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CANCION A LA VIDA DEL CAMPO

Publié le 16/09/2014

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72. CANCION A LA VIDA DEL CAMPO

Oh libertad preciosa,

No comprada al oro,

ni al bien mayor de la espaciosa tierra

Mas rica y mas gozosa

que el precioso tesoro

que el mar del Sur entre su nacar cierra, —

Con armas, sangre y guerra,

con las vidas y famas,

conquistado en el mundo,

paz dulce, amor profundo,

que el mal apartas y a tu bien nos llamas

En ti sOlo se anida

Oro, tesoro, paz, bien, gloria y vida...

Aqui la verde pera

con la manzana hermosa

de gualda y raja sangre matizada,

y de color de cera

la cermefia (s) olorosa

tengo, y la endrina de color morada

aqui de la enramada

parra que el olmo enlaza

melosas uvas cojo,

y en cantidad recojo,

al tiempo que las ramas desenlaza

el caluroso estio,

membrillos que coronan este rio...

Ni temo al poderoso,

ni al rico lisonjeo,

ni soy cameleem del que gobierna ;

ni me tiene envidioso

la ambicinn y deseo

de ajena gloria, ni de fama eterna

Carne sabrosa y tierna,

vino aromatizado,

pan blanco de aquel

en prado, en fuente fria,

halla un pastor con hambre fatigado

que el grande y el pequefio

 

somos iguales lo que dura el sueflo.

« COMENTARIO 1 r; Qué insuperables ventaJas presenta la libertad ) t Por gué le parece mds preciosa que los tesoros conquistados ) r' Qué (( oro, tesoro..

» encierra ? 2 ( Par qué al alabar la vida del campo, el poeta enumera las frutas que puede cosechar ? 3 c· C6mo la tercera estrofa se opone a la primera ? Distinga la parte en que evoca el comercio de 1r la carte" de los gustosos placeres rûsticos• 4 Comente los dos ûltimos versos de la tercera estrofa.

5 .E:studie la clasr de estrofas, de 1·ersos y de rimas del poema.

EJERCICIO GRAMATICAL Le voyageur s'assied sur le tronc d'un chêne pour attendre le-jour.

Les uns passent leur vie à rassembler des tnatériaux.

Ils ont commencé par aiguiser en forme de haches ces cailloux durs.

Il avait co1nmencé par ltre simple matelot puis il devint aide­ timonier.

Il resta pendant quelque temps à causer avec deux personnes qui s'élancèrent de l'escalier avec la violence d'une trombe.

A regarder grouiller ces petits pouilleux que Murillo a peints avec tant de bonheur, je me demandais si, baptisés de son nom, ces jardins n'avaient pas été faits pour conserver l'espèce.

TEMA Charme de l'hiver a la campagne.

- J'ai toujours aimé pas­ sionnément l'hiver à la campagne ...

C'est au coin du feu que la nature nous convie en hiver à la vie de famille, et c'est aussi en pleine campagne que les rares beaux jours de cette saison peuvent se faire sentir et goûter.

On s'imagine à Paris que la nature est morte pendant six mois, et pourtant les blés poussent dès l'automne, et le pâle soleil des hivers - on est convenu de l'appeler cornme cela - est le plus vif et le plus brillant de l'année.

Quand il dissipe les brumes, quand il se couche dans la pourpre étincelante des soirs de grande gelée, on a peine à soutenir l'éclat de ses rayons.

Même dans nos contrées froides et fort mal nommées tem­ pén~es, la création ne se dépouille jamais d'un air de vie et de parure.

I.es grandes plaines fromentales se couvrent de ces tapis courts et frais, sur lesquels le soleil, bas à l'horizon, jette de grandes flammes d'émeraude.

I~es prés se revêtent de mousses magnifiques, luxe tout gratuit de l'hiver.

Le lierre, ce pampre inutile, mais somptueux, se marbre de tons d'écarlate et d'or.

I~es jardins mêmes ne sont pas sans richesses.

La primevère, la violette et la rose de Bengale rient sous la neige.

- 170 - G.

SAND Histoire de ma Vie. »

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