Paris, l'essor d'une capitale
Publié le 16/11/2012
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« "complot" (l.62) machiné par des "fous" et des "traitres" qui ont pour but de faire abdiquer (l43 a 48) Le m édecin prend le cote Marguerite et confirme le diagnostic : "le mieux de la fin" (l.119) Les allies: la reine Marie qui cherche de prot éger le Roi par tous les moyens avec son éternel amour "tu aurais toujours du pouvoir sur moi + en lui donnant l' énergie n écessaire pour ordonner (l.52,l.55,l.73,l.79). Juliette adopte une compassion a travers ses encouragements (l.51, l. 106, l.113: "vive le Roi"). Garde= ancien serviteur qui a du mal à se d ébarrasser de son ob éissance au roi: l.61 a 74. II/ Une situation incongrue qui pr ête à sourire: 1) Une vision grotesque de la mort: Mort évoqu ée dans ses aspects les plus quotidiens (an éantissement du corps (l.610) ent êtement évident de mauvaise foi qui pr ête à sourire : « c’est parce que je ne me suis pas mis dans la t ête de ne pas avoir mal » (l.2529). 2) Effondrement d’un univers monde qui tombe dans son trou (l.3941 : ministres rep êch és) comique quand le roi cherche un lieu encore en état pour retenir ses prisonniers (l.5759) par la suite de la paralysie du garde : « sire l’arm ée est paralys ée » (l.67) d’o ù effondrement d’un univers. humour path étique : chute du roi et spectre en b équille le rel ève. 3) Une farce tragique : Jeu de sc ène contribue à faire sourire le spectateur gr âce au d écalage entre le geste et la parole (l.89 « fait un grand effort ») + jeu de sc ène avec Juliette qui crie « vive le roi » + didascalie : « guignol tragique » (l.116117) qui renvoie a la double th ématique comique et tragique et permet la distanciation qu’exige la d érision. mise en abyme (l.4 : « à la fin du spectacle ») qui fait encore sourire le spectateur mais aussi qui rappelle l’essence de la trag édie. On retrouve cette mise en abyme a la l.103 : « quelle com édie ». En conclusion, ce passage prend les aspects d’une trag édie burlesque. D’une part, on plonge dans une situation ou le roi qui meurt est en d ésespoir de garder un pouvoir d émenti par son entourage. D’autre part, on constate que cet aspect tragique de la pi èce est remont é par le ton d érisoire qui suscite une vision grotesque de la mort ainsi qu’une farce tragique. Cela dit, Ionesco tient à nous d élivrer l’angoisse d’une fin incontournable tout en trouvant l’ équilibre entre le comique et l’angoisse. Ionesco utilise de m ême cette technique de diffusion de message dans sa pi èce Rhinoc éros. . »
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