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Irlande.

Publié le 15/04/2013

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Irlande. 1 PRÉSENTATION Irlande, en gaélique Éire et en anglais (autre langue officielle) Ireland, pays de l'Europe septentrionale occupant le nord-ouest et le sud de l'île d'Irlande, dans l'océan Atlantique. Sa capitale est Dublin. L'Irlande appartient à l'Union européenne. L'Irlande se situe à l'ouest de la Grande-Bretagne, dont elle est séparée par la mer d'Irlande et le canal Saint George. Indépendant depuis 1921, après sept siècles de domination britannique contre laquelle s'est forgée l'identité nationale, le pays comprend les provinces historiques de Leinster, Munster et Connacht ainsi que trois des neuf comtés d'Ulster. Les six autres comtés de cette province forment l'Irlande du Nord, qui fait partie du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord. 2 MILIEU NATUREL 2.1 Relief L'Irlande couvre 70 273 km² sur les 84 000 km2 de superficie totale de l'île. Le relief porte l'empreinte des glaciations quaternaires ; il est constitué d'une alternance de plissements et de dépressions. Au centre, l'érosion a dégagé, sur le socle calédonien, une vaste plaine centrale calcaire (Burren), sillonnée de longues rides de gravier et de sable (os ou eskers). La région est parsemée de lacs et de tourbières, ainsi que de dépôts morainiques formant des collines de forme allongée, les drumlins, qui s'élèvent sensiblement au nord-ouest (monts Donegal, 750 m). La plaine est entourée par des massifs côtiers que séparent des vallées et de petites plaines, ouvrant l'accès à la mer. L'altitude n'est guère élevée : les formations de grès rouge des monts de Kerry, au sud-ouest, culminent à 1 041 m au Carrantuohill. À l'est, les monts granitiques de Wicklow s'élèvent à 926 m. Le relief karstique du Burren, dans le comté de Clare, prolonge à l'ouest le massif cristallin des monts de Connemara (820 m) et au nord-est le plateau basaltique d'Antrim. Les côtes se caractérisent par leur dissymétrie : basses et sablonneuses à l'est, elles se transforment en falaises abruptes et sont très découpées à l'ouest. La mer pénètre souvent loin à l'intérieur des terres, dans les fjords profonds, comme à Carlingfdord et à Killary, ainsi que dans les rias (baie de Dingle) façonnées par l'érosion glaciaire et la variation du niveau des océans. Les côtes irlandaises offrent ainsi de multiples ports naturels en eaux profondes, tel celui de la baie de Bantry, dans l'ouest du Kerry, l'un des mouillages les plus profonds d'Europe occidentale. Au large de la côte atlantique subsistent des chapelets d'îles (îles d'Aran, île Achill) autrefois rattachées à la grande terre. 2.2 Hydrographie L'incertaine déclivité de la cuvette centrale, faisant obstacle au bon écoulement des eaux, a provoqué la formation de tourbières (bogs), situées principalement dans le Centre et dans l'Ouest, et qui occupent près du cinquième de la superficie de l'île. Sous l'action des glaciers sont nés de multiples lacs (loughs), entre lesquels circulent les cours d'eau. Le Shannon, principal fleuve d'Irlande et le plus long des îles Britanniques, s'écoule ainsi lentement d'un lac à l'autre sur 368 km, depuis les collines du nord-ouest jusqu'à Limerick, où il se jette dans l'Atlantique. Rivières et fleuves -- dont la Liffey, la Barrow, la Nore, la Boyne, la Blackwater, le Moy et le Suir -- sont abondants et sinueux, en raison du peu de relief et du climat très humide. 