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Conséquences de la première Guerre Mondiale

Publié le 17/01/2022

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En 1918, la guerre est finie mais ses traces persistent. Elle a changé le monde en y laissant des conséquences encore perceptible aujourd'hui.  

Conséquences politiques et économiques. Voyant que l'Allemagne demeurait puissante malgré sa défaite lors de la 1ère Guerre Mondiale, les pays victorieux, face à cette puissance, décidèrent d'établir le traité de Versailles. Ce traité inflige à l'Allemagne des sanctions territoriales, militaires et économiques. De ce fait, elle perd approximativement 10% de son territoire et de sa population au profit de la nouvelle Pologne. D'un point de vue militaire, elle se voit démilitarisée et désarmée de façon unilatérale. Sur le plan économique, elle se voit infligé un dédommagement de 132 milliards de Marks-or. Ce traité étant excessivement strict, l'Allemagne ne peut tolérer cette humiliation et cela la motivera certainement à déclencher la 2ième Guerre Mondiale. Cela dit , l'Allemagne n'est pas la seule à avoir des dettes , effectivement , certains pays tels que la Grande-Bretagne , la France , l'Italie , la Belgique , la Russie , … ont effectués des prêts auprès des États-Unis , de la Grande-Bretagne et de la France . En fin de compte, on estime à 3 400 millions de livres le montant total des prêts. Après la guerre, les pays vainqueurs ainsi que d'autres pays comme le Japon, Cuba, la Grèce, ont décidé de se réunir et de créer la Société des Nations. Celle-ci a pour but de maintenir la paix dans le monde. Conséquences sociales. La guerre a fait des ravages dans la population Européenne. L'Allemagne perdit 2 millions de personnes et la Belgique, elle, en perdit 41 000, civils et militaires compris. L'un des points positifs de cette guerre est la nouvelle image de la femme dans la société. Elle a su assumer les responsabilités des hommes absents en plus des siennes durant cette période. En conclusion, la guerre a eu un impact autant sur le plan démographique que politique, social et économique pour les pays européens. Mais la guerre a aussi apportés des conséquences positives telles que la création de la Société des Nations et le nouveau visage de la femme dans la société. Cependant, ce que nous ne comprenons pas, c'est comment l'Allemagne, après de telles pertes, a pu se relever et de nouveau déclarer la guerre en 1940.   

 

« La jalousie de Figaro La fin de l'acte IV fait découvrir au spectateur une nouvelle facette du personnage de Figaro, qui prépare sanouvelle dimension dans l'acte V.

Pour la première fois dans la pièce, Figaro abandonne la gaieté et la confiance quile caractérisent et apparaît en proie au doute.

C'est précisément au moment où tous les obstacles au mariage ontdisparu que Figaro se transforme lui-même en obstacle à son propre bonheur.

Le hasard, qui jusque-là semblait avoirfavorisé ses entreprises, lui fait intercepter la réponse que le Comte fait à Suzanne. S'il parvient à se contenir en présence de Fanchette, sa douleur éclate dès que celle-ci a quitté la scène.

Lesdidascalies en soulignent les manifestations physiques : « comme étouffé », « les mains sur sa poitrine », que confirment d'ailleurs les propres paroles de Figaro : « Ce que je viens d'entendre, ma mère, je l'ai là comme duplomb.

» Puis la douleur fait place à la colère et au désir de vengeance.

Figaro en vient même à envisager de ne pasépouser Suzanne.

Rappelons que la cérémonie de l'acte IV n'avait rien de religieux et que le mariage ne sera célébréqu'après la fin de la pièce. Figaro a donc raison lorsqu'il affirme : « Si mon mariage est assez fait pour légitimer ma colère, en revanche, il nel'est pas assez pour que je n'en puisse épouser une autre, et l'abandonner...

» A travers cette phrase est suggéréela possibilité d'un dénouement malheureux qui vient rappeler que la situation des protagonistes dans Le Mariage de Figaro aurait tout aussi bien pu donner matière à un drame qu'à une comédie. La sagesse de Marceline Mais Marceline, qui reste présente sur scène durant toute cette fin du quatrième acte, modère les excès de son fils.Elle recourt pour cela à l'humour :« Ce coeur plein d'assurance n'était donc qu'un ballon gonflé ? une épingle a toutfait partir ! » Beaumarchais se souvient peut-être ici de la définition de l'amour-propre que donnait Voltaire dansZadig : « L'amour-propre est un ballon gonflé de vent dont il sort des tempêtes quand on lui a fait une piqûre.

» Marceline utilise aussi l'ironie lorsqu'elle feint d'approuver les décisions intempestives de son fils : « Bien conclu !abîmons tout sur un soupçon ! » Puis elle pose une série de questions qui montrent combien l'emportement de Figaro est prématuré.

La conclusion nele ménage pas : « Je te croyais plus fort en jugement ! » Figaro reconnaît d'ailleurs volontiers la sagesse de sa mèreet se range à son avis : « Examinons en effet avant d'accuser et d'agir.

» Marceline apparaît dans ces trois scènes comme une alliée inattendue pour Suzanne.

Elle affirme à la fin de l'acteson intention de prévenir sa future bru à laquelle elle se trouve liée par un sentiment de solidarité féminine.

Ces dernières paroles laissent pressentir au spectateur que le cinquième acte sera celui de la revanche des femmes sur« ce fier, ce terrible..., et pourtant un peu nigaud de sexe masculin ». Le comique Le spectateur, qui sait, Fui, combien les soupçons de Figaro sont injustes, n'est guère enclin à s'attendrir sur lepersonnage.

Il est donc sensible surtout au comique de ces trois scènes.

Dans la scène 14, c'est le personnage deFanchette qui provoque le rire.

Sa naïveté est d'autant plus cornique qu'elle n'en a pas conscience comme lemontre, en particulier, sa dernière réplique : « Il me prend pour une enfant, mon cousin.

»Dans la scène 15, le comique naît de la contradiction flagrante qui apparaît entre le comportement de Figaro et sesbelles déclarations de la scène 13.

Marceline la souligne en reprenant textuellement ses paroles.

Figaro ne s'endéfend pas et justifie cette contradiction par un principe général : « On parle comme on sent : mettez le plus glacédes juges à plaider dans sa propre cause, et voyez-le expliquer la loi ! »La courte scène 16 montre une Marceline gaie et entreprenante, enthousiaste à idée d'une conjuration fémininedirigée contre les hommes.

Elle annonce le manège de Suzanne au cours du cinquième acte.

Avertie, celle-ci pourrase venger des soupçons injustes de Figaro.. »

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