Cour sur la 1ere Guerre Mondiale (1ERE ES)
Publié le 25/01/2015
Extrait du document
«
II) Les Français entrent en guerre.
La guerre est une surprise, l’état d’esprit en 1914 n’était pas la guerre.
Les français
sont très surpris.
Pour quelque nationaliste il y a une volonté de récupérer l’Alsace et
la Laurène depuis 1870.
Section Française de l’International Ouvrière fondé par Jean
Jaurès (SFIO – ancêtre du partie socialiste).
Les socialistes ont un positionnement
pacifiste.
Quand la guerre est déclarée le 3 aout 1914, des personnes ont assassinés
Jean Jaurès (31 juillet 1914).
La France n’est en réalité pas du tout uni face à ce projet
de guerre.
Elle ne va d’ailleurs pas avoir le choix tout le monde pense que cette guerre
sera courte.
La notion de mobilisation.
La mobilisation c’est donc le service militaire obligatoire
lors d’une guerre, ils sont obligés de partir à la guerre.
Elle concerne des millions
d’hommes, ce service militaire obligatoire il est lié à la IIIe république.
Impôt du sang
(défendre son pays).
3.8 Millions français (1.3 millions vont au combat) sont
mobilisés, en tout 8 millions de français pour l’ensemble de la guerre.
On parle d’une
mobilisation massive, cela veut dire le départ un départ massif d’hommes à la guerre,
cela veut dire un ralentissement de l’économie qui est lié au départ des
ouvriers/paysans.
Le gouvernement va être obligé de renvoyer quelque ouvriers et
paysans dans les usines ou dans les champs.
Les femmes les remplacent aussi.
L’idée d’union sacrée.
Raymond Poincaré est président de la république de 1913 à
1920.
Président du conseil Georges Clémenceau (1 er
ministre) (1917-1920).
Raymond
Poincaré va essayer de créer l’Union sacrée.
Il va prononcer un discours pour
demander à tout les parties politiques de s’annoncer pour la guerre et aux français de
mettre leurs opinions politiques de côté.
III) Civiles et soldats face à la guerre.
Quel est la vie des soldats et comment vont il la supporter ?
L’endurance des poilus, le soldat courageux.
Il doit faire preuve d’endurance car il vit
dans des contions d’hygiène déplorable.
Quand vous êtes dans les tranchées, vous
faites l’expérience de la mort quotidiennement, des bruits des bombardements
totalement assourdissants, dans l’odeur des cadavres, vous vivez avec vos blessures.
On vit avec la peur de sa propre mort.
Voir doc 4 page 83 et doc 3 page 83.
Ils ont tenus grâce à la solidarité entre les combattants, l’alcool (ils sont saouls), les
correspondances avec l’arrière (les lettres des civiles).
Les lettres était toutes
censurées et vérifiées (avant et arrière).
1 semaine de repos tout les 4 mois
(permissions), il y avait des activités dans les tranchés pour garder une « vie
normale ».
Voir livre 86-87.
Il y a des mutineries, c’est parce que l’épreuve des tranchées est trop dure.
Voir page
84 B.
Les fraternisations existaient quand même.
Le chemin des dames (avril 1917)
c’est une offensive qui a été extrêmement préparé par le général Nivel qui a été un
désastre terrible, 35 000 morts en 1 semaine.
Le 15 mai 1917, c’est le général Petain
qui remplace Nivel.
300 000 morts en tout.
C’est après le chemin des Dames que vont
se multiplier les mutineries.
Pour les soldats cette offensive pourtant bien préparée est
une totale boucherie.
Cause immédiate, trop de mort.
Cause longs termes, la longueur
de la guerre, la condition de vie des soldats.
Les soldats se posent des questions, le
pacifisme se développe.
La révolution Bolchevik, ils réclament du pain et de la paix.
Ce mouvement pacifiste c’est la volonté de ne plus combattre.
Avril 1917, 40 milles.
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