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Les généraux de la Révolution et de l'Empire en France

Publié le 08/04/2013

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Dominique Joseph René Vandamme, comte d'Unsebourg (Cassel, 1770 - Cassel, 1830) Dès l'age de vingt-deux ans, il lève un corps franc de chasseurs et est nommé général l'année suivante (1793). Il se bat en Silésie, est blessé à Wagram Ouill. 1809), fait prisonnier à Culm/Chelmno, alors qu'il commande le 1" corps de la Grande Armée. Ayant participé aux Cent-Jours en tant que pair, il se bat jusqu'au bout, est blessé à Namur et conduit la retraite de l'arrière-garde en juin 1815. Exilé en Amérique, il ne revient en France qu'en 1819.

« devant Toulon, devient son aide de camp et le suit en Italie, puis en Égypte.

membre actif du 18-Brumaire, il est nommé grand maréchal du palais en 1804 et a toute la confiance de !'Empereur, qui lui confie de délicates missions diplomatiques .

Un boulet perdu vient seul à bout de sa fidélité.

Louis Friant, comte (Morlancourt, 1758-Gaillonne~ 1829) .

Entré aux gardes françaises en 1791, général en 1794, il est sur les champs de bataille d'Allemagne, d'Italie, d'Égypte, et montre sa bravoure à Austerlitz comme à Eckmühl et à Wagram .

Commandant des grenadiers à pied de la garde impériale, il est aussi chambellan de l'empereur.

Blessé à Waterloo, il prend sa retraite sous la Restauration .

César Charles Étienne Gudin de La Sablonnière, comte (Montargis, 1768.Valoutina, 1812).

Un peu méconnu aujourd'hui, ce brave, nommé général de division en 1793, se distingua à Auerstedt en 1806, à Wagram en 1809 et pém au combat près de Smolensk.

Antoine Charles Louis de Lasalle , comte (Metz, 1775-Wagram, 1809).

Ayant rejoint l'armée du Nord en 1793, il est l'aide de camp de Kellerman, le futur maréchal de France .

Il accomplit ensuite des actes de bravoure inouïs en Italie (à Vicence il va espionner derrière les lignes autrichiennes, à Rivoli il capture à lui tout seul un bataillon entier), puis en Égypte, où il charge sabre au clair aux côtés de Desaix ou de Davo~ à qui il sauve la vie.

Général de brigade en 1805, il mène les 5' et 7' Hussards à la gloire en Prusse -il prend Stettin avec 500 cavaliers seulemen~ force Blücher à se rendre à Lübeck -, est fait comte d'Empire, va se battre en Espagne (1808-1809), où on le surnomme «Picaro•, puis encore en Allemagne (Essling.

22 mai 1809).

le 6 juillet, à Wagram, une balle l'atte int en plein front Il a trente-quatre ans.

Jean le•arols, comte (Bricquebec.

1776-Paris, 1836).

Cet aide de camp de Bonaparte participe à toutes ses campagnes, et ce jusqu'à la fin de l'Empire .

On signale sa bravoure notamment pour la défense de Magdebourg au printemps 1814.

Hora. »

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