Hollywood et les USA

« crée le cinéma à suite : Les Dents de la mer (quatre épisodes), Mad Max (trois épisodes), Indiana Jones (trois épisodes) Star Trek (six épisodes).

Cela lui permet de triompher au box office avec le phénomène des blockbusters (gros succès commerciaux).

Pour limiter les risques financiers, Hollywood réalise de nouvelles adaptations des séries télévisées à succès des années 60 comme Mission impossible ou Les Incorruptibles.

® Les monopoles Les majors s'unissent à des groupes de communication.

En 1989, Columbia est rachetée par Sony, en 1985 Century Fox par Rupert Murdoch, MGM par Pathé en 1990, puis en 1993 par le Crédit Lyonnais.

Paramount est repris en 1966 par Gulf and Western, Universal par Matsushita en 1990.

En 1989, Warner Bros fusionne avec le groupe Time donnant naissance à Time-Warner dirigé par Ted Turner.

AUJOURD'HUI, DE NOUVELLES DONNES ® Les effets spéciaux f.explosion des techniques informa­ tiques (images de synthèses, morphing) se met au service du cinéma.

Tout bon film doit nécessairement faire appel aux effets spéciaux.

Georges Lucas a d'ailleurs fondé ILM (Industnal light and Magic).

Spielberg en est le plus important consommateur.

Jurassic Rzrk met en scène des dinosaures grandeur nature, Forest Gump permet au héros du film de serrer la main à John Kennedy.

® Des budgets colossaux La deuxième spécificité du cinéma hollywoodien aujourd'hui est sans doute l'explosion des budgets (30 à 50 milliards de dollars en moyenne, 200 milliards pour le film Titanic) et les recettes qui s'ensuivent ( 400 milliards pour ET).

Les Blockbusters donnent lieu à un commerce dérivé impressionnant (jouets, vête­ ments ...

).

Le Roi lion compte 186 pro­ duits dérivés.

Les salaires des comédiens s'en trouvent à fortiori augmentés (entre cinq et vingt millions de dollars pour les plus grandes stars).

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"(La Naissance d'une nador 1915).À,,,,..,..., Onon Wells.

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w La Splendar des An'lbenon (IN2).

quitte les majors.

Certains acqulirent leur lndfpendonce en rvsont avec flnduscrle du dnéma : F.F.

Coppola Nalse des,.,_ à uxm pour Io ~ce qui lui permet de flnon­ cer des films plus penou;iels.

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les 11-.dlJpetidancs dlrpdlaluefrt à cause des concen­ trations.

Steven Splelberf, hier Indépendant, dirige aujourd'hui une puissante major, Dreamworics.

QuelqueHlns perdwwrt CM!C le cinéma d'auœur (Woody Allen) et la noweHe génémtfon (Quentin Tarantino).

Interview de SetJe Kagandd, attique de cinéma aux lnrockuptlbles, aut.eur de Hitchc:ock aux éditions Hman en 1996.. »