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La savane africaine

Publié le 29/04/2012

Extrait du document

Les ceintures de végétation, tout comme les larges bandes climatiques est-ouest, se retrouvent au nord et au sud de l'équateur. On rencontre d'abord les forêts tropicales des régions équatoriales; ensuite, les savanes sèches et tropicales, au nord et au sud de ces forêts; puis, les arides ceintures désertiques, le Sahara au nord et le Namib et le Kalahari au sud; enfin, les agréables bandes côtières plus boisées du nord-ouest et du sud-ouest. La seule exception est le haut plateau d'Afrique orientale, situé entre 5° de latitude nord et 10° de latitude sud. Il s'agit en fait d'une extension équatoriale de la savane qui interrompt la ceinture est-ouest de la forêt tropicale.

« tants des côtes tirent de la pêche leurs principaux moyens de sub sistance.

On exploite cependant des ressource s minérales, comme l'or et les diamants au Ghâna et la cassitérite (minerai d'étain) près de lo s, au Nigeria .

Les terre s situées autour du lac Tchad sont également plus riches; on y rencontre plus d'habitants et de bétail.

Les cultivateurs récoltent le blé dans les terres sablonneu­ ses; des millier s de tonne s de poi ss on s s ont pêchées cha­ que année dan s le lac; le long de s berge s, lor s que l'eau sa­ lée s'év apore, on obtient du natron , utili sé pour le bétail par les pay s an s lo caux et par ceux qui vivent plus à l'inté­ rieur du Tchad et du Nigeria.

A l'extrémité est de la ceinture nord de la sav ane, s'étend le ba ssin du Nil supérieur.

Au nord du plateau d'Afrique orientale, le Bahr el-Djebel (Nil Blanc) traverse le Sou­ dan pour s'étaler en vastes marécage s, d'où s'évapore une grande partie de l'eau.

Le trafic maritime a toujour s été difficile à cau se de la végétation.

Le papyru s, diffé ­ rente s variété s de plantes aquatique s et la jacinthe d 'ea u, plus récente , pou sse nt à profu sion et bloquent de s pa ssa­ ges entiers.

Cette dernière plante , en particulier , entrave les hélice s de s bateaux et il exi ste un réel danger qu'elle ne se répan­ de en aval, bloquant les canaux d'irrigation et obstruant les pompe s à eau.

Les ingénieur s ont entrepris de faire nettoyer les canaux afin d'augmenter le débit du fleuve et ont tenté de limiter le développement de la jacinthe d'eau.

Des travaux vien­ nent d'être entamés sur le canal de Jonglei qui prendra à Bur, au nord de Juba , un quart du débit du Nil Blanc , permettant ainsi d'augmenter le débit du Nil jusqu'à As­ souan au nord , et de fournir plus d 'ea u au Soudan .

On craint toutefoi s que ce projet n'affecte l'équilibre écolo­ gique de ces rég ions marécageu ses.

Ci-dessus: Les Masaïs du Kenya er de Tanzanie, avec leur bérail .

Le bé­ la il, qui n'esr pas originair e d'Afriqu e, provie nr d'As ie er fur inrrodu ir il y a en viron 4 000 ans.

D epuis lors , les vaches son r devenues un sym ­ bole de rich esse er d'imp orlan ce, comme une source de nourrir ure.

On ne s'en sép are que raremenr, pour une dol par exemple.

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