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Le désastre naval d'Aboukir

Publié le 06/11/2013

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A la bataille d'Aboukir, la flotte anglaise est commandée par Horatio Nelson, vicomte, duc de Bronte, né en 1758 (ci-contre). Entré dans la marine à l'âge de douze ans, l'amiral a déjà perdu un oeil et l'usage de son bras droit. Remarquable stratège naval, il devient un ennemi irréductible des Français et passera à la postérité après Aboukir, que les Anglais appelleront Battle of the Nile. 11 mourra à Trafalgar, combat légendaire qui, en 1805, assurera la maîtrise des mers à son pays.

« L'AMIRAL NELSON A la bataille d'Aboukir, la flotte anglaise est commandée par Horatio Nelson, vicomte, duc de Brante, né en 1758 (ci-contre).

Entré dans la marine à l'âge de douze ans, l'amiral a déjà perdu un œil et l'usage de son bras droit.

Remarquable stratège naval, il devient un ennemi irréductible des Français et passera à la postérité après Aboukir, que les Anglais appelleront Battle of the Nile .

Il mourra à Trafalgar, combat légendaire qui, en 1805, assurera la maîtrise des mers à son pays.

la profondeur suffisantes pour faire manœuvrer ses bâtiments entre la côte et les bateaux ennemis.

Au coucher du soleil, la flotte anglaise se met en position de combat .

L'artillerie terrestre française, trop éloignée, ne peut l'atteindre.

Le combat commence .

Assez vite, la tête de la ligne française est prise sous les feux convergents de l'adversaire.

Les marins fran­ çais résistent courageusement aux assauts anglais, mais leur situation est de plus en plus difficile.

Brueys, blessé au dé­ but de l'action, meurt sur le pont du navire amiral à sept heures et demie, la cuisse em­ portée.

L'amiral disparu, il n'y a plus personne pour donner l'ordre à Villeneuve, qui com ­ mande la fin de la ligne fran­ çaise, non engagée dans le combat, de lever l'ancre et de se porter à la rencontre des navires anglais.. »

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