ANDALUCIA
Publié le 16/09/2014
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ANDALUCIA
En los dias claros y tersos, cuando el sol de Espalia cunde sin nieblas ni celajes en ana atni.asfera de tan pura y azul diafa-nidad, se ven desde aqui, mirando a poniente y mediodia, cornu desde un avi6n, hasta las ûltimos crestones y macizos que seiiorea el Mulhacén. Es coma un vasta y silcncioso piélago petrificada en plena y grandiosa tcmpestad, rota en espumas oleajes, sublime en su quietud dinamica, valicnte de dibuja color ; cumbres morenas aqui, bronces y pl'irpuras de verdes y rnorados matices, visas y turnasoles, v misteriosos claroscuros
I lanuras abiertas a accidente, rasas de aro y verdegav, la estepa y el verge], frondas y curvas de graciosos rios, agi-las y luces Con temblor de azogues y ca.ireles, pueblos y caminas de rutilante albura coma brochazos y rcgueros de cal, serranias azules, blancos bullones hacia el sur. Andalucia casi entera, coma a vuelo y vista rie ilguila, en toda, su robusta plenitud meridional, ebria de jribilo y de sol.
Aqui las tierras quebradas, las heroicas hoces, puertas de Castilla y de Murcia, Ios barrancos floridos y las perlas boras (r) que bajan hacia la cuenca del Guadalquivir ; los visas (2) castellariegos del Condado, las navas (3) de 13ailén y Tolosa, yunques del albedrio espahol ; bas ciudades antiguas del ancho reino de Jaén, asiento de romanos, visigodos, "i.rabescaballeros de Cristo ; las elegantes lejanias de Cérdoba. y G-ranada, las vegas deslumbradoras del 13etis y el Genil... Y cerrando los téiminas de estas tierras henildicas, henchidas de opulencia neural y de emacian histarica, las cumbres del baluarte penibético, plateadas de nieve y de luz, coma cimeras de blasôn, yelmos brui-tidos par las soles de toelas las cultural.
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4 ( Qué progresi6n va siguiendo la enumeraci6n del segundo apar tado ? { C6mo el autor junta la rearulad observada con el recuenlo hist6rico ? ( Qué grandes aconlecitnientos histUricos evoca, de pnso ?
5 r· ;\'o rec_apacita el pormenor 1( henchidas de ofntlencia natural y de enioci6n hist6rica >l ht ùnpresi6n gn1eral que quiert dejar el novelista y su amor a la Tierra de .llaria .'·JantL;;ima ?
EJERC!CIO GRAMATICAL
Les
poètes du Midi ·mêlent l'iinagc de la fraîcheur, de» bois touffus à tous les sentiments de la vie.
Les Espagnols et les Portugaic; de toutes les classes savent par cœur les vers de Calderon et de Camoëns.
Il faut plaindre les anciens qui n'avaient point trouvé dans l'Océan que le palais de Neptune et la grotte do Protée.
Contentez-vous de réprimer sévèrement les libelles diffamatoires.
Le troisième âge est celui qui suivit la prise de Constantinople par J\.lahomet IL
Ce n'est point assez que les mœurs du théâtre ne soient point mauvaises ; il faut encore qu'elles Raient décentes et instructives.
Or le principe de cette invention est facile à concevoir.
Pour capter la chaleur centrale, par exemple, il suffirait de creuser des puits de quatre à cinq mille mètres de profondeur.
Le mystère pourtant ne tarda point à s'éclaircir.
TEMA
L'Andalousie au XVIIIe siècle.
-- !.'Andalousie, malgré le:-; sortilèges de son nom, ne semble pas avoir été davantage une terre promise, pour ceux qui la cultivent, tout au moins.
Sans parler de ses parties montagneuses et sauvages, d'accès difficile, où Charles III essaie de faire circuler la vie par des chemins carrossables et de l'y fixer par quelques colonies éphémères, les plaines et les vallées elles-mêmes, malgré leur fertilité prodi gieuse, ne semblent pas des asiles heureux pour les laboureurs.
C'est que, là encore, la propriété est mal distribuée et les latifundia empêchent ceux qui les travaillent ùe posséder un humble domaine, source d'aisance et de félicité ...
De nombreux domaines sont encore réservés à l'élevage des chevaux (corrune ceux de Cordoue, si renommés), des taureaux, ou des moutons, et sont incultes et dépeuplés.
Jean SARRAILH
L'Espagne éclairée de la seconde moitié du XVIJJe siècle
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