Constantinople
Publié le 05/05/2013
Extrait du document
«
- Les temples sont transformés en mosquées, les églises et autres bâtiments
chrétiens sont complètement dévasté pour les transformés en bâtiments musulman.
Les Turcs disent qu'il
faut détruire les bâtiments chrétiens car ils sont d'une impureté immonde, idolâtre , il aussi enlevé tout les
idoles
-Les cloches des Chrétiens sont remplacé par les chant qui ont lieux 5 fois par jour
5-Pour les Européens, byzantins comme étrangers, la chute de Constantinople est une
catastrophe sans précédent, perçue comme la fi n d’un monde (doc.
2).
Pour les musulmans,
c’est le signe de la supériorité de
l’islam sur la chrétienté, une occasion de purifier la ville (doc.
4).
6- Pour repeupler sa nouvelle capitale, le sultan a beaucoup recours à des chrétiens : grecs
(les « Péloponnésiens»), arméniens, chrétiens non orthodoxes, et des habitants d’autres
parties de l’empire ottoman (Anatolie, Crimée).
Ils
répondent à son appel, car le sultan leur laisse la liberté de s’installer où ils veulent dans la
ville, ainsi que des facilités pour construire leurs édifices (doc.
1) et ils bénéficient toujours
du statut de dhimmi (doc.
4).
Vingt ans après (doc.
2), la ville est redevenue cosmopolite.
À
la fi n du XVe siècle viennent des marranes, juifs expulsés d’Espagne et du Portugal qui
sont bien accueillis par le sultan (doc.
5 et 6).
7-En 1478, les chrétiens forment environ 30 % et les juifs 10 %, de la population (doc.
2),
regroupés par quartiers (doc.
3 et 6).
En tant que dhimmi , ils pratiquent à peu près librement
leur religion, ce qu’attestent à Istanbul le grand nombre de synagogues, d’églises et de
couvents chrétiens (doc.
3 et 6), qu’ils soient grecs, arméniens ou catholiques.
Mais ils sont
soumis à des taxes spéciales (doc.
4 et 6).
Les Grecs sont plutôt paysans dans les environs
d’Istanbul (doc.
1).
D’autres sont spécialisés dans les activités marchandes : Grecs
encore (doc.
4), mais aussi Arméniens (doc.
1), juifs, catholiques italiens ou même
français (doc.
6).
8-Le caractère cosmopolite de la ville explique en partie son dynamisme (spécialisation,
solidarités communautaires).
Chaque communauté possède des édifices variés dont des
lieux de culte (doc.
1) et des écoles (doc.
5).
Les costumes font un spectacle haut en
couleurs (doc.
4 et 5).
Ces communautés servent d’intermédiaires, à l’exemple des Français
et Italiens de Galata et Pera (doc.
6)..
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- En quoi les chutes de Constantinople et de Tenochtitlan marquent-elles la fin d’un monde, et l’avènement d’un monde nouveau ?
- CONQUÊTE DE CONSTANTINOPLE Geoffroy de Villehardouin
- CONQUÊTE DE CONSTANTINOPLE (La). (résumé & analyse)
- DIALOGUE HISTORIQUE SUR LA VIE ET LES ACTES DE SAINT JEAN, ÉVÊQUE DE CONSTANTINOPLE
- Conquête de Constantinople (la) de Villehardouin (résume et analyse complète)