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DM

Publié le 08/11/2019

Extrait du document

DELAPORTE HUGO TS2 ETUDE DE DOCUMENT: Pourquoi une journée nationale de la Résitance ? Ce document est un extrait d'une proposition de loi rapportée par la députée Emilienne Poumirol, membre du Parti socialiste. Elle est maintenant conseillère départementale dans la Haute-Garonne. Ce document est donc l'extrait d'une proposition de loi qu'elle a ménée lorsqu'elle était députée. Cette loi qui consisterait à faire de la journée du 27 mai, une journée nationale de la Résistance. Cette proposition a été examaninéé le 25 juin 2013 par la Comission parlementaire de la défense nationale et des forces armées et fut alors adoptée par le Sénat en Mars de l'année suivante. Après l'adoption de cette loi on peut alors se demander, en quoi est-il utile d'instaurer une journée nationale de Résistance en France. Tout d'abord la première partie traitera de l'instauration du CNR, une seconde partie sur les homages en général rendus en France ainsi qu'une dernière sur l'évolution des mémoires en France. Dans le premier paragraphe Mme Poumirol évoque le personnage de Jean-Moulin (1899-1943). Jean-Moulin est un personnage emblématique de la résistance française. Il rejoint durant l'occupation nazie les forces libres à Londres et sera alors reperé par le Général...

« propose alors des solutions pour lutter contre l'inflation commémorative qui mène a un désinterêt généralisé du public pour ces évenements.

De plus l'auteur évoque le "clientélisme" et le "communautarisme" qui émerge à partir de l'hypermnésie mémorielle.

Cela évoque alors le mythe du résistancialisme entretenue par de Gaulle dans les débuts de la Guerre froide, ce qui rappelle que des mémoires différentes ont existées.

Pour l'auteur la loi qu'elle propose serait différente est nouvelle à côte des lois mémorielles proposées sous le mandat Chirac.

Elle veut tout simplement créer cette loi pour ne pas oublier les résistants. Depuis la fin de la Guerre à nos jours les mémoires ont énormément évolué les mémoires d'après guerre étaient déjà guidé par le mythe résistancialoiste qui cherchait à mettre en avant la résistance totale de la France durant la Seconde Guerre mondiale.

De Gaulle cherche à mettre en avant l'unité du pays.

Les mémoires sont aussi désunies Les communistes ne veulent pas laisser aux seuls gaullistes la glorification de la résistance.

Les mémoires se divisent aussi lors de l'expression de la collaboration par Pétain et du rôle joué par le régime de Vichy.

En revanche les prisonniers de guerre symbole d'une défaite ainsi que le génocide Tsyganes sont entièrement écartés des premiers mémoires.

A partir de 1970 a lieu le réveil des mémoires avec la rupture du mythe résistancialiste.

De Gaulle meurt alors la même année.

Les langues peuvent se dénouaient.

Les mémoires de la Shoah apparaissent, peu pris en considération à la fin de la guerre les témoignages des Juifs rescapés des camps de concentration sont alors pris en considération c'est anamèse.

Le négationnisme perd alors de l'empleur.

Les historiens entrent alors en jeu pour mettre en commun les témoignages, les analyser, les prendre en considération et s'interroger.

Ensuite dès la fin du Xxème apparait alors le devoir de mémoire.

Après avoir reconnu la responsabilité de la France dans la déportation des Juifs.

Les multiples gouvernements qui se succèderont, entreprendront une politique de commémorations excessives.

Les lois mémorielles seront mise en place.

L'hypermnésie sera donc présente et obligera alors les Historiens à rester objectif dans leur travail bien que les lois mémorielles adoptés leur aient empêché de mener leur travail à bien car elles les privèrent de certains libertés.

Ce document peut-être critiqué car tout d'abord il remet en question les nombreuses politiques de mémoires.

Pour l'auteur la politique du devoir de mémoire est trop excessive.

En revanche les mémoires de la résistances ne sont pas assez mises en avant.

Ce document défend un mythe résistancialiste dans une ampleur bien inférieur à celle de De Gaulle mais met d'avantage en avant la résistance durant la Guerre que les victimes de déportation ou victimes de guerre.

Je ne vois pas pourquoi faire du 27 mai un jour national de la résistance si ce n'est pas pour conforter les gaullistes dans leur mythe de résistancialiste.

De plus je pense qu'il faut d'avantage mettre en avant les victimes ainsi que ceux qui ont défendu notre pays que de mettre en avant une résistance importante car cela serait tromper la population.. »

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