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La deuxième république et le second empire

Publié le 10/02/2024

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« Thème 2 La France dans l’Europe des nationalités : politique et société (1848-1871) Chapitre 1 La deuxième République et le second Empire DÉFINITION LIVRE I) Le retour de la République Vidéo le printemps des peuples 1848 : Il y a une former de mobilisation politique avec l’organisation de banquet.

Le banquet du 21 février à la concorde est interdit par François Guizot.

Il est obligé de démissionner.

La garde nationale se retourner contre le roi.

LA conséquence direct de la fin de la monarchie.

Le soir du 24 février 1848, la deuxième république est proclamé.

C’est une surprise.

Il y a eu un effondrement de l’état très rapide.

Le roi est directement remplacé par la république en quelques heures.

On a choisi un nouveau mode de gouvernement.

Au sein du gouvernement, Lamartine, qui maintient le drapeau tricolore.

En mars, il y a un concours pour la représentation d’une Marianne pour représenté la nouvelle république.

Le gouvernement est composé de plusieurs visions républicaines, comme des républicains radicaux et modérés, des socialistes, des royalistes et d’un ouvrier.

Les républicains modérés veulent établir une république (mode de gouvernement non héréditaire reposant sur une élection), alors que les républicain qualifiés de radicaux veulent étendre la révolution au domaine sociale en se souciant de la réduction ou de la suppression des inégalité sociales.

Le socialisme est le but est la suppression des classe sociale, une société sans classe.

C’est une idéologie se développant avec le début de la classe ouvrière avec la suppression des inégalités entre les humains. Eugénie Niloyer à revendiquer le droit des femmes pour voter, mais à aussi fondé le journal « la voie des femmes » (l’un des principaux journaux féministes de l’époque).

Jeanne Derouin se présente aux élections auxquelles les femmes n’ont pas le droit de voter.

LA date de l’abolition de l’esclavage est le 27 avril 1848 notamment grâce à l’élection du député V.Scholcher.

Le 25 février on décrète le droit au travail, c’est à dire que si vous n’avez pas de travail, vous en avez le droit, vous n’êtes pas responsables de votre chômage, c’est l’état, si vous souhaitez travailler, l’état doit vous trouver un emploi.

On crée dont le 27 février les ateliers nationaux.

On a l’apparition de Marianne comme emblème nationale.

Il y a un suffrage universel masculin. 1) Les étapes de l’exercice de la citoyenneté du statut de révolutionnaire à celui de citoyen sont : -se réunir devant l’église -se mettre en rang par ordre alphabétique 2) Cette gravure montre le passage du statut de révolutionnaire à celui de citoyen car, tout d’abord, on voit un homme déposer un bulletin de vote dans un jarre ou est gravé « suffrage universel ». L’homme tien un fusil dans sa main gauche pour montrer que c’était un révolutionnaire mais que, maintenant, c’est un citoyen possédant le droit de vote. 3) La démocratie doit apaiser la vie politique.

En effet, avant, les révolutionnaires se battaient pour posséder de nouveaux droits.

Grâce à la révolution, ils ont notamment gagné le droit de vote.

Cela peut apaiser la vie politique car il n’y aura plus aucun affrontement pour posséder de nouveaux droits car les révolutionnaire ont obtenus ce qu’ils voulaient : une démocratie à suffrage universel. L’assemblée constituante élue en avril 1848 au suffrage universel masculin représente une France rurale bien plus modérées (voir conservatrices) que les révolutionnaires parisiens.

La parti de l’Ordre remporte les élections et décrètent, le 22 juin, la fermeture des ateliers nationaux. Globalement, en France, la campagne est plutôt conservatrices, tandis que les villes sont plutôt de gauche.

En plus, les villes regroupent les usines et, les ouvriers, en général, ne sont propriétaires de rien.

Le fait qu’il se côtoie augmente la chance d’être dans la contestation.

Cette fermeture (des ateliers nationaux) engendre la colère des partisans d’une république sociale (socialistes, ouvriers, républicains radicaux).

Plus de 40 000 révolutionnaires se soulève entre le 22 et le 26 juin et la répression est sanglante (entre 3 000 et 4 000 morts), et 11 000 prisonniers, dont 4 000 déportés en Guyane ou en Nouvelle-Calédonie. II) Le Second Empire La divorce est consommé entre le parti de l’ordre au pouvoir et les partisans de la république sociale.

Une nouvelle constitution est adopté en novembre 1848.

L’assemblé est élue pour 3 ans. Elle exerce le pouvoir législatif.

On crée la fonction de président de la république pour le pouvoir exécutif.

Celui-ci est élu au suffrage universel masculin pour 4 ans non reconductible.

