Nord/Sud, des inégalités de développement

« La limite Nord/Sud un mythe ou une réalité ? Cette limite" virtuelle" sépare les pays développés des pays en difficulté.

Les fluc­ tuations de son tracé dépendent de l'IDH.

Ce dernier sépare le monde en deux avec, au sud, une partie de l'Amérique latine, l'Afrique, l'Océanie (sans l'Australie) et une partie de l'Asie (sans le Japon).

Il est à noter que les anciennes provinces du sud de l'URSS ont intégré le Sud.

La limite devient floue et sa légiti­ mité est remise en cause.

Le fonctionnement du s stème monde • La difficile insertion du Sud sur les marchés mondiaux t La puissance montante des NPI engendre une part plus grande des pays en développement dans les échanges internationaux.

Cependant, les hausses et les baisses des cours des matières premières ne permettent pas d'établir des plans de développement fiables.

Devant l' abondance de l'offre, les consommateurs entraînent les prix à la baisse.

Par le biais des quotas d'accès, de subventions pour soutenir les agricultures nationales contre les importations, les pays du Nord limi­ tent l'entrée sur leur marché.

t Les preuves des possibilités ont été données par les NPI qui exportent des pro­ duits de plus en plus sophistiqués et s'imposent sur certains secteurs.

Les délo­ calisations de productions et la division internationale du travail sont jugées déloyales à l'intérieur de la sphère occidentale et, pourtant, cela fait partie de la mondialisation .

• Les nouveaux termes du débat Nord/Sud L'intégration mondiale en matière d'économie motive les pays pour entrer sur les marchés ou pour s'y maintenir.

Pour les pays du Sud, cette volonté est portée par le droit au développement et par l'occidentalisation du monde.

Alors que le Sud cherche le développement à tout prix (travail des enfants, conditions de production), le Nord surveille les importations et tente de gérer au mieux les fabrications.

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