DM
Publié le 08/11/2019
Extrait du document
«
propose alors des solutions pour lutter contre l'inflation commémorative qui mène a un
désinterêt généralisé du public pour ces évenements.
De plus l'auteur évoque le
"clientélisme" et le "communautarisme" qui émerge à partir de l'hypermnésie mémorielle.
Cela évoque alors le mythe du résistancialisme entretenue par de Gaulle dans les débuts de
la Guerre froide, ce qui rappelle que des mémoires différentes ont existées.
Pour l'auteur la
loi qu'elle propose serait différente est nouvelle à côte des lois mémorielles proposées sous
le mandat Chirac.
Elle veut tout simplement créer cette loi pour ne pas oublier les résistants.
Depuis la fin de la Guerre à nos jours les mémoires ont énormément évolué les
mémoires d'après guerre étaient déjà guidé par le mythe résistancialoiste qui cherchait à
mettre en avant la résistance totale de la France durant la Seconde Guerre mondiale.
De
Gaulle cherche à mettre en avant l'unité du pays.
Les mémoires sont aussi désunies Les
communistes ne veulent pas laisser aux seuls gaullistes la glorification de la résistance.
Les
mémoires se divisent aussi lors de l'expression de la collaboration par Pétain et du rôle joué
par le régime de Vichy.
En revanche les prisonniers de guerre symbole d'une défaite ainsi
que le génocide Tsyganes sont entièrement écartés des premiers mémoires.
A partir de 1970
a lieu le réveil des mémoires avec la rupture du mythe résistancialiste.
De Gaulle meurt
alors la même année.
Les langues peuvent se dénouaient.
Les mémoires de la Shoah
apparaissent, peu pris en considération à la fin de la guerre les témoignages des Juifs
rescapés des camps de concentration sont alors pris en considération c'est anamèse.
Le
négationnisme perd alors de l'empleur.
Les historiens entrent alors en jeu pour mettre en
commun les témoignages, les analyser, les prendre en considération et s'interroger.
Ensuite
dès la fin du Xxème apparait alors le devoir de mémoire.
Après avoir reconnu la
responsabilité de la France dans la déportation des Juifs.
Les multiples gouvernements qui
se succèderont, entreprendront une politique de commémorations excessives.
Les lois
mémorielles seront mise en place.
L'hypermnésie sera donc présente et obligera alors les
Historiens à rester objectif dans leur travail bien que les lois mémorielles adoptés leur aient
empêché de mener leur travail à bien car elles les privèrent de certains libertés.
Ce document peut-être critiqué car tout d'abord il remet en question les nombreuses
politiques de mémoires.
Pour l'auteur la politique du devoir de mémoire est trop excessive.
En revanche les mémoires de la résistances ne sont pas assez mises en avant.
Ce document
défend un mythe résistancialiste dans une ampleur bien inférieur à celle de De Gaulle mais
met d'avantage en avant la résistance durant la Guerre que les victimes de déportation ou
victimes de guerre.
Je ne vois pas pourquoi faire du 27 mai un jour national de la résistance
si ce n'est pas pour conforter les gaullistes dans leur mythe de résistancialiste.
De plus je
pense qu'il faut d'avantage mettre en avant les victimes ainsi que ceux qui ont défendu notre
pays que de mettre en avant une résistance importante car cela serait tromper la population..
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