CANCION A LA VIDA DEL CAMPO
Publié le 16/09/2014
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COMENTARIO
1 r; Qué insuperables ventaJas presenta la libertad ) t Por gué le
parece mds preciosa que los tesoros conquistados ) r' Qué (( oro,
tesoro..
» encierra ? 2 ( Par qué al alabar la vida del campo, el poeta enumera las frutas que puede cosechar ? 3 c· C6mo la tercera estrofa se opone a la primera ? Distinga la parte en que evoca el comercio de 1r la carte" de los gustosos placeres rûsticos• 4 Comente los dos ûltimos versos de la tercera estrofa.
5 .E:studie la clasr de estrofas, de 1·ersos y de rimas del poema.
EJERCICIO GRAMATICAL
Le voyageur s'assied sur le tronc d'un chêne pour attendre le-jour.
Les uns passent leur vie à rassembler des tnatériaux.
Ils ont commencé par aiguiser en forme de haches ces cailloux durs.
Il avait co1nmencé par ltre simple matelot puis il devint aide timonier.
Il resta pendant quelque temps à causer avec deux personnes qui s'élancèrent de l'escalier avec la violence d'une trombe.
A regarder grouiller ces petits pouilleux que Murillo a peints avec tant de bonheur, je me demandais si, baptisés de son nom, ces jardins n'avaient pas été faits pour conserver l'espèce.
TEMA
Charme de l'hiver a la campagne.
- J'ai toujours aimé pas sionnément l'hiver à la campagne ...
C'est au coin du feu que la nature nous convie en hiver à la vie de famille, et c'est aussi en pleine campagne que les rares beaux jours de cette saison peuvent se faire sentir et goûter.
On s'imagine à Paris que la nature est morte pendant six mois, et pourtant les blés poussent dès l'automne, et le pâle soleil des hivers - on est convenu de l'appeler cornme cela - est le plus vif et le plus brillant de l'année.
Quand il dissipe les brumes, quand il se couche dans la pourpre étincelante des soirs de grande gelée, on a peine à soutenir l'éclat de ses rayons.
Même dans nos contrées froides et fort mal nommées tem pén~es, la création ne se dépouille jamais d'un air de vie et de parure.
I.es grandes plaines fromentales se couvrent de ces tapis courts et frais, sur lesquels le soleil, bas à l'horizon, jette de grandes flammes d'émeraude.
I~es prés se revêtent de mousses magnifiques, luxe tout gratuit de l'hiver.
Le lierre, ce pampre inutile, mais somptueux, se marbre de tons d'écarlate et d'or.
I~es jardins mêmes ne sont pas sans richesses.
La primevère, la violette et la rose de Bengale rient sous la neige.
- 170 -
G.
SAND Histoire de ma Vie.
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