2.3 Climat En dépit de sa situation relativement septentrionale -- entre 51° 5' et 55° 5' de latitude nord --, l'Irlande bénéficie d'un climat relativement doux, typiquement océanique, marqué par l'influence régulatrice du Gulf Stream qui réchauffe les eaux atlantiques. La nébulosité et les brouillards sont prédominants. L'uniformité climatique prévaut, le relief ne constituant nulle part un obstacle, et l'amplitude thermique annuelle est faible : les températures moyennes oscillent de 4 °C à 7 °C en janvier et de 14 °C à 16 °C en juillet. La douceur contraste avec l'humidité du climat : l'Irlande reçoit chaque année en moyenne 1 016 mm de pluie, répartis sur plus de 200 jours avec un maximum hivernal. La côte occidentale est plus exposée aux perturbations océaniques et aux forts vents d'ouest, porteurs de pluie et d'embruns : elle reçoit en moyenne 2 500 mm d'eau. 2.4 Végétation L'humidité entretient dans la « verte Erin « des prairies permanentes couvrant 68 p. 100 de la superficie du pays. Le vert des herbages contraste avec les teintes rouges et noires des tourbières, autre élément essentiel du paysage irlandais. Les reliefs sont couverts de landes d'ajoncs et de bruyères. La douceur du climat permet à certaines espèces végétales méditerranéennes de se développer, notamment dans la baie de Bantry, au sud. La violence des vents d'ouest explique, en revanche, la faible couverture forestière, encore réduite lors de la colonisation anglaise. Ainsi, la forêt ne couvre aujourd'hui que 9,5 p. 100 du territoire, ce qui fait du pays l'un des moins boisés d'Europe. 3 POPULATION ET SOCIÉTÉ 3.1 Démographie La république d'Irlande est peu peuplée : en 2008, la population était estimée à 4 156 119 habitants, soit une densité moyenne d'environ 60 habitants au km², la plus faible de l'Union européenne. Ce chiffre dissimule un très fort déséquilibre en termes de répartition géographique : plus d'un tiers de la population se concentre, en effet, à Dublin et, dans certaines zones côtières de l'Ouest, la densité s'élève jusqu'à 160 habitants au km2. Depuis les années 1970, les comportements démographiques n'ont cessé de se rapprocher de ceux prévalant dans les autres pays européens, mais le poids de la tradition catholique s'exprime toujours. L'indice de fécondité demeure ainsi l'un des plus élevés d'Europe occidentale (1,85 enfant par femme en 2008). Le taux de natalité se maintient à un niveau important de 14,30 p. 1 000, le taux de mortalité étant de 7,80 p. 1 000. L'espérance de vie, un peu inférieure à celle des pays voisins, s'élevait à 78,1 années en 2008. Malgré cet allongement de la durée de vie, la République irlandaise échappe au phénomène de vieillissement de la population, en raison de la forte natalité : près du quart des Irlandais ont moins de quinze ans. Le fort accroissement naturel de la population (6,3 p. 1 000 pour 1995-2000) ne parvient pas à compenser l'hémorragie continue qu'a subie le pays au cours des 150 dernières années. En effet, durant cette longue période, la république d'Irlande a été l'un des seuls pays au monde dont la population ne s'est pas accrue, mais a singulièrement diminué. En 1841, l'île comptait 8,2 millions d'habitants ; un siècle plus tard, elle n'en comptait plus que 4,2 millions. Ce dépeuplement a pour première explication la grande famine de 1846-1848. Provoquée par une maladie qui ravagea les récoltes de pomme de terre, première source d'alimentation à l'époque, celle-ci causa la mort de deux millions d'Irlandais. Cette famine fut à l'origine de la première vague d'émigration massive vers le Royaume-Uni et surtout l'Amérique du Nord. Ce désastre naturel fut amplifié par la situation économique et sociale de l'île. En effet, dans les campagnes surpeuplées, les paysans irlandais n'étaient que des tenanciers, soumis à des fermages prohibitifs, qui louaient ou sous-louaient à des intendants des terres morcelées à l'extrême, qui appartenaient à de grands propriétaires britanniques. La misère et, jusqu'à l'indépendance, le poids de la domination britannique, continuèrent d'alimenter une émigration, qui, si elle se réduisit après la Seconde Guerre mondiale, perdura jusque dans les années 1970. Plus de 6 millions d'Irlandais émigrèrent entre 1845 et 