Le Grand-Paris

« pour construire les 1.5 millions de logement d'ici 2030. Ensuite, le transport ; 70% des déplacements des franciliens s'effectuent entre les banlieues et 80 % se font en voiture, faute d'efficacité.

Les déplacements en banlieues ont augmentés de 50% en 25 ans et le transport n'a pas évolué depuis ce qui signifie que pour la plupart des franciliens, prendre les transports en commun signifie passez par le centre de la capitale ce qui implique une perte de temps.

Pour palier à cela, des aménagements d'automatisations des voies ont déjà été effectués mais le projet du « Grand Paris Expresse » va plus loin.

Ce nouveau réseau couvrira 175 km à une vitesse moyenne de 60 km/h.

Son service de grandes capacités et sa réduction de risque de perturbation seront assurés pas une technologie de pointe ; le tracé du métro automatique assurera aussi les correspondances avec le reste du territoire et avec l'étranger.

Ces nouveaux plans de transports faciliteront les déplacements entre les banlieues et favoriseront le développement économique de la métropole en organisant une agglomération multipolaire facilitant l'accès à l'emploi et au logement.

Le développement des gares est aussi un enjeu majeur à ces installations : l'expansion du territoire de la capitale accru, la nécessité des gares l'est aussi notamment en améliorant la fluidité du trafic et en humanisant les gares par l'aménagement de celles-ci pour en faire des lieux de vie conviviales s'intégrant dans les quartiers tout en les valorisant.  L'emploi aujourd'hui au coeur des débats est un point crucial du développement du Grand Paris.

L'objectif est de créer 800 000 emplois supplémentaires d'ici 2025.

La création d'emplois sera favorisée par le développement des pôles technologique comme le plateau de Saclay  ou le secteur de la défense.

Ces aménagements seront accompagnés par d'autres projets dans d'autres secteurs comme l'enseignement supérieur, le sport ou encore la culture. Enfin, quelles sont les conditions à ces aménagements ?La question du financement reste un des principaux problèmes, en effet l'Etat français n'a pas les moyens de s'endetter plus qu'il ne l'est déjà en cette période de crise.

En effet, pour le projet de métro qui devrait être lancé en 2025, l'Etat, les collectivités, l'impôt et les emprunts devront apporter 32.5 milliard d'euro pour financer ce projet et plus de 50% de ce financement sera apporter par l'emprunt.

De plus même si les transports représentent une grande partie de l'aménagement du Grand Paris, d'autres projets nécessitent des fonds importants. Pour conclure, le projet du Grand Paris est un projet titanesque pour faire de notre région-capitale l'une des. »