La Suisse et les réfugiés
Publié le 27/02/2008
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La mauvaise conscience helvétique. La Suisse aurait-elle pu, puisqu'elle était restée en dehors du conflit, accueillir davantage de persécutés, hommes et femmes directement menacés dans leur existence par la barbarie nazie? Trente ans après la guerre, tout le monde répond par l'affirmative. Mais pendant les hostilités la majorité de la population était plutôt d'avis que le «bateau était trop chargé»...
En 1939, la Confédération helvétique comptait dans son sein 7100 réfugiés. Bien peu de fugitifs purent trouver asile en Suisse durant les trois premières années du conflit. En effet, au 1er août 1942 le total des réfugiés atteignait seulement le chiffre de 8300. A ce moment-là, des informations bien précises étant parvenues en Suisse sur les exactions commises et les exterminations projetées par les nazis, la frontière helvétique se fit un peu plus perméable: fin 1942, le nombre des réfugiés admis avait doublé (16400).
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