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Exposé sur les ports Français au XVIIIème siècle

Publié le 03/12/2011

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On assiste à un véritable appel des littoraux, ce sont des zones encore trop peu exploité au XVIIème siècle, on ne commercialise pas assez avec le Levant, l’Italie, l’Espagne, le Nord. De plus, les étrangers tirent plus profit que nous de nos échanges. C’est alors que Colbert et ses poursuivants s’engagent pour relancer le commerce, on passe de 350 à 700 navires entre 1664 et 1704. Un progrès est alors admis. Colbert n’était pas seul à pousser les populations vers les littoraux pour développer le commerce, il n’était pas seul pour demander le financement de bateaux mais ils étaient trop peu et certain code comme le code noir, l’ordonnance de la marine se posait en rempart. C’est pour cela que le développement fut difficile. De plus les nombreuses guerres ralentissaient le commerce. Mais lorsque Louis XIV mourut, lorsque les nombreuses guerres furent finies, un second souffle vint des îles, des Amériques.

« 2 Marseille est aussi un cas de trafic traditionnel du XVII ème siècle qui connait un plein essor au d ébut du XVIII ème de même que Bordeaux ou encore Nantes et Le Havre- Rouen.

On doit certes cet élan commercial aux idées mercantilistes de Colbert qui sont approfondies par la suite mais aussi à un progr ès technique des navires.

c.

Les progrès navals D’abord le matériel nautique, on construit mieux et plus grand.

Après 150 ans de travail acharné sur la construction navale, le progrès est là même s’il a été très lent.

Les chantiers navals on t travaillés sur la durée des bateaux, ils durent en moyenne 15 à 20 ans.

Ce sont des bateaux généralement à 3 mats et voiles carrées, ils sont grands et au XVIIIème, ils peuvent aller jusqu’à 460 tonneaux, le tonneau étant l’unité de tonnage représentant le volume, la capacité d’un navire.

1 tonneau = environ 3m 3.

Il y a 3 champs importants à améliorer, la sécurité, la vitesse et la cherté.

On n’a pas manqué à l’époque de signaler les progrès de navigation qui règlent le problème de la sécurité.

Le progrès est également présent au niveau de la vitesse, par exemple en tre 17 15 et 17 90, on met en moyenne 37jours pour la liaison Marseille -Terre- Neuve.

Le problème est que la vitesse coûte cher car il faut plus d’équipage, ce n’est pas au XVIII ème siècle que le problème de cherté se règlera mais seulement au XIX ème avec les transp orts modernes.

L’essor du commerce extérieur et les progrès techniques permettent un développement portuaire considérable, mais cet essor n’est pas venu comme ça, c’est un véritable souffle marin qui a touché la France, nous allons en voir les origines.

II.

Le développement portuaire : Un lien industrie /m er a.

L’appel de la mer On assiste à un véritable appel des littoraux, ce sont des zones encore trop peu exploité au XVIIème siècle, on ne commercialise pas assez avec le Levant, l’Italie, l’Espagne, le Nord.

De plus, les étrangers tirent plus profit que nous de nos échanges.

C’est alors que Colbert et ses poursuivants s’engagent pour relancer le commerce, on passe de 350 à 700 navires entre 1664 et 1704.

Un progrès est alors admis.

Colbert n’ était pas seul à pousser les populations vers les littoraux pour développer le commerce, il n’était pas seul pour demander le financement de bateaux mais ils étaient trop peu et certain code comme le code noir, l’ordonnance de la marine se posait en rempart.

C’est pou r cela que le développement fut difficile .

De plus les nombreuses guerres ralentissaient le commerce.

Mais lorsque Louis XIV mourut , lorsque les nombreuses guerres furent finies, un second souffle vint des îles, des Amériques.

Des matières premières comme le coton, le sucre ou le café sont en pleine expansion.

Il y a dans le même temps un réaménagement des grands ports et une croissance démographique importante dans ces zones.

Entre 1704 et 1791, on passe de 700 navires commerciaux de plus de 100 tonneaux à 2341.

C’est donc d’abord Colbert qui répond aux appels de la mer puis le Levant et après les îles Atlantiques et leurs produits très intéressant.

C’est alors que l’industrie se développe en parallèle pour assurer les exportations françaises.

b.

La réponse de l’industrie et son essor parallèle Dans la deuxième moitié du XVIIème, l’industrie avance à une allure très lente, malgré les tentatives de rénovation.

A cette époque, ce sont les industries textiles qui occupent les premiers rangs des exportations en France notamment avec la draperie.

A partir de 1660, l’Etat a une véritable volonté de prendre en main l’essor industriel.

Ce n’est tout de même pas facile du fait d’une économie pas assez forte, des besoins de développement portuaire qui agissent en parall èle, des conditions de travail extrêmement difficile.

Pourtant, dès le début du XVIIIème siècle, la machine industrielle se met en marche et apparaissent les premiers signes d’essor industriel.

Les draps languedociens sont. »

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