1950. Le mouvement, pratiquement interrompu après 1970 en raison du décollage économique du pays, a repris dans des proportions moindres à la fin des années 1980. Il explique la stagnation de la population, dont la croissance annuelle n'a été, pour la période 1990-1995, que de 0,28 p. 100. Toutefois, la baisse du chômage résultant de l'essor économique continu que connaît l'Irlande depuis 1987, et qui s'est confirmée au cours des années 1990, tend à inverser le phénomène ; en 1996, pour la première fois dans son histoire, le pays a enregistré un solde migratoire positif : les expatriés de retour au pays ont été plus nombreux que les émigrants. Si ces chiffres se confirment, l'Irlande sera en passe de devenir une terre d'émigration. 3.2 Divisions administratives et villes principales La république d'Irlande est divisée en 26 comtés et en 4 bourgs-comtés : les villes de Dublin, Cork, Limerick, Waterford, dont les municipalités sont administrativement indépendantes des comtés. Les conseils de comté et les county borough corporations, les collectivités représentant les 4 bourgs-comtés, sont élus pour cinq ans, de même que les conseils de district urbain et les conseils municipaux, qui ont compétence, au niveau local, dans les domaines tels que la politique de santé, du logement ou la distribution d'eau. Malgré les mutations économiques et sociales des dernières décennies, le taux d'urbanisation demeure très inférieur à celui des autres pays européens. En 2005, 60 p. 100 des Irlandais habitaient en ville. Plus d'un million d'entre eux vivent et travaillent dans l'agglomération de Dublin, la capitale, qui concentre environ 40 p. 100 de l'emploi industriel et commercial ainsi que l'essentiel des activités administratives et culturelles. La deuxième ville du pays, Cork, le grand port irlandais, ne compte qu'un peu plus de 123 062 habitants (2002). La politique d'aménagement du territoire menée par les pouvoirs publics vise à créer d'autres pôles urbains dans le pays, afin de limiter l'exode rural vers la capitale. Les villes les plus dynamiques sont, dans l'Ouest rural, Limerick (54 023 habitants), centre commercial, et Galway, ville universitaire (65 832 habitants), et dans le sud-est, Waterford (44 594 habitants), centre de l'industrie agroalimentaire. 3.3 Institutions et vie politique 3.3.1 Pouvoir exécutif Aux termes de la Constitution de 1937, qui ne peut être modifiée sans l'approbation de la population, par voie référendaire, l'Irlande est une démocratie parlementaire. Le chef de l'État est le président de la République, élu au suffrage universel direct pour un mandat de sept ans ; c'est une fonction essentiellement représentative. Le Premier ministre, responsable devant la Chambre des représentants (Dáil), détient le pouvoir exécutif. Il est nommé par le président sur avis du Dáil. Les membres du gouvernement sont choisis par lui, après approbation des représentants du peuple, et nommés par le président de la République. 3.3.2 Pouvoir législatif Le Parlement irlandais est bicaméral. Le Dáil compte 166 représentants, élus pour cinq ans au suffrage universel direct, selon un mode de scrutin proportionnel. Le Sénat (Seanad) est constitué de 60 membres, dont 11 sont nommés par le Premier ministre, 6 sont élus par des universitaires et 43 sont choisis au sein d'un collège électoral de quelque 900 représentants des collectivités locales, du monde du travail, de l'Administration, des services sociaux, du commerce et de l'industrie, ainsi que de la culture. Le Sénat vote les lois mais ne peut défaire un gouvernement. 3.3.3 Pouvoir judiciaire Comme aux États-Unis, la Cour suprême, dont les juges sont nommés par le président de la République sur recommandation du gouvernement, est à la fois la plus haute instance judiciaire, qui juge en dernier recours des appels, et l'organe de contrôle de la constitutionnal...

