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L'Azerbaïdjan soviétique

Publié le 21/02/2012

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État prospère vassal de la Perse au moment de l'invasion des Turcs seldjoukides, la région appelée Azerbaïdjan fut, à partir du XVIe siècle, le théâtre de luttes armées et de rivalités politiques entre la Turquie, la Perse et plus tard la Russie. Annexé en partie en 1813 par le tsar Alexandre Ier, l'Azerbaïdjan est, depuis le 28 avril 1920, divisé entre la république de l'Union soviétique qui porte ce nom et la province iranienne...

« forte natalite de toutes les republiques de ruRss et dont la longevite des hommes est extraordinaire),naguere arrieree et illettree, lit aujourd'hui 82 joumaux en diffe- rentes langues avec un tirage total de plus d'un million d'exempl ai res. 4 Dans les armes de l'Azerbaidjan, on peut voir un derrick.

Le parole (qui Wait pour la premiere fois Bakou le 1°' avril 1873, mails que les anciens avaient vu s'elever en flammes gigantesques) constitue Ia princi- pale ressource de Ia republique.

II a fait passer Bakou, la ville des vents sur Ia presqu'ile Apcheron, de 300 000 habitants au debut du siecle a 1 400 000 (cin- quieme villedel'URSS).

La production depetrole, 2 900 000 tonnes an 1920, atteint plus de 30 millions de tonnes aujourd'hui dont 50 p.

100 de Wrote sous-marin. La cite petroliere de Niefflanye Kamni, a 100 kilometres de Bakou, est reliee a Ia terre par 200 kilometres d'estacades sur pilotis.

A Bakou, de nombreuses usines fabriquent de petrolieretIapetrochimie estenpleine expansion. 5 L'Azerbaidjan, dont l'industrie, grace au petrole et a Ia production d'energie electrique delacentrale de Minghetchaour (10,5 milliards de kwh, da plus puissante de Transcaucasie, davantage par tatedliabitant que dans les pays voisins) constitue Ia base de sa prospe- rite, est aussi, par ses plaines, une riche region agricole : vignobles, cereales, arbres fruitiers, the et surtout coten. La Republique d'Azerbaidjan a aujourd'hui cinq fois plus de terres irriguees qu'en 1920.

La production de colon (64 000 tonnes en 1913) s'eleve a prim de 600 000 tonnes en 1976. forte natalité de toutes les républiques de l'URSS et dont la longévité des hommes est extraordinaire), naguère arriérée et illettrée, lit aujourd'hui 82 Journaux en diffé­ rentes langues avec un tirage total de plus d'un million d'exemplaires.

4 Dans les armes de l'Azerbaïdjan, on peut voir un derrick. Le pétrole (qui jaillit pour la première fois à Bakou le 1er avril 1873, mais que les anciens avaient vu s'élever en flammes gigantesques) constitue la princi­ pale ressource de la république. Il a fait passer Bakou, la « ville des vents » sur la presqu'île Apchéron, de 300 000 habitants au début du siècle à 1400 000 (cin­ quième ville de l'URSS).

La production de pétrole, 2 900 000 tonnes en 1920, atteint plus de 30 millions de tonnes aujourd'hui dont 50 p. 100 de pétrole sous-marin.

La cité pétrolière de Nieftianye Kamni, à 100 kilomètres de Bakou, est reliée à la terre par 200 kilomètres d'estacades sur pilotis. A Bakou, de nombreuses usines fabriquent de l'outillage pétrolier et la pétrochimie est en pleine expansion.

5 L'Azerbaïdjan, dont l'industrie, grâce au pétrole et à la production d'énergie, électrique de la centrale de Minghetchaour (10,5 milliards de kwh, la plus puissante de Transcaucasie, davantage par tête d'habitant que dans les pays voisins) constitue la base de sa prospé­ rité, est aussi, par ses plaines, une riche région agricole : vignobles, céréales, arbres fruitiers, thé et surtout coton.

La République d'Azerbaïdjan a aujourd'hui cinq fois plus de terres irriguées qu'en 1920.

La production de coton (64 000 tonnes en 1913) s'élève à près de 600000 tonnes en 1976.. »

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