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Constantinople

Publié le 05/05/2013

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1-Constantinople: capitale intellectuelle politique religieuse de l'empire byzantin Non donné par Constantin cette citée est la plus peuplé du pourtour méditerranéens puis appelé plus tard Istanbul pas les Turcs résistera aux barbares aux Arabes aux Russes et aux Bulgares mais tombe le 29 mai 1453aux mains Mehmet II Fathi un Turcs Ottomans qui en ferra sa Capital La ville était située sur une péninsule dans le détroit de Bosphore. Ce passage fait le lien entre la mer Noire et la mer de Marmara. Cette mer intérieure donne accès à la mer Égée, puis à la Méditerranée. Elle avait donc un atout considérable pour le commerce 2- , _ les armées ottomanes prennent Constantinople et mettent fin à l'Empire byzantin, établissant ainsi la domination de l'empire sur la partie à majorité chrétienne de la Méditerranée orientale _C'est une p...

« - Les temples sont transformés en mosquées, les églises et autres bâtiments chrétiens sont complètement dévasté pour les transformés en bâtiments musulman.

Les Turcs disent qu'il faut détruire les bâtiments chrétiens car ils sont d'une impureté immonde, idolâtre , il aussi enlevé tout les idoles -Les cloches des Chrétiens sont remplacé par les chant qui ont lieux 5 fois par jour 5-Pour les Européens, byzantins comme étrangers, la chute de Constantinople est une catastrophe sans précédent, perçue comme la fi n d’un monde (doc.

2).

Pour les musulmans, c’est le signe de la supériorité de l’islam sur la chrétienté, une occasion de purifier la ville (doc.

4). 6- Pour repeupler sa nouvelle capitale, le sultan a beaucoup recours à des chrétiens : grecs (les « Péloponnésiens»), arméniens, chrétiens non orthodoxes, et des habitants d’autres parties de l’empire ottoman (Anatolie, Crimée).

Ils répondent à son appel, car le sultan leur laisse la liberté de s’installer où ils veulent dans la ville, ainsi que des facilités pour construire leurs édifices (doc.

1) et ils bénéficient toujours du statut de dhimmi (doc.

4).

Vingt ans après (doc.

2), la ville est redevenue cosmopolite.

À la fi n du XVe siècle viennent des marranes, juifs expulsés d’Espagne et du Portugal qui sont bien accueillis par le sultan (doc.

5 et 6). 7-En 1478, les chrétiens forment environ 30 % et les juifs 10 %, de la population (doc.

2), regroupés par quartiers (doc.

3 et 6).

En tant que dhimmi , ils pratiquent à peu près librement leur religion, ce qu’attestent à Istanbul le grand nombre de synagogues, d’églises et de couvents chrétiens (doc.

3 et 6), qu’ils soient grecs, arméniens ou catholiques.

Mais ils sont soumis à des taxes spéciales (doc.

4 et 6).

Les Grecs sont plutôt paysans dans les environs d’Istanbul (doc.

1).

D’autres sont spécialisés dans les activités marchandes : Grecs encore (doc.

4), mais aussi Arméniens (doc.

1), juifs, catholiques italiens ou même français (doc.

6). 8-Le caractère cosmopolite de la ville explique en partie son dynamisme (spécialisation, solidarités communautaires).

Chaque communauté possède des édifices variés dont des lieux de culte (doc.

1) et des écoles (doc.

5).

Les costumes font un spectacle haut en couleurs (doc.

4 et 5).

Ces communautés servent d’intermédiaires, à l’exemple des Français et Italiens de Galata et Pera (doc.

6).. »

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