Lamennais et les débuts du catholicisme social
Publié le 27/02/2008
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«L'union du catholicisme et de la liberté, écrit Lamennais en 1830, est ce que les gouvernements craignent le plus et pardonnent le moins; d'où l'on peut conclure que dans cette union est la véritable force et, par conséquent, l'avenir.» L'Avenir, c'est le titre du quotidien qu'il fonde le 16 octobre 1830, avec, en épigraphe: «Dieu et Liberté». Félicité-Robert de La Mennais, né à Saint-Malo, le 19 juin 1782, d'un père armateur breton, a décidé, après une adolescence difficile, de suivre l'exemple de son frère aîné, Jean-Marie, un saint prêtre. Il reçoit les ordres mineurs en 1808, mais il n'acceptera la prêtrise qu'en 1816, dans une angoisse profonde. Nature inquiète, intransigeante, il combat énergiquement le gallicanisme dans des écrits rédigés en collaboration avec son frère.
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