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La France à des engagements climatiques à respecter.

Publié le 11/05/2023

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« La France à des engagements climatiques à respecter. Pour l’instant la France utilise 60% des énergies fossiles dont 40% est des ressources pétrolières.

Mais il faudrait sortir des énergies fossiles car cela utilise beaucoup d’importation et qu’avec les crises énergétiques ont pu nous montrer que la France dépend énormément des autres pays.

A l’heure actuelle, on utilise 930 TWH par an d’énergie fossile contre 430 TWH par an d’énergie électrique. Elle se repose aussi sur les parcs nucléaires, c’est un atout majeur dans la lutte contre le réchauffement climatique.

Mais les programmes électronucléaires ont des problèmes d’autonomie énergétique, à cause des chocs pétroliers.

Le nucléaire est 70% de l’électricité mais est seulement 20% de l’énergie finale utilisée. La France à prévue des stratégies pour l’avenir. La stratégie nationale bas-carbone (SNBC) voudrait une neutralité carbone pour 2050.

Ils voudraient que la consommation d’énergie finale diminue de 40% dans 30 ans ce qui permettra de retrouver celle de la fin des année 60, c’est une forte ambition.

En 2020, on utilise un système neutre en carbone et souverain qui est de l’électricité décarbonée et biomasse ce qui permet de croitre la stratégie que le SNBC veut mettre en place.

Ce qui voudrait dire qu’il faut augmenter notre consommation d’électricité et ne plus passé par l’énergie fossile. A l’heure actuelle on est à 1600 TWH d’énergie consommée dont 60% d’énergie fossile et 25% d’électricité contre potentiellement 930 TWH d’énergie consommée dont 55% d’électricité et 25% EnR en 2050. Pour l’avenir de la France, il y a un débat sur les parcs nucléaires. Elle voudrait changer notre consommation en électricité, pour arriver à 645 TWH en 2050.

La France a un avantage sur nos pays voisins car nous sommes déjà à 500 TWH sur notre consommation en électricité. Nos parcs nucléaires arrivent à leurs 40 ans, l’âge maximal donné à leur installation, cependant ils se voient rallongé de 20ans, après quoi leur sécurité ne sera plus garantie. Il faut définir une stratégie qui serait de fermer les parcs électronucléaires historiques afin de réduire les émissions de gaz à l’effet de serre (GES).

Leurs fermetures seraient très rapprochées car les parcs ont tous été construit très vite. La fermeture des pacs électronucléaires fait débat, il peut avoir 2 échéances clés. Une à court terme entre 2030 et 2035, et sera un choix politique.

Le choix sera de maintenir les réacteurs nucléaires et de développer nos énergies renouvelables.

Ce qui prendra en compte les nouvelles données énergétiques car des soucis peuvent arriver à n’importe quel moment. Et une à long terme entre 2050 et 2060, se serai la fermeture des réacteurs nucléaires de 2ème génération et elle sera une contrainte industrielle.

Elle permettra de soutenir l’augmentation de la consommation d’électricité prévue et la production française devra profondément se renouveler pour pas perde de sa production annuelle. Donc il faudra prendre un choix énergétique dans les prochaines années pour pouvoir répondre aux enjeux. C’est dans cette perspective qu’il convient de replacer les choix énergétiques que doit faire la France dans les prochaines années : répondre au double enjeu d’une nécessaire augmentation de la capacité de production d’électricité décarbonée et d’une fermeture programmée de la majorité des installations qui assurent aujourd’hui ce besoin.

Ces choix apparaissent d’une ampleur similaire à ceux réalisés lors des chocs pétroliers dans les années 1970. Entre éolien et solaire : La discussion doit donc comparer le coût complet des différentes options (coût système) et non le coût individuel de chaque technologie. Les termes du débat technique sont, enfin, évolutifs.

Du côté des renouvelables, les systèmes à forte part en énergies renouvelables constituent un objet de recherche dans de nombreux pays dans le monde, et RTE a publié en janvier 2021, conjointement avec l’Agence internationale de l’énergie, un rapport listant les prérequis techniques pour atteindre un système fondé sur une proportion importante de renouvelables, ouvrant donc la voie à la possibilité de systèmes 100 % renouvelables à terme.

Ces scénarios s’accompagnent de paris importants, et notamment la maîtrise parfaite de l’intégration de l’hydrogène.

Du côté du nucléaire, les options apparaissent également plus ouvertes : Deux scenarios envisagés : pour débattre de ces choix, RTE a proposé d’emblée un choix méthodologique clair, articulé autour de la distinction entre deux familles de scénarios, qui représentent des tendances de la société française d’aujourd’hui, selon que les nouveaux investissements dans le parc de production se portent exclusivement sur les énergies renouvelables (scénarios M) ou sur un mix plus diversifié technologiquement, c’est-àdire une combinaison d’énergies renouvelables et de nouveaux réacteurs nucléaires (scénarios N ) développer maximiser et prolonger les renouvelables. Le rapport du GIEC du 9 août 2021 a une nouvelle fois souligné l’importance de la prochaine décennie pour l’action climatique.

La COP 26 qui se réunira en novembre à Glasgow doit être l’occasion pour les États d’adopter de nouveaux objectifs pour maintenir la trajectoire d’élévation des températures dans les limites prévues par l’accord de Paris À date, l’engagement de la France consiste à diminuer ses émissions de 40% d’ici 2030.

De.... »

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