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Le Japon : le milieu naturel ?

Publié le 27/02/2008

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japon
Le Japon couvre 372 000 km2, 67 pour 100 de la France. Cet archipel de plus d'un millier d'îles s'étend sur 1 700 km, de 45 à 30° de latitude Nord (de la Gironde à Agadir). Une seule île, Honshu, la « grande terre », représente 62 pour 100 du Japon. I Une terre instable et montagneuse Carte Le Japon appartient à l'arc insulaire de la « ceinture de feu » du Pacifique. 1 Le volcanisme Les mouvements tectoniques tertiaires se poursuivent à l'époque quaternaire, accompagnés de fractures et de volcanisme. On dénombre 192 volcans dont 52 en activité. Les terres volcaniques couvrent 25 pour 100 du Japon. Le Fuji Yama, le plus célèbre des volcans, s'élève à 3 778 m.
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« un plan possible I.

Présentation du texte II.

Analyse du texte III.

Signification et conséquences de Yalta développement Introduction A Yalta, en Crimée, au Sud de la Russie, se tient du 4 au 11 février 1945 une conférence au sommet réunissantRoosevelt, Churchill, Staline respectivement représentants des États-Unis, du Royaume-Uni et de l'URSS, pays enguerre contre l'Allemagne et le Japon.

Dans la perspective d'une victoire prochaine les Trois Grands procèdent àd'importants échanges de vue sur l'avenir du monde de l'après-guerre.

Pour aplanir les différends qui se sont déjàmanifestés et s'entendre sur un plan de paix à l'échelle mondiale Roosevelt et Churchill viennent trouver Staline.Deux des questions les plus délicates à régler sont ici évoquées, le sort de l'Allemagne vaincue, et l'instaurationd'une nouvelle institution internationale pour maintenir la paix. I.

Présentation du texte 1.

Sa nature Il s'agit de deux brefs extraits du protocole officiel des accords de Yalta signés le 11 février 1945.

Le premier esttiré de la "Déclaration sur l'occupation et le contrôle de l'Allemagne", exprimant les intentions des Trois Grands sur leproche avenir de l'Allemagne, le second concerne l'Organisation des Nations Unies. 2.

Les circonstances du moment Elles expliquent en partie les décisions prises.

La guerre se poursuit à l'Ouest, en Europe orientale et dans lePacifique.

A l'Ouest, tandis que les rampes de lancement font pleuvoir sur l'Angleterre de redoutables fusées VI et V2, les dernières armées allemandes résistent tout l'hiver 1944 le long du Rhin à la pression des Alliés anglo-américains.

A l'Est, en revanche, rien ne peut arrêter la grande offensive que l'armée rouge a lancée contre lesNazis, c'est-à-dire les troupes hitlériennes, au début de l'été 1944.

En juillet, elle atteignait Varsovie, en septembrela Roumanie, puis la Bulgarie, en octobre la Yougoslavie ; en janvier 1945 les Russes entraient à Budapest et étaientà 80 km de Berlin.

Ses succès éclatants finissent par préoccuper les alliés de l'URSS, car le rapport de forces étaiten train de changer au profit des Soviétiques. 3.

L'état d'esprit des Grands Au contraire de Churchill, méfiant à l'égard des Soviétiques, Roosevelt, d'ailleurs gravement malade, est enclin à faire des concessions à Staline dans la perspective d'obtenir le concours des Russes pour briser une résistancejaponaise qui s'annonce longue et opiniâtre (à cette date la bombe atomique américaine n'était pas encoreopérationnelle). II.

Analyse du texte 1.

Le sort de l'Allemagne : une occupation quadripartite • Éliminer d'abord les Nazis.

Les signataires des accords parlent d'une seule voix, "Nous" ; ils se sont donc entendus pour fixer : — l'objectif "amener (l'Allemagne) à une reddition sans conditions" c'est-à-dire à capituler, — les moyens "une politique et des plans communs", ce qui suppose une coordination des opérations militaires, — un préalable : l'Allemagne nazie, c'est-à-dire Hitler et les chefs civils et militaires nazis sont d'avance exclusd'éventuelles négociations d'armistice ou de paix. • La partition de l'Allemagne.

Les cadres du démembrement décidé sont reportés à plus tard, mais il y aura une occupation conjointe (pendant un délai non précisé) du territoire allemand, par les forces armées des troispuissances de "trois zones différentes".

On notera qu'à Yalta, les Anglo Saxons sont d'accord avec les Russes pourune punition de l'Allemagne. • La France, quatrième Grand.

Le général de Gaulle, chef delà "France Libre" n'a pas été invité à Yalta. Finalement, à la demande de Chui chill, il est décidé que la "France si elle le désire, sera invitée par les troispuissances à occuper une de ces zones".

De Gaulle acceptera et la zone française sera taillée dans la zonebritannique et la France sera une des quatre puissances occupantes dans la capitale du Reich, Berlin. 2.

La création d'une nouvelle organisation internationale : l'ONU. »

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