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Gebel Barkal, l'Amon de « la Montagne pure »

Publié le 06/11/2014

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verte par un officier du vice-roi Sadd Pacha en 1862. Cette stèle n'est pas un compte ren­du des faits d'armes du souve­rain mais plutôt une manière de confirmer son emprise sur la Haute et la Basse-Égypte. Piânkhy fait restaurer le tem­ple d'Amon érigé par Thout-mosis et déjà agrandi par Ramsès II. Outre la restaura­tion proprement dite du sanc­tuaire, il y fait édifier une salle hypostyle et un deuxième py­lône, qui donnent au Gebel Barkal des allures de petit Karnak.

Capitale de la Haute-Égypte sous le règne de Piânkhy, Na-pata conserve son rôle de centre politique et religieux lorsque les Koushites sont re­jetés hors d'Égypte, et ce jus­ 

« verte par un officier du vice­ roi Saïd Pacha en 1862 .

Cette stèle n'est pas un compte ren­ du des faits d'armes du souve ­ rain mais plutôt une manière de confirmer son emprise sur la Haute et la Basse-Égypte.

Piânkhy fait restaurer le tem­ ple d' Amon érigé par Thout­ mosis et déjà agrandi par Ramsès Il.

Outre la restaura­ tion proprement dite du sanc­ tuaire, il y fait édifier une salle hypostyle et un deuxième py ­ lône, qui donnent au Gebel Barkal des allures de petit Karnak.

Capitale de la Haute-Égypte sous le règne de Piânkhy, Na ­ pata conserve son rôle de centre politique et religieux lorsque les Koushites sont re­ jetés hors d'Égypte, et ce jus- qu'à la disparition du royau­ me vers 350 avant J.-C.

Les premiers voyageurs qui visite ­ ront le site au XIX• siècle dé­ couvriront au pied de la mon­ tagne sacrée trois palais et treize temples, dont le sanc­ tuaire de Mout est certaine­ ment le plus emblématique.

Pour la renaissance de Pharaon E n partie creusé dans la col­ line de Gebel Barkal selon les vœux de Taharqa, le fils de Piânkhy, aux alentours de 680 avant J.-C., le temple de Mout est unique en son genre et permet de se faire une idée de l'importance qu'avait aux yeux des Égypt ie ns l'éperon rocheux consacré à Amon.

Le sanctuaire est dédié à Mout, Hathor et Bès.

Peut-être les colossales figures de Bès et d'Hathor qu'il abritait étaient­ elles destinées à apaiser la co­ lère de Mout, Bès, dieu pro­ tecteur du foyer, et Hathor, déesse de la musique, étant des divinités bienveillantes.

Mout et Hathor jouent un rô-.

le de premier plan dans la croyance en l'origine divin e. »

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