L'exposition n'est plus l'aboutissement d'un processus mais un lieu de production.

Les artistes des années quatre vingt dix considèrent le lieu de monstration commeun espace decohabitation.

Donnant l'image d'une scène ouverte à mi chemin entre le décor, le plateau de tournage et la salle de documentation.

Un lieu d'exposition telle que lagalerie est un endroit comme les autres, un espace imbriqué dans un mécanisme global, faisant partie du déroulement logique de la production artistique.

Une basesans laquelle aucunes expéditions n'est possible.L'art contemporain n'est autre qu'un banc de montages alternatif qui utilise, restructure, perturbe, introduit les formes sociales dans des scénarios d'origine.

L'artistemanie la déprogrammation afin de reprogrammer à sa guise, suggérant qu'il existe de nouveaux usages possibles des techniques et outils qui sont à la disposition detous.

L'imitation d'objet à proprement parlé peut être destructeur, bien d'avantage que certain discours d'opposition frontale qui ne font qu'agiter les subversions.

«L'artiste ne doit laisser à personne le soin de légender ses images car les légendes sont aussi des images à l'infinie ».Les pratiques de postproduction procréent des œuvres qui viennent remettre en question l'usage des formes du travail.L'art des années soixante, du Pop art à l'art minimal et conceptuel se rapporte par excellence à une période d'apogée de la communion que forme la productionindustrielle et la consommation de masse.

L'art conceptuel est contemporain de l'avancée décisive des recherches en informatique au début des années soixante-dix.Bon nombres de DJ, emploient un quantité de noms d'auteurs diverses.

Un nom représentant désormais un mode d'apparition ou de production, une ligne, une fiction.Cette la même logique s'appliquent aussi sur l'exemple des multinationales, qui reflètent des lignes de produits comme ci elles émanaient de sociétés autonomes.Il n'est simplement question de faire usage de ces œuvres mais de les soumettre à des principes personnelles, en les réexposant et les disposant.

Ceci créant chacunune nouvelle idée pour les objets qu'ils reproduisent.

« Il est bien plus difficile d'être le neuvième à faire quelque chose qu'être le premier ,car il s'agit alorsd'apprendre à bien viser », Georges Brecht, protagoniste majeur du mouvement Fluxus, qui porté à la dérision l'obsession du « nouveau ».

Étant libérés de l'Histoire,nous pouvons avoir recours comme à une sorte de divertissement.

Cette pratique affirme l'importance de maintenir une activité face à la production générale.L'art est une forme d'usage du monde, une négociation infinie entre des points de vue.

Il est bon de juger les œuvres d'art en fonction des relations qu'elles produisentà l'intérieur du contexte spécifique dans lequel elles se débattent.

L'art est une activité qui consiste à produire des rapports au monde, à matérialiser sous une forme ouune autre ses relations à l'espace et au temps.. »

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