« n’étaient que des tenanciers, soumis à des fermages prohibitifs, qui louaient ou sous-louaient à des intendants des terres morcelées à l’extrême, qui appartenaient à degrands propriétaires britanniques.

La misère et, jusqu’à l’indépendance, le poids de la domination britannique, continuèrent d’alimenter une émigration, qui, si elle seréduisit après la Seconde Guerre mondiale, perdura jusque dans les années 1970.

Plus de 6 millions d’Irlandais émigrèrent entre 1845 et 1950.

Le mouvement,pratiquement interrompu après 1970 en raison du décollage économique du pays, a repris dans des proportions moindres à la fin des années 1980.

Il explique la stagnationde la population, dont la croissance annuelle n’a été, pour la période 1990-1995, que de 0,28 p.

100. Toutefois, la baisse du chômage résultant de l’essor économique continu que connaît l’Irlande depuis 1987, et qui s’est confirmée au cours des années 1990, tend à inverserle phénomène ; en 1996, pour la première fois dans son histoire, le pays a enregistré un solde migratoire positif : les expatriés de retour au pays ont été plus nombreux queles émigrants.

Si ces chiffres se confirment, l’Irlande sera en passe de devenir une terre d’émigration. 3.2 Divisions administratives et villes principales La république d’Irlande est divisée en 26 comtés et en 4 bourgs-comtés : les villes de Dublin, Cork, Limerick, Waterford, dont les municipalités sont administrativementindépendantes des comtés.

Les conseils de comté et les county borough corporations, les collectivités représentant les 4 bourgs-comtés, sont élus pour cinq ans, de même que les conseils de district urbain et les conseils municipaux, qui ont compétence, au niveau local, dans les domaines tels que la politique de santé, du logement ou ladistribution d’eau. Malgré les mutations économiques et sociales des dernières décennies, le taux d’urbanisation demeure très inférieur à celui des autres pays européens.

En 2005, 60 p.

100des Irlandais habitaient en ville.

Plus d’un million d’entre eux vivent et travaillent dans l’agglomération de Dublin, la capitale, qui concentre environ 40 p.

100 de l’emploiindustriel et commercial ainsi que l’essentiel des activités administratives et culturelles.

La deuxième ville du pays, Cork, le grand port irlandais, ne compte qu’un peu plusde 123 062 habitants (2002).

La politique d’aménagement du territoire menée par les pouvoirs publics vise à créer d’autres pôles urbains dans le pays, afin de limiterl’exode rural vers la capitale.

Les villes les plus dynamiques sont, dans l’Ouest rural, Limerick (54 023 habitants), centre commercial, et Galway, ville universitaire(65 832 habitants), et dans le sud-est, Waterford (44 594 habitants), centre de l’industrie agroalimentaire. 3.3 Institutions et vie politique 3.3. 1 Pouvoir exécutif Aux termes de la Constitution de 1937, qui ne peut être modifiée sans l’approbation de la population, par voie référendaire, l’Irlande est une démocratie parlementaire. Le chef de l’État est le président de la République, élu au suffrage universel direct pour un mandat de sept ans ; c’est une fonction essentiellement représentative. Le Premier ministre, responsable devant la Chambre des représentants ( Dáil), détient le pouvoir exécutif.

Il est nommé par le président sur avis du Dáil.

Les membres du gouvernement sont choisis par lui, après approbation des représentants du peuple, et nommés par le président de la République. 3.3. 2 Pouvoir législatif Le Parlement irlandais est bicaméral.

Le Dáil compte 166 représentants, élus pour cinq ans au suffrage universel direct, selon un mode de scrutin proportionnel.

Le Sénat(Seanad) est constitué de 60 membres, dont 11 sont nommés par le Premier ministre, 6 sont élus par des universitaires et 43 sont choisis au sein d’un collège électoral de quelque 900 représentants des collectivités locales, du monde du travail, de l’Administration, des services sociaux, du commerce et de l’industrie, ainsi que de la culture.

LeSénat vote les lois mais ne peut défaire un gouvernement. 3.3. 3 Pouvoir judiciaire Comme aux États-Unis, la Cour suprême, dont les juges sont nommés par le président de la République sur recommandation du gouvernement, est à la fois la plus hauteinstance judiciaire, qui juge en dernier recours des appels, et l’organe de contrôle de la constitutionnalité des lois.

Elle est saisie, dans ce cas, par le président de laRépublique.

Les autres instances judiciaires sont la cour criminelle centrale, la chambre criminelle de la cour d’appel, les tribunaux de district et les tribunaux de circuit. 3.3. 4 Partis politiques La vie politique irlandaise a longtemps été dominée par deux partis de droite dont l’opposition remontait à l’indépendance, en 1922 : le Fianna Fáil (« Guerriers de ladestinée », 1926) et le Fine Gael (« Famille des Gaels », 1933).

Fondé par Eamon De Valera, père de l’indépendance irlandaise, le Fianna Fáil représentaittraditionnellement la petite bourgeoisie nationaliste, les classes moyennes et les petits fermiers.

Plus modéré, le Fine Gael, parti de centre droite, recrutait davantage ausein de la grande bourgeoisie, des professions libérales et des gros agriculteurs.

Ces clivages demeurent en grande partie valides. Depuis le début des années 1930, tous les Premiers ministres appartiennent à l’un ou l’autre parti, mais une recomposition politique s’est amorcée depuis la fin desannées 1980, avec une progression de la gauche.

Cette recomposition a été marquée, en 1990, par l’élection à la présidence de la République de Mary Robinson, soutenuepar le Parti travailliste (Labour Party) et la Gauche démocratique.

La Gauche démocratique est une formation émanant d’un mouvement marxiste fondé dans lesannées 1970 par une partie du Sinn Féin, branche politique de l’Armée républicaine irlandaise (Irish Republican Army, IRA).

Mais, en 1997, le centre droit revient au pouvoiravec Bertie Ahern comme Premier ministre et Mary Mac Aleese comme présidente de la République. 3.3. 5 Défense nationale En 2003, l’Irlande a consacré à sa défense 0,7 p.

100 du PIB.

Les forces militaires irlandaises (Permanent Defence Force), regroupent 12 700 hommes auxquels s’ajoutent 16 450 réservistes.

Le recrutement se fait sur la base du volontariat.

En 1949, la république d’Irlande a refusé d’adhérer à l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord(OTAN).

Les statuts de l’Alliance garantissaient, en effet, à tous les pays signataires — dont le Royaume-Uni — l’intégrité de leur territoire : c’eût été reconnaître commedéfinitive la séparation des deux Irlande, ce que le gouvernement refusait de faire. 3.4 Langues et religions L’anglais et le gaélique, la langue nationale ( voir Celtiques, langues), sont les deux langues officielles du pays.

Environ 25 p.

100 des Irlandais pratiquent le gaélique, que les gouvernements successifs, depuis l’indépendance, ont cherché à promouvoir.

Les écoles du pays enseignent les deux langues. La liberté de culte est garantie par la Constitution.

Le catholicisme est la religion de 95 p.

100 des habitants.

Les protestants, appartenant principalement à l’Église d’Irlande,anglicane, à l’Église méthodiste et à l’Église presbytérienne, sont davantage représentés à Dublin que dans le reste du pays. L’autorité suprême de l’Église catholique est exercée par l’évêque d’Armagh (Irlande du Nord), primat d’Irlande, l’évêque de Dublin n’étant que primat de l’Eire (républiqued’Irlande).

Le catholicisme a joué un rôle essentiel dans la définition d’une identité irlandaise, par opposition à l’Angleterre protestante.

Sous la domination britannique, larevendication de l’appartenance religieuse et du libre exercice du culte catholique — les offices publics ont été interdits jusqu’à la fin du XIXe siècle — était indissociable de. »

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