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Le système financier américain

Publié le 23/02/2013

Extrait du document

• Les fonds de pension. Phénomène très important aux États-Unis, ces organismes financiers gèrent les cotisations-retraites des salariés.

• Les sociétés financières (Fi.nance Companies). Ce sont des groupes spécialisés dans le crédit à la consommation.

• Les holdings. Ce sont des sociétés qui possèdent des participations financières dans des entreprises...

« ® Une restructuration Dans les années 80, près du tiers des caisses d'épargne -elles se sont diversifiées dans des placements financiers ...

catastrophiques -sont au bord de la faillite.

En 1989, l'État fédéral débloque 200 milliards.

En 1989, 2000 banques font faillite suite à la crise immobilière et au surendettement des PVD.

Cette crise conduit en 1991 à l'arrêt du Glass-SteagallAct.

La politique de déréglementation (1980) amorce un phénomène de concentration.

En 1998, Citicorp (deuxième banque américaine) s'unit à Travelers (géant du courtage et de l'assurance) donnant naissance à la première banque mon­ diale, le Citicorp Group, avec 100 mil­ lions de clients, 160 000 employés et 70 milliards de chiffre d'affaires.

LE POIDS DE L'INVESTISSEMENT ® À l'intérieur Les États-Unis sont le premier foyer de capitaux étrangers (200 milliards de dollars).

56 % des obligations détenues en 1996 par les investisseurs extérieurs ont été achetées sur le sol américain.

Depuis l'accord nippa-américain en 1995, les Japonais investissent massive­ ment aux Etats-Unis : les Américains s'engagent à soutenir le yen; en échange, les Japonais encouragent leurs ressortis­ sants à investir aux États-Unis.

® À l'extérieur Jusqu'en 1973, le poids de l'investis­ sement américain correspond à la moitié de ceux réalisés dans le monde.

Avec la crise pétrolière et la chute du dollar, l'Union européenne devient le lieu d'élection des capitaux américains, avec au premier rang la Grande-Bretagne et au huitième rang la France.

Les États­ Unis conservent, encore aujourd'hui, leur rôle de leader pour les investissements directs à !'extérieur.

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lmportanesw.~ le fonds Calpers (fonds de pensions des _,,,..de l'éat de Colfàrn'e).

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Les fonds de pension omirlcolns soulMnt de nomlnuses questions dont celle de leur cou­ venure, puisqu'ils ne couvrent (que) 50 % des ttavollleurs, de leur financement ou encore de l'ocléquarlon des prestations.

André Laboul, économiste à l'Orfanisotlon de coopération et de cMweloppement écono­ mique (OCDE).. »

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