Le premier président de la république est Louis Napoléon Bonaparte, membre du parti du l’Ordre.

Celui ci fait voter des lois réactionnaire (lois qui on pour but de revenir en arrière dans le temps, ici, avant la révolution française).

Exemple : réduction de la liberté de la presse.

Louis Napoléon Bonaparte réduis le corps électoral en 1850 sans pour autant remettre en cause le suffrage universel.

Il retire le droit de vote à 1/3 des français. 1) Les charges qui reviennent au président de la république sont le fait de respecter la constitution, les lois, de ne pas dissoudre l’assemblée, d’exposer les finances de la république tous les ans et, enfin, de défendre l’état en collaboration avec l’assemblé nationale. 2) L’affirmation « le président est soumis à l’assemblé nationale » montre que le président est véritablement sous l’égide de l’assemblé nationale.

En effet, que ce soit pour les décision de guerre qui doivent être prise avec l’assemblé ou encore le fait que le président doivent faire un compte rendu des affaires de la république, le président est soumis à l’assemblé.

Enfin, il ne peut pas la dissoudre, ce qui montre que l’assemblé est ‘’au dessus’’ du président sous le second empire. 3) L’élection consacre le choix du peuple.

En effet, comme on peut le voir avec les différentes représentation avec la peinture à cette époque, on peu voir que la république domine le président. Cette même république qui représente le peuple qui élit le président de la république. 4) La conception qu’à Louis Napoléon Bonaparte de la fonction de président de la république est que le peuple doit lui donner tous les pouvoirs pour qu’il puisse « sauver la France ».

Son but est qu’il est les plein pouvoir et que les seules institutions présente lui soit soumise. 5) Le coup d’état du 2 décembre 1851 est le résultat de l’incompatibilité entre les ambitions de Louis Napoléon Bonaparte et les institution de la seconde république car sont but était de gouverner un gouvernement qui lui est soumis, ou il domine et prend, plus ou moins, les décision seules. Malheureusement pour lui, la constitution en place l’empêche de mettre en place sont régime autoritaire. Bonaparte souhaite adopter une nouvelle constitution en décembre 1851.

L’assemblé refuse et Bonaparte réalise alors un coup d’état le 2 décembre 1851.

Il fait alors adopter une nouvelle constitution en 1852.

Celle-ci établie un régime autoritaire proche du premier Empire : Napoléon III (sacré empereur en 1852) possède tous les pouvoirs.

Il réprime les oppositions politiques et limite les libertés publiques.

Les élections sont maintenus au niveau local et pour le corps législatif (ce qui remplace l’assemblé nationale) qui vote les lois.

Toutefois, le régime désigne des candidats officiels à chaque élection et ceci bénéficie du soutien direct de l’état.

L’empereur nomme les membres du Sénat ainsi que les préfets dont les pouvoirs sont renforcés (ils nomment les maire).

L’empereur gouverne seul et cherche à montrer une façade démocratique par l’usage des plébiscites.

En 1858, l’empereur est victime d’une attaque.

Le régime ce durci et les pouvoirs de la police sont étendu (loi de la sûreté générale).

L’opposition est muselé et certain choisisse de s’exiler (Victor Hugo). Étude du document 2 p94 Les trois grandes priorités du second empire sont : -la restauration de la foi catholique -l’aménagement du territoire / développement économique (routes, ports, chemin de fer) -développement des colonies (notamment Algérie) A partir des années 1860, Napoléon III libéralise son régime afin de renouer avec le peuple (il en a besoin).

La censure de la presse ce desserre et de grand titre nationaux peuvent ce développer, comme Le petit journal qui tire a 260 000 exemplaires.

De plus, Napoléon III fait des concessions sociales en autorisant par exemple le droit de grève en 1864.

L’Empire bénéficie de 2 catégories sociales : -la bourgeoisie qui profite des accords de libre échange et de la faible intervention de l’état dans l’économie pour s’enrichir -la paysannerie qui apprécie les valeurs traditionnels de l’Empire Toutefois, Napoléon III perd progressivement le soutien des milieux très catholique après s’être opposé au pape.

L’opposition ce renforce en 1863 et de plus en plus de républicains sont élus au sein du corps législatif.

Afin de ressouder la nation et d’affirmer son autorité, Napoléon III se lance dans plusieurs conflits (Mexique, Crimée).

Cette dernière guerre mène d’ailleurs à sa chute. En effet, il est capturer à Sedan le 3 septembre 1870.

La troisième république est proclamé le lendemain. Chapitre 2 L’industrialisation et l’accélération des transformations économiques et sociales en France Introduction.... »

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