L'énergie en France

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Un modeste espoir : les hydrocarbures nationaux Une recherche méthodique des gisements n'a pas permis de découvrir d'importantes ressources de pétrole et de gaznaturel, l'Aquitaine et le Bassin parisien restent les deux seules régions productrices. 6.

Les énergies nouvelles : des résultats encourageants • La géothermie permet de chauffer environ 200 000 logements surtout dans la région parisienne et le Sud-Ouest. • Les équipements solaires sont installés dans 500 000 logements principalement pour un chauffage d'appoint. III.

Une nouvelle géographie de l'énergie 1.

Deux types de régions énergétiques • Les énergies traditionnelles : charbon et hydro-électricité.

Les "pays noirs" (Bassin du Nord et du Pas-de- Calais) ont fixé l'industrie lourde, ils furent longtemps les premières régions productrices d'électricité, à l'époque ducharbon.

Un peu plus tard, dans les montagnes équipées pour l'hydro-électricité, comme les Alpes du Nord, ont surgides usines électrochimiques et électrométallurgiques. • Le règne des hydrocarbures.

Il commence avec l'essor du pétrole comme source d'énergie après la Seconde Guerre mondiale.

Les ports importateurs des grands estuaires (Basse-Seine, Basse-Loire, Gironde, Rhône en aval deLyon, région marseillaise, Seine en aval de Paris, vallée du Rhin) se sont dotés de puissantes raffineries auprèsdesquelles se sont développées les industries pétrochimiques. 2.

Un dense réseau de transport et de distribution de l'énergie • 5 500 km d'oléoducs.

Le transport par conduites ou tubes achemine le pétrole vers les grandes raffineries de l'intérieur.

Le principal traverse le territoire, de Marseille-Lavera à Karlsruhe en Allemagne. • 20 000 km de gazoducs et 80 000 km de lignes électriques à haute et très haute tension et un million de kilomètres de lignes à moyenne et basse tension distribuent les premiers le gaz naturel, les secondes l'électricité surtout le territoire français. Conclusion Fortement dépendante de l'étranger pour la consommation d'énergie il y a dix ans, la France le restera encorejusqu'à la fin du siècle, mais à un moindre degré, car le nucléaire a permis des progrès décisifs.

Il n'empêche que sondéveloppement n'est pas sans susciter quelques craintes, en dépit de la fiabilité des techniques utilisées dans lescentrales atomiques.. »