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53 cm parut aux éditions Le Serpent à Plumes en 1999. Sandrine Bessora

Publié le 03/07/2022

Extrait du document

« Le texte soumis à notre étude est un extrait du roman 53 cm parut aux éditions Le Serpent à Plumes en 1999.

Sandrine Bessora est l'auteur de ce roman, elle est née en 1968 à Bruxelles.

Ces écrits sont de type mixte ou hybride car elle use des traditions africaine et européenne dans ses écrits, d'où l'appellation écriture afropéene.

Dans l'extrait du texte 53 cm l'auteur aborde clairement le mélange des genres culturelle.

Cependant, comment l'écriture du syncrétisme culturelle et l'absence d'empathie vis à vis du personnage migrant se manifeste il dans le texte. Le syncrétisme culturelle est un mélange de plusieurs traits culturels d'origine diverses.

Bessora utilise ce syncrétisme culturel pour nous faire comprendre que ses écrits n'appartiennent pas exclusivement à un à telle ou telle continent, elle essaie de regarder les deux cultures .

En effet, cela est visible à travers le mélange des cultures vestimentaires.

Ligne 4 à 7.

« Je porte un sweat-shirt de synthétique bleu sur un jean déchiré ; mini-juste en écorce battue et d'un corsage en pagne de Raphia ».

Nous voyons bien que dans ce fragment il s'agit d'un mélange de style vestimentaire européen et africain.

Outre le mélange vestimentaire perçu dans le texte, il existe également dans celui ci un mixage de de mets et d'accessoires à savoir « un casque de cauri, un sachet de frite belge désydratées, un paquet de bonbon suisse aux plantes , parure nègre » pages 30.

Ici nous remarquons clairement le syncrétisme culturelle qu'il y a dans son texte par le biais de toutes ces expressions.

De plus, l'auteur va plus loin en nous présentant plusieurs races humaines aux différents atouts et teintes tels que « les explorateurs multicolore, long cheveux noir » page 30 et 31.

« Figure chocolat au lait, nez si long, Antillaise chocolatée » page 34 et « explorateurs noirs, blancs » page 35. Parallèlement à tout ce qui vient d'être décrit plus haut, il y a aussi et surtout un manque d'empathie vis à vis du personnage migrant.

En effet, cet extrait de texte , le personnage migrant Alexandre est traitée durement, en fait, les habitants dudit pays sont très désagréable en vers elle .

Les pages 32 et 33 nous le montre d'une manière claire et nette 《 je transpire de peur》《 un long frisson glacé court dans mon dos》.Dans ce fragments de texte l'absence d'empathie vis à vis du personnage migrant se manifeste tous d'abord à la page 34 lorsquela prêtresse dit à première vu l'on constate une sorte de colère et de dégoût dans la voix de la prêtresse comme si il y avait une guerre entre le peuple du personnage migrant et celui de la prêtresse.

En effet Alexandre est confuse puisqu'elle ne sais pas ce qui se passe.

Ensuite lorsqu'on arrive à la page 35 nous voyons que Alexandre est découragée elle dépose les armes par manque d'empathie de la prêtresse qui lui demande sans cesse son passeport.

Elle ne là pas mais la prêtresse refuse catégoriquement de comprendre le personnage migrant.

De plus tous ce que Alexandre donne à la prêtresse se retrouve par terre page 35. »

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