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La France dans un monde mondialisé

Publié le 16/04/2015

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La France dans un monde mondialisé Introduction Quel est le rayonnement de la France dans le monde ? La France dans la mondialisation = comment la France arrive à s'insérer dans le processus global (la mondialisation). En apparence ces deux choses sont différentes pourtant ces deux idées se réunissent sur la notion de puissance (contraire du déclin). Y-a-t-il encore une image aujourd'hui de la France qui est puissante ? Si la France veut rester une grande puissance elle doit s'inscrire dans la mondialisation. Est-ce que la France a une bonne réputation ? Tout cela est sur le sentiment (France dans le monde) alors que la France dans la mondialisation, il y a des chiffres précis, des études précises. Dans le domaine dans la France dans le monde, tous les mots en rapport avec la prépondérance rentre dans le sujet. La notion de réputation est importante également. Quand la France veut diriger dans le monde, cela a de l'importance pour la politique, le militaire. Aujourd'hui, la France fait preuve de prépondérance militaire alors que du côté économique c'est l'Allemagne. Utiliser sa puissance peut entraîner l'usure de la puissance. Cela peut arriver si les financements ne suivent pas. Il faut toujours se renouveler. C'est difficile de savoir si l'on peut toujours faire plus. Un état s'expose, agit en puissance mais peut l'user. Exemple : - Titus Senius Solemnis était l'homme le plus riche de Vieux la romaine. Titus met son argent au profit de l'état. Il montre sa richesse dans les infrastructures à Vieux la Romaine. Il épuise toutes les ressources de la famille. La réputation de la France se fait donc sur son armée en partie. Dans l'Histoire, la France a mis les Droits de l'Homme en place. Cela a fait notre réputation avec le siècle des ...

« rêvent que la France reste une grande puissance tout en percevant le déclin qui s'amorce.

La France qui se sent victime de la Guerre Froide, de la décolonisation peine à accepter les changements de l'internationalisation puis de la mondialisation car elle les perçoit comme des menaces et non comme des atouts pour sa puissance.

La France d'aujourd'hui n'est pas pour autant effondrée malgré son pessimisme, elle garde des atouts dont elle n'est pas toujours consciente.

La France qui s'est longtemps perçue comme le centre du monde s'oriente aujourd'hui vers une mise de sa puissance au service de l'UE mais les résistants sont fortes comme la peur de la perte du sentiment identitaire dans une alliance ultra-nationale et au sein de la mondialisation laquelle dépasse ou bouscule les territoires français. I°) La puissance de l'économie française en question Le déclin se mesure alors que le déclinisme se ressent.

On est sur des éléments voisins.

Depuis quand la France aurait ce sentiment de déclin ? En 1870, quand la France perd la guerre contre la Prusse, cela fait un grand choc.

Dès 1881 – 1882, Ferry met en place l'éducation obligatoire car il y a le sentiment de la défaite à cause du manque d'éducation. La France se sent fragilisée, elle va bâtir une sorte d'eschatologie républicaine.

Elle le vend jusqu'en 1918. Après cette date, elle ne sait plus quoi faire.

C'est une finalité qui a été trouvée en 1918 (reprendre l'Alsace – Moselle).

La France ne gagne pas toute seule la Première Guerre mondiale.

En 1918, la France se considère comme une grande puissance.

On est dans une illusion de la puissance.

Le pic de puissance est passé après 1918.

Après 1918, des observateurs pensent que la France a dépassé son pic de puissance. En 1940, la France se fait rétamer en 5 semaines.

Marc Bloch écrit « L'étrange défaite » où il raconte le déclin de la France, l'autopsie de la France.

En sortant dans la Seconde Guerre mondiale, la France rentre dans le groupe des quatre vainqueurs.

A ce titre elle croit qu'elle a les éléments de puissance mais cela est faux.

La défaite de l'Indochine le montre.

La France illusionne sur ses capacités. Le passage à la mondialisation n'a rien arrangé surtout à partir de 1973.

Le terme de déclassement qui apparaît.

On va moins bien vivre, faire des sacrifices.

Dans ce passage de l'internationalisation à la mondialisation, un comique en 1979 (Coluche) il y a un déclassement. Jacques Chirac et le déclin français , Yves-Marie Laulan.

Il fait l'autopsie de son propre parti politique.

Il a une vision pessimiste de la France.

Pour lui il a dû dire que la France est en déclin. Jacques Marseille, ( La guerre des deux France) a une vision beaucoup plus optimiste de la France. Pour lui la France a encore des atouts.

Elle se trouve dans un décrochage dans certains domaines mais le PIB augmente constamment.

Il est très critiqué par les médias. Il y a une pluralité d'angles d'attaques.

On ne sait pas si on est en déclin ou pas.

La réponse franche n'existe pas.

Le débat depuis 30 ans est vif mais sans résultat unanime. II°) Un déclin économique ? La croissance française entre 1945 et 1973 est autour de 5% par an.

A partir de 1974 à 1990 elle est de 2 ,5%.

Jusqu'en 2007 elle est de 2%.

Depuis 2007, elle est de 0,5%.

Pour 2013, elle a varié de +0,7 à -1,1%.

Si on compare au 7,5% de croissance depuis les années 2000 de la Chine la France est largement rattrapée même dépassée.

En 2011, les agences américaines de notations ont menacé la France de passer en AAB au lieu de AAA.

On peut mesurer quelque chose mais en même temps il y a la spirale de la peur.

L'effet le plus grave n'est pas le déclin mais la peur de ce déclin.

On va mourir d'une peur qui est irréelle.

Parce que l'on a trop peur elle devient grave et le déclin réel. Y-aurait-il un déclin de l'économie française à cause de la dette souveraine ? En 2007, on a trou de 1 150 milliards et 2012, le trou est de 1 850 milliards dans les caisses de l'état.

En 5 ans, la dépense est très élevée mais c'était pour sauver le système bancaire.

On peut pas dire que la France est de pire en pire. Aujourd'hui on est à 2023 milliards de dette.. »

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