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La France et la Première Guerre Mondiale

Publié le 04/03/2012

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A la veille de la première guerre mondiale, les nations européennes sont puissantes mais divisés. Les tensions résultent de différentes crises liées à la colonisation comme en 1908 et 1911 entre Allemands et Français au sujet du Maroc ou encore de conflits aux Balkans. De plus, des rivalités nationalistes aggravent les relations entre les États européens. Des alliances secrètes se créent pour se défendre. La France fait partie de la Triple-Entente avec le Royaume-Uni et la Russie. Le camp ennemi, la Triple-Alliance regroupe l'Allemagne, l'Autriche-Hongrie et l'Italie. L'attentat de Sarajevo est le déclenchement de cette guerre totale et absurde. En effet, les nations ne se battent pas dans un but idéologique. La mobilisation est ordonnée en France le 1er août 1914. Les soldats partent confiants, ils pensent que la guerre ne dura que quelques semaines et qu'ils pourront passer Noël chez eux. Ils ne sont tout de même pas partis « la fleur au fusil « comme les cartes postales de l'époque nous le montrent. Les soldats français ne sont pas préparés à la guerre, ils ont un uniforme composé d'un pantalon garance ainsi que d'un pull bleu électrique, ils ne portent pas non plus de casque mais un simple képi. Nous montrerons comment les français ont vécu la Grande Guerre. Tout d'abord, nous verrons la vie des soldats français au front. Puis nous parlerons de l'arrière qui subit aussi la guerre.   

« condamné de la peine capitale.

C'est en 1997 que Lionel Jospin réhabilite la mémoire des mutins. La vie des soldats français ■ Une certaine camaraderie des tranchées s'installent.

Les soldats créent des liens entre eux, certains d'entre-eux se reverront après la guerre. ■ La vie des soldats est très dure.

Ils doivent combattre chaque jour les ennemis extérieurs mais aussi ceux qu'on appelle intérieurs: la soif, la faim, la peur, les rats, le manque d'hygiène, la promiscuité, la boue mais aussi l'ennui.

Ils vivent dans l'angoisse permanente des attaques de gaz ainsi que d'être enterrés vivants par des obus.

Ils subissent les violences combattantes.

Lors des permissions, les soldats se sentent déconnectés avec l'arrière.

La violence se banalise, elle imprègne les soldats et se diffuse à l'arrière. 1. L'arrière Le rôle de l'État français dans l'effort de guerre ■ peu de voix pacifistes s'élèvent.

Jean Jaurès dénonce la guerre en 1914.

Il est le créateur de l' Humaniste et appartient à la SFIO, l'ancêtre du parti communiste.

Il est victime d'un attentat avant le début de la Grande Guerre.

L'Etat mobilise tous les partis politiques, un consensus politique est instauré : c'est l' « Union Sacrée ». ■ une culture de guerre: affiches de propagandes diffusées.

Le patriotisme des citoyens est suscité par une propagande omniprésente: dans la rue, à l'école.

Les élèves se voient distribuer des bon-point montrant « Graine de poilu », les affiches glorifient les chefs militaires.

Les jeunes soldats sont la cible privilégiée de la propagande.

De plus la censure touche le courrier provenant des tranchées mais aussi la presse : expression « bourrage de crâne ».

Les français ne sont qu'à moitié au courant de ce que endure leurs proches au front. ■ Tous les moyens sont mobilisés pour la guerre : l'État mobilise toute l'économie, tous les moyens productifs sont mis au service de la guerre.

Il s'endette : création en 1917 de l'impôt sur le revenu.

La propagande encourage les citoyens à verser de l'argent à l'État : emprunt d'État.

Cet argent sera rendu après la guerre.

Le gouvernement mobilise aussi la science et l'industrie. La vie quotidienne des français ■ la travail : les hommes en âge de travailler sont en général tous partis à la guerre.

Les femmes les remplacent dans les usines mais aussi dans les champs pour les récoltes: on les appelle les « munitionnettes ».

Cinq-cent mille ouvriers qualifiés sont rappelés du front pour former et. »

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