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La France dans la guerre : de la défaite à la libération

Publié le 02/02/2013

Extrait du document

2 La libération

• La nouvelle campagne de France. L'action efficace de la Résistance pour appuyer le débarquement allié en Normandie (cf le harcèlement de la division « Das Reich « et le drame d'Oradour). La première armée de de Lattre débarque en Provence (août 1944).

• La libération. L'insurrection et la libération de Paris où pénètrent les troupes de Leclerc (19-25 août). La libération de Strasbourg par LeClerc (novembre). Les F.F.I. s'efforcent de réduire les poches de résistance allemandes {Royan. etc.).

- La liesse de la libération et les rigueurs (somme toute modérées) de l'épuration qui permettent de jeter un voile pudique sur l'attitude longtemps hésitante de la majorité des Français, ni traîtres ni héros.

- Les armées frânçaises participent à l'écrasement final de l'Allemagne. Une incroyable défaite et une longue politique de collaboration du gouvernement légal de la France ont pu être effacées par la lucidité, la ténacité et le courage de la Résistance.

« de la défaite à la libération • Les chantiers de jeunesse.

Les jeunes.

appelés pour un service civil.

effectuent des travaux d'intérêt collectif.

!"fiais avec une organi­ sation et un style de vie militaires qui en font une réseNe de l'armée .

• L 'ossature d'une armée nouvelle .

Weygand .

ministre de la Défense de Vichy veut utiliser l'armée de l 'armistice .

puis après sa démission exigée par les Allemands .

celle d'Afrique du Nord dont il prend le commandement pour en faire l'embryon d'une nouvelle armée qui.

le moment venu.

pourrait reprendre le combat.

2 1 COLLABORER ? La crainte d'une polonisation de la France.

Le souci d'améliorer la· vie quotidienne des Français et d'obtenir la libération des prison­ niers .

La quête des bonnes grâces d'Hitler pour écarter les préten­ tions italiennes .

L'anglophobie après Mers el-Kébir .

La conviction de ·la victoire finale des Allemands.

1 Pétain : une collaboration marchandée • La cc poignée de mains» de Montoire (octobre 1940) .

• Une politique hésitante .

Le renvoi de Laval (décembre 1940) .

accusé par Pétain de l'entraîner trop loin.

Malgré Abetz .

Hitler croit encore moins à la collaboration : il préfère exiger et piller.

• Une politique dangereuse .

Après Laval.

Darlan entreprend une collaboration militaire : il communique des renseignement sur les déplacements de la flotte anglaise en Méditerranée ; il offre un sou­ tien logistique .

en Syrie.

aux Allemands qui projettent un « soulève­ ment arabe 1 (Irak.

1941} ; il envisage même une déclaration de guerre à l'Angleterre .

• Pétain .

une caution .

En novembre 1942 .

malgré l'invasion de la zone libre.

Pétain refuse de partir en Afrique du Nord .

Il cautionne ainsi de son prestige la politique de plus en plus collaborationniste de Laval.

2 Laval : une collaboration active • Le retour de Laval (avril 1942) est imposé par les Allemands .

Laval c souhaite la victoire de l'Allemagne 1.

Il croit en leur victoire et surtout il craint - le débarquement allié lui semblant impossible («mur de l'Atlantique»} - qu'une défaite allemande ne signifie le déferlement bolchevique sur l'ensemble de l'Europe continentale .

LA FRANCE DANS LA GUERRE : DE LA DÉFAITE A LA LIBÉRATION 17